Géopolitique de la mondialisation criminelle : la face obscure de la mondialisation

Auteur(s) :

Raufer, Xavier (1946-....) Découvrir l'auteur

Résumé

Cette étude s'appuie sur un double constat : le recul des mouvements terroristes en Europe, qui s'accompagne de leur dérive dans le milieu du banditisme, et la baisse de la toxicomanie chez les jeunes de 15 à 24 ans. Afin de garantir leurs ressources, les organisations criminelles doivent développer de nouvelles ressources et plus particulièrement la cyber-criminalité et la contrefaçon.

Éditeur(s)
- Presses universitaires de France
Date
- impr. 2013
Notes
- Bibliogr. p. 165-167
Langues
- Français
Description matérielle
- 1 vol. (180 p.) : cartes, couv. ill. ; 20 cm
Collections
- Major
Sujet(s)
- Crime organisé
Epoque
- 1990-2020
ISBN
- 978-2-13-062072-3
Indice
- 343.94 Crime, crime organisé
Quatrième de couverture
- La mondialisation, universel bienfait ? Pas vraiment. Comme tout phénomène humain, la mondialisation est semblable à la «langue d'Ésope» - la meilleure et la pire des choses à la fois.
  La meilleure face de la mondialisation est sans cesse vantée par ses thuriféraires, pour l'essentiel des libéraux proches du monde des affaires, et par les médias qu'ils possèdent souvent : c'est la «mondialisation heureuse» qu'on nous vante depuis les années 1990. Sa face obscure, ces mêmes intérêts tentent de la noyer dans le silence, ou bien, quand la réalité est trop grave pour être tue ou niée, ce «pire» est morcelé et présenté comme un épiphénomène (une collection de «fait divers») étranger à la mondialisation.
  Alors qu'en Europe, le terrorisme islamiste se dissipe (aucun attentat en 2012 selon Europol), alors qu'à l'échelle européenne la toxicomanie baisse chez les jeunes, quelle est aujourd'hui cette «face criminelle de la mondialisation» ? Quel est son avenir ?
Origine de la notice:
- FR-751131015