La thèse de Georges Bataille sur l’art comme transgression, et d’abord du tabou concernant la mort, est ici mise à l’épreuve de trois œuvres littéraires du XXe siècle. C’est le tabou des morts en sa violence primitive qui s’y inscrit, mais sans effacer ce qu’il frappe, d’où l’effet libérateur du texte.