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  •    Sujet : Bretagne (France)
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Résumé : Hoëdick, un ilot entre Belle-île et Nantes où vivent une centaine de familles de pêcheurs. Dénuée de port, l'île est inaccessible dès que la tempête se lève, privant les habitants de courrier, de vivres ou de soins. Les Hœdicais vivent dans un dénuement absolu et les six mois de l'année où la pêche ne donne pas, c'est la famine pour beaucoup d'entre eux. Le vieux Quoirrec, pauvre parmi les pauvres, vit à l'écart du groupe, rejeté telle une brebis galeuse. Un soir, il trouve sur la grève une caisse déposée par la marée. Il la traîne et la cache. Les habitants apprennent sa découverte et s'imaginent qu'il a trouvé un trésor. Le vieil homme devient l'objet de toutes les attentions, on le flatte, on le régale, on lui offre à boire dans l'espoir de délier sa langue. Mais il est tant et si bien abreuvé de vin qu'il meurt en emportant avec lui son secret. Les habitants se tournent alors vers Soizig, persuadés qu'elle connaît l'emplacement du trésor. L'un d'eux demande à son fils Rémy, le plus bel homme de l'île, de séduire la jeune fille. Mais c'est lui qui tombe sous le charme de la demoiselle, provoquant l'ire de son paternel... Toujours à la recherche de formes nouvelles, menant de front ses travaux littéraires et cinématographiques, Jean Epstein, à partir de 1928, délaisse l'esthétisme de ses premiers films, le cinéma des studios, pour le documentaire poétique : il part tourner en Bretagne des films austères et magiques, joués par des non-professionnels, dans leur langue. Il tourne neuf films entre 1928 et 1948, ce qui constitue la dernière partie de son oeuvre.

Résumé : Jean-Marie n'est pas des élèves les brillants et parce qu'il a pris trop de retard dans sa scolarité, on le renvoie de l'école catholique en lui conseillant de retourner à la ferme de ses parents pour travailler. Seulement, Jean-Marie a soif d'espace et de liberté et il s'en va parcourir le pays breton, gagnant sa vie en chantant dans les rues. Un jour, il secourt une jeune fille poursuivie par un pervers et qui s'avère être Rozen, une amie d'enfance. Ils sont attirés l'un l'autre mais en bonne fille de châtelain, Rozen doit épouser le comte André. Leur amour s'avérant impossible, Jean-Marie s'embarque sur un Thonier. La première pêche à laquelle il participe s'avère mauvaise. Dans les rangs des pêcheurs on murmure que « le crochu » - c'est ainsi qu'ils surnomment Jean-Marie à cause de son doigt tordu - porte malheur et lorsqu'un marin fait une mauvaise chute, l'équipage décide de le débarquer dans une crique. Par un terrible hasard, Rozen – qui vient de fuir sa famille – est au-dessus de lui, en haut de la falaise. Elle s'avance et chute dans le vide, au pieds de Jean-Marie...Toujours à la recherche de formes nouvelles, menant de front ses travaux littéraires et cinématographiques, Jean Epstein, à partir de 1928, délaisse l'esthétisme de ses premiers films, le cinéma des studios, pour le documentaire poétique : il part tourner en Bretagne des films austères et magiques, joués par des non-professionnels, dans leur langue. Il tourne neuf films entre 1928 et 1948, ce qui constitue la dernière partie de son oeuvre.

Résumé : Chanson filmée d'après Sully Prudhomme et Gabriel Fauré. Toujours à la recherche de formes nouvelles, menant de front ses travaux littéraires et cinématographiques, Jean Epstein, à partir de 1928, délaisse l'esthétisme de ses premiers films, le cinéma des studios, pour le documentaire poétique : il part tourner en Bretagne des films austères et magiques, joués par des non-professionnels, dans leur langue. Il tourne neuf films entre 1928 et 1948, ce qui constitue la dernière partie de son oeuvre.

Résumé : Sur un petit îlot au large d'Ouessant, un goémonier se blesse à la main. La plaie s'infecte et il faut l'emmener à Ouessant. Mais la mer est mauvaise... Toujours à la recherche de formes nouvelles, menant de front ses travaux littéraires et cinématographiques, Jean Epstein, à partir de 1928, délaisse l'esthétisme de ses premiers films, le cinéma des studios, pour le documentaire poétique : il part tourner en Bretagne des films austères et magiques, joués par des non-professionnels, dans leur langue. Il tourne neuf films entre 1928 et 1948, ce qui constitue la dernière partie de son oeuvre.

Résumé : De passage à Brest, un jeune marin achète au marché un collier pour sa fiancée Marie-Jeanne qui l'attend à l'île de Sein. Malgré un fort vent qui se lève, il embarque avec ses camarades sur la Fleur de Lisieux, les marins sénans étant bien décidés à passer le dimanche auprès de leurs familles. Mais c'est une forte tempête qui s'abat sur la mer d'Iroise. Pendant trois semaines, l'île de Sein est isolée, aucun navire ne pouvant prendre la mer. Lorsque la tempête se calme, les Sénans n'ont plus qu'à faire le deuil des marins de La Fleur de Lisieux...Toujours à la recherche de formes nouvelles, menant de front ses travaux littéraires et cinématographiques, Jean Epstein, à partir de 1928, délaisse l'esthétisme de ses premiers films, le cinéma des studios, pour le documentaire poétique : il part tourner en Bretagne des films austères et magiques, joués par des non-professionnels, dans leur langue. Il tourne neuf films entre 1928 et 1948, ce qui constitue la dernière partie de son oeuvre.

Résumé : Alors qu'une tempête se lève sur la baie de Mor braz, une jeune femme restée à Belle île s'inquiète pour son fiancé parti en mer pêcher la sardine. Elle se rend au phare s'enquérir de la météo, mais les gardiens ne sont guère rassurants. Sa grand-mère lui parle alors des temps jadis où les siffleurs de vent étaient capables de calmer les tempêtes. Un vieil homme de l'île, le père Floch, était dit-on l'un de ces tempestaires. La jeune fille se rend chez lui et le supplie d'avoir une dernière fois recours à sa magie...Toujours à la recherche de formes nouvelles, menant de front ses travaux littéraires et cinématographiques, Jean Epstein, à partir de 1928, délaisse l'esthétisme de ses premiers films, le cinéma des studios, pour le documentaire poétique : il part tourner en Bretagne des films austères et magiques, joués par des non-professionnels, dans leur langue. Il tourne neuf films entre 1928 et 1948, ce qui constitue la dernière partie de son oeuvre.

Résumé : Victor, un tout jeune gardien de phare, est nommé pour son premier poste à la Jument, l'un des bâtiments les plus éloignés des côtes bretonnes qui se trouve à plusieurs miles de l'île d'Ouessant. Un ancien, Malgorn, l'accueille pour sa première nuit loin de la terre ferme...Toujours à la recherche de formes nouvelles, menant de front ses travaux littéraires et cinématographiques, Jean Epstein, à partir de 1928, délaisse l'esthétisme de ses premiers films, le cinéma des studios, pour le documentaire poétique : il part tourner en Bretagne des films austères et magiques, joués par des non-professionnels, dans leur langue. Il tourne neuf films entre 1928 et 1948, ce qui constitue la dernière partie de son oeuvre.

Résumé : Etude sur le cinéaste Jean Epstein et sa vision de la Bretagne à travers son oeuvre et des récits personnels.

Résumé : Depuis les débuts du cinéma, la Bretagne est un lieu privilégié pour les tournages de films. Certains y cherchent un décor ou un bâtiment historique, tandis que pour les autres, la Bretagne fait partie intégrante de l'histoire, entourant les protagonistes d'une ambiance, d'une lumière, d'un folklore. ©Electre 2015

Résumé : Une monographie consacrée à la Bretagne au cinéma, notamment dans les films de Jean Grémillon, Claude Chabrol, Pierre Schoendoerferr, Eric Rohmer, Bertrand Tavernier, Philippe de Broca, ou encore Céline Sciamma. Terre aux paysages remarquables, aux traditions originales et à l'identité forte, la Bretagne est une source d'inspiration dans de nombreux domaines. ©Electre 2021

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