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Résumé : Cinéaste italien né en 1909, Riccardo Freda fait ses débuts de metteur en scène en 1942 dans un film de cape et d'épée. Sa culture historique et littéraire lui permet de réussir des drames en costumes qui devancent la vague à venir des péplums, et il se tourne également vers le fantastique.

Résumé : Une biographie du réalisateur italien Sergio Leone (1929-1989) avec une analyse de son oeuvre qui renouvelle le genre du western au travers de films tels que Le bon, la brute et le truand (1966), Il était une fois dans l'Ouest (1968) ou encore Il était une fois en Amérique (1984). ©Electre 2018

Résumé : Cinéaste en marge du néoréalisme italien, Vittorio De Seta (né à Palerme en 1923), raconte son parcours depuis ses premiers documentaires proches de ceux de Flaherty jusqu’à "Nemesi", film d'archives en cours de montage retraçant les progrès et les guerres du siècle passé. Dans sa propriété plantée d'oliviers, mal voyant, il commente au son les extraits de sa filmographie et se remémore de façon intime, non sans humour, l’aventure de chaque film. Depuis les années 1950, Vittorio De Seta porte son regard en premier lieu sur les populations pauvres du sud de l'Italie (les pêcheurs et paysans siciliens, les bergers sardes), l’homme en quête de lui-même ("Un Homme à moitié", 1966), ou encore les enfants en difficulté ("Journal d’un maître d’école", 1973). Généreusement, il délivre sa méthode, révélant les artifices de sa mise en scène comme le poisson faussement pêché du "Temps de l'espadon" (1954), ou le chant ajouté sur une image d’ascenseur descendant dans les mines de "La Soufrière" (1955). Il tourne seul ou presque et sur un long temps d’observation, refuse la voix off pour que seules les images donnent au film sa temporalité. S'il fait jaillir la beauté de la pauvreté et du travail, c'est en s'inspirant de la peinture : "Les tableaux les plus célèbres sont de beaux plans cadrés." Le caractère sacré de ses images leur donne une aura, selon les mots de Scorsese, de "paradis perdu".

Résumé : Ce recueil de textes s'inspire de la théorie anthropologique de Lucien Lévy-Bruhl à propos de l'âme primitive pour élaborer une heuristique de la figurabilité. L'auteur illustre cette approche à travers l'analyse de films, mais aussi de comics et de performances. ©Electre 2019C'est donc un livre de cinéma ? Pas exactement, ou pas seulement, même s'il s'agit beaucoup d'images animées ou d'animation. Il y est aussi question de dessin et de jouets, de transe, de rêve, de spectres, d'union et de désunion de l'âme et du corps… Un livre d'histoire de l'art alors, ou d'anthropologie, ou de philosophie ? Pas plus, même si j'emprunte à tous ces discours pour raconter une histoire, qui est au fond l'histoire de toutes les histoires : celle de la transformation du corps en figure et de son entrée dans la représentation dont j'essaie de retrouver les traces disparates dans l'univers de Krazy Kat ou de Little Nemo, dans le cinéma burlesque ou scientifique, dans les danses de possession en Italie du sud ou dans les mythologies indiennes... Et pourquoi "Âmes primitives" ? Les âmes primitives, ce sont les âmes séparées, comme le sont les figures. Car pour qu'une figure apparaisse, il faut qu'un corps disparaisse et la figurabilité en tant que telle est un récit de séparation. C'est pour cela que la question de la représentation a partie liée au deuil et que le deuil, à l'inverse, nous renvoie toujours à l'énigme de la représentation. [source éditeur]

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