De janvier 1983 à mars 1986, surveillance illégale de nombreuses personnalités, mises sur écoutes téléphoniques par la cellule antiterroriste de l'Élysée. - Révélé début 1993, le scandale de cet espionnage d'État donne lieu à une enquête judiciaire (plusieurs mises en examen pour atteinte à la vie privée) qui réclame la communication d'informations couvertes par le secret-défense dont la levée globale a été décidée par le Premier ministre (03-06-1998, après avis de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité)