Comment observer des formes d’articulations et d’interactions entre la production écrite et la compréhension de texte ? Comment observer des formes de réinvestissement mutuel de ces apprentissages et rendre compte d’éventuels effets sur les performances des élèves en fin de CP ? Ces articulations sont-elles réservées au cycle 3 quand le travail sur l’encodage et le décodage est avancé ou sont-elles observables dès le CP ? L’analyse présentée montre qu’elles sont observables à des échelles différentes, qu’elles permettent en partie de discriminer des pratiques enseignantes en fonction des performances des élèves en fin d’année de CP et CE1.