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  •    Sujet : Nihilisme (philosophie)
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Résumé : L'ironie est, selon M. Belhaj Kacem, un trait anthropologique et psychologique dominant du nihilisme démocratique occidental. Partant de ce constat, il développe une analyse de la dérision, le passage obligé de toute énonciation qui atteste d'un rapport à la vérité à travers la pensée de philosophes comme Heidegger ou Kierkegaard, le théorème de Baudrillard, etc.

Résumé : Un choix de textes autour du nihilisme ainsi qu'un répertoire des principales notions liées à ce thème. Avec des extraits de Badiou, Camus, Cioran, Cloots, Crevier, Deleuze, Dostoïevski, Dubuffet, Gorgias, Jaccard, Jacobi, Juliet, Kandinsky, Kravtchinski, Maupassant, Nietzsche, Schopenhauer, Stimer, Tourgueniev et Vattimo.

Résumé : Approchant la poésie comme lieu où l'affect et la pensée se réconcilient le temps d'un instant, l'auteur interroge le rôle de la philosophie et de la poésie comme antidotes aux passions tristes du nihilisme. ©Electre 2020

Résumé : Trois essais. Dans le premier, L. Strauss brosse l'arrière-plan historique du nihilisme allemand et éclaire l'histoire de l'Occident moderne. Dans les deux autres, il explique l'origine de ce qu'il appelle la crise de notre temps par la transformation de la philosophie politique en idéologie.

Résumé : Cet essai dénonce comme fascisantes certaines tendances de la pensée des philosophes déconstructivistes (Deleuze, Derrida, Foucault, Lyotard, etc.). Selon l'auteur, ils ont fait l'apologie d'un nouveau nihilisme qui a eu pour résultat des phénomènes paradoxaux tels que la sympathie envers l'islamisme radical, le détournement des arts ou la naturalisation de la crise des institutions.

Résumé : Vision désabusée de l'esprit caractérisant les époques modernes et de son influence dans les oeuvres d'art. Il apparait que la sensibilité moderne est fondée sur le nihilisme, et se caractérise par une répétition du rien. Les passions au stade de cristallisation sont détruites dans la sensation présente et l'art moderne découvre sans cesse qu'il n'a rien à exprimer.

Résumé : Après «  La pensée post-nazie  » et «  L'autre pensée 68  », tous deux publiés au printemps 2018, voici le dernier volume de l'extraordinaire chantier de Michel Onfray  : écrire une «  contre-histoire  » de la philosophie, cheminant le long de la philosophie officielle, majoritaire, face à elle, et envisager une contre-philosophie embrassant tous les domaines, métaphysiques, esthétiques, politiques, phénoménologiques, poétiques, sociaux.  Et proposant des œuvres, des lectures, des philosophes inconnus.Voici donc «  La résistance au nihilisme  ».  «  Les promesses de Mai n'ont pas été tenues.  La révolution politique n'a pas eu lieu, quelle qu'aient pu être ses formes. En revanche la révolution métaphysique a eu lieu, elle a été libertaire. Le meilleur fut la fin d'un monde tout entier construit sur la hiérarchie qui, étymologiquement, suppose le pouvoir du sacré. Le patriarcat associé au monothéisme chrétien avait fait son temp. Pour autant, la fin des valeurs judéo-chrétiennes n'a pas été suivi par l'avènement de nouvelles valeurs postchrétiennes. Dès lors, l'abolition de la domination du supérieur par l'inférieur a accompagné une transvaluation des valeurs de sorte que l'inférieur s'est mis à dominer le supérieur. Jadis, le patron faisait la loi sur les ouvriers, les enseignants sur leurs élèves, les parents sur leurs enfants. Après Mai ce fut l'inverse. Révolte des esclaves aurait dit Nietzsche  : le nihilisme comme symptôme de ce que les déshérités n'ont plus aucune consolation  ».Après une longue introduction sur la construction du nihilisme (le «  gauchisme culturel  », l'antifascisme et l'antiracisme revisités, le structuralisme, Deleuze, les nouveaux philosophes, Foucault, les libéraux libertaires, la «  gauche libertaire  » de Bourdieu…), Michel Onfray s'arrête longuement sur trois figures  : Vladimir Jankélévitch  ; Mikel Dufrenne et «  l'affirmation joyeuse  »  ; enfin Robert Misrahi et «  les actes de la joie  ». Avant de conclure sur la vie...

Résumé : Ce texte de 1799 est la meilleure des introductions à la pensée de Jacobi, auteur mal connu en France, mais qui eut un prestige comparable à celui de Kant en Allemagne. Jacobi fut l'un des artisans de la célèbre querelle dite de l'athéisme et l'un des plus grands contradicteurs de Kant. C'est le premier texte dans lequel apparaît le terme de nihilisme.

Résumé : Un essai qui pose la question de la philosophie de la vie à la lecture de Michel Henry. ©Electre 2016

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