Les mathématiques et le réel
Maurice Thirion
ellipses
Avant-propos5
Livre 1. Mathématiques, être et théorie de la connaissance9
Chapitre 1. Épistémologie. Nature et efficacité des mathématiques11
1. Première question: quel est l'objet des mathématiques?
Absence de définition satisfaisante13
2. Mais le mathématicien se reconnaîtrait à son discours14
3. C'est de l'intérieur que parle le mathématicien15
4. Internalisme, l'attitude préférée de épistémologues des mathématiques16
5. Comment distinguer l'objet implicite d'une science et le discours qu'elle tient sur lui?17
6. Une conception contemporaine de l'épistémologie: la position de Blanché19
7. Épistémologie et philosophie des sciences21
8. La classification de Piaget21
9. Éclaircissement sur le psychologisme22
10. La délimitation du mathématique pour le mathématicien24
11. L'analogie avec la philosophie24
12. La place de cette étude dans cette classification26
13. L'objet initial des sciences en physique et biologie27
14. L'objet mathématique perdu29
15. Comment situer l'apparition d'une science véritablement mathématique?30
16. La légitimité de la coupure entre les Égyptiens et les Grecs31
17. La coupure33
18. Les difficultés d'interprétation pour l'histoire ancienne34
19. Le calcul grec et la représentation des nombres36
20. Le Ménon: le passage du calcul à la mathématique de l'idéal37
21. Convergence de conditions historiques pour permettre l'apparition de la science mathématique38
22. La théorie du nombre40
23. L'exigence rationnelle de démonstration41
24. La crise des irrationnels42
25. Philosophie et mathématique46
26. Domaines et objets48
Chapitre 2. De l'être et de la manière de n'en pas parler52
27. Le premier bilan après la première question52
28. L'idéalité mathématique53
29. J. T. Desanti et la crise des irrationnelles54
30. Les raisons de ne pas parler de l'être56
31. L'enjeu dans l'histoire de la philosophie58
32. Éclaircissement sur Parménide58
33. La querelle des universaux. Nominalisme et réalisme au Moyen Âge62
34. L'évolution du conflit sur la nature de la connaissance62
35. L'attitude modérée des épistémologues: ni du ciel ni de la terre63
36. L'attitude des mathématiciens réalistes68
37. Logicisme, nominalisme et empirisme71
38. Le cas Wittgenstein73
39. L'impossibilité de traiter la deuxième question79
Chapitre 3. La théorie de la connaissance80
40. S'interroge-t-on sur la nature de la raison?81
41. Le parrainage de Cournot (1801-1877)81
42. Le problème de la théorie de la connaissance82
43. Les positions de principe83
44. La question de l'intelligibilité du monde en rapport avec la construction de la théorie de la connaissance84
45. Première difficulté: les philosophes ont besoin d'un support de sens, une espèce d'entre deux, assurant le passage entre le sujet et l'objet84
46. La possibilité du sens du monde et de sa connaissance va de soi: il n'est que de trouver le chemin86
47. La seconde difficulté: la nature de l'esprit, autre espèce d'intermédiaire88
48. L'exemple des stoïciens: ambiguïté de la nature de l'âme89
49. Confirmation de l'exemple: Descartes et Sartre92
50. Question du sens de la connaissance, un peu dissimulée par l'épistémologie classique94
51. Les positions extrêmes (dans l'épistémologie)96
52. Une autre manière d'aborder la question: empirisme et criticisme96
53. Importance et, en même temps, relativité de la perspective historique101
54. La fête de la Raison102
55. Kant ou l'avènement du transcendantal103
56. Les mathématiques peuvent être ailleurs que dans le transcendantal104
Livre 2 La représentation du monde107
Préambule109
1. Nous avons tous une représentation du monde109
2. Nous sommes tous un peu partisans du mécanisme109
3. La physique contemporaine s'intègre difficilement à notre représentation du monde110
4. Cette situation de la physique n'est pas nouvelle110
5. La cosmologie mathématique: une ouverture sur le lieu et sur le sens111
6. Mathématiques et système du monde112
7. Les grands et les obscurs de la science112
8. Comment savoir comment les mathématiques sont liées à la physique?113
9. L'exemple de Pierre Duhem114
10. Comment les grands physiciens ont conçu les mathématiques116
Chapitre 1. Les débuts de l'astronomie jusqu'à Ptolémée118
11. Les commencements118
12. Philolaos et son système119
13. Le Timée: le problème de Platon. Sauver les phénomènes121
14. Le passage mal connu du mathématique au physique. Sphères et cercles122
15. Importance de la coupure platonicienne entre le sensible et l'intelligible123
16. Eudoxe, au carrefour de plusieurs cultures125
17. Le système d'Eudoxe (408-355)126
18. Les sphères de Calippe127
19. Le modèle des sphères: le début de la physique mathématique128
20. Les hésitations d'Aristote en astronomie130
21. Le divorce des mathématiques et de la physique: une question épistémologique et métaphysique130
22. La distinction du monde de la terre et du monde céleste135
23. Les bonnes et les mauvaises hypothèses: Aristarque, Ératosthènes et Épicure137
24. Comment juger Aristarque?138
25. L'appareil mathématique de Ptolémée139
26. Comment apprécier l'oeuvre de Ptolémée140
27. Le rôle ambigu des mathématiques141
28. L'Avant-propos de la Composition Mathématique142
29. L'Avant-propos: la hiérarchie des trois sciences: ontologie, mathématiques et physique144
30. Le rapport mathématique et réalité: une question immémoriale146
31. La mathématique de Ptolémée comme instrument147
32. Les nuances de l'intelligence de Ptolémée148
Chapitre 2. Galilée150
33. Force de l'influence aristotélicienne150
34. La nouvelle physique mathématique151
35. Aperçu du mouvement chez Aristote151
36. L'épistémologie de Galilée est difficile à cerner152
37. Importance du rôle des mathématiques153
38. Importance de la réflexion philosophique sur la nature du mathématique154
39. Comment Galilée peut-il être dit platonicien?155
40. Galilée. Discorsi. La nouvelle rigueur: la méthode155
41. Différence entre les objets concrets physiques et mathématiques156
42. Galilée. Dialogues. Première journée. Le rapport aux nombres et à Platon157
43. Galilée. Dialogues: deux perspectives pour apprécier notre connaissance158
44. Connaissance et croyance sous le regard divin158
45. Le sentiment de la pensée logique159
46. Le livre de la nature: plusieurs Platons pour plusieurs Galilée161
47. Le réalisme de Galilée162
48. Plusieurs perspectives possibles162
49. L'analyse de E. Namer: Galilée sans métaphysique163
50. Conclusion: Éclairer Galilée ou éclairer Platon164
Chapitre 3. Kepler et la vision du monde166
51. Les lunettes du mathématicien166
52. Le visionnaire en mathématiques167
53. Il faut prendre Kepler tout entier167
54. Valeur heuristique de la croyance dans les mathématiques168
55. Lyrisme et travail169
56. Kepler, militant copernicien réaliste170
57. Il s'intéresse à des trajectoires physiques170
58. Sa vision du monde est protéiforme à dominante mathématique171
59. Il retrouve Ptolémée et s'éloigne de lui172
60. Les huit minutes du professionnel172
61. Le voyant ou le pythagoricien de la géométrie174
62. La géométrie intuitive du regard avant l'analyse du calcul175
63. Kepler: permanence de son intuition primitive du Mystère cosmographique175
Conclusion176
Chapitre 4. Newton178
64. Le savant, comme les autres, choisit son réel178
65. Sommes-nous plus newtoniens que Newton?179
66. Il s'agit d'une vison totale du monde180
67. Dieu comme quantificateur de réalité en cosmogonie182
68. La préface des Principia: nouvelle conception de la géométrie183
69. L'empirisme de l'induction183
70. La critique de Duhem184
71. Les mathématiques, déréalisées: elles sont des instruments184
72. Newton créateur en physique et en mathématiques185
73. La dérivée, fille de l'accélération186
74. Newton contre Descartes186
75. Avec le même vocabulaire, l'esprit des mathématiques a changé187
76. La méthode des premières et dernières raisons187
77. L'éclectisme épistémologique de Newton apprécié par Einstein188
78. Newton aussi difficile à cerner que Galilée188
79. Deux difficultés: l'attraction et l'espace absolu189
80. Descartes et Newton: l'opposition radicale sur l'espace190
Chapitre 5. Einstein191
81. La bonne question191
82. Les circonstances intellectuelles191
83. La géométrie et l'expérience: prestige des mathématiques192
84. La formulation de la question essentielle selon Einstein193
85. L'existence de la tendance axiomatique donnerait la réponse194
86. L'interprétation ancienne de la géométrie194
87. L'interprétation moderne: le nominalisme de Schlick195
88. L'interprétation moderne: l'axiomatique pure serait faite de concepts vides d'intuition196
89. Importance de la réflexion purement abstraite pour l'évolution de la physique197
90. La nouvelle conception, essentielle pour la découverte de la Relativité. La contraction de Lorentz198
91. La relativité du mouvement202
92. La relativité de Galilée et la relativité restreinte203
93. La nouvelle conception de la géométrie204
94. Le parti contraire de Poincaré, attaché à la géométrie euclidienne205
95. Une théorie efficace peut difficilement être absolument rigoureuse206
96. Intervention de Gonseth208
97. L'argumentation de Gonseth209
98. Bilan de l'apport de Gonseth210
99. Un nominaliste critiqué par un empiriste211
100. Le mystère de la pensée humaine211
101. Les géométries non euclidiennes à leur début212
102. Le problème des coordonnées215
103. La relativité générale et le calcul tensoriel: le quasi-miracle215
104. La prudence d'Hoffmann216
105. La belle question d'Einstein n'a pas de réponse complète217
106. Einstein a-t-il été vraiment nominaliste?219
107. Le mollusque et le réalisme219
108. Réponse en partie insatisfaisante d'Einstein220
109. Mathématiques et adéquation à la réalité221
110. La puissance du calcul tensoriel selon Bachelard222
111. Le réel: l'objet et l'observable224
112. Le réalisme d'Einstein225
Livre 3. Mathématiques, métaphysique et réalité227
Chapitre 1. Apologie des mathématiques.
La réponse de Hardy, mathématicien réaliste229
1. Retour aux deux questions essentielles229
2. On peut parfaitement faire de la philosophie sans les aborder229
3. Les mathématiciens les ont rencontrées à l'intérieur de leur discipline230
4. Elles posent un problème philosophique231
5. Les thèmes mathématiques et réalité s'entrecroisent232
6. Ce que montrent les deux premières parties233
7. L'origine de ces deux questions233
8. La première question: le problème de la définition n'est pas capital mais soulève une vraie difficulté234
9. Certains énoncés doivent être éclaircis234
10. La première question: les épistémologues passent outre235
11. Convergence des historiens et des épistémologues du XXe siècle sur la nature du mathématique236
12. La seconde question pourquoi les mathématiques sont-elles si efficaces pour décrire le monde?237
13. La réponse décevante de Ptolémée, Newton, Einstein239
14. La résistance du mathématicien réaliste240
15. La position de Hardy: Le mathématicien traite de l'essentiel qui est réalité240
16. Cet essentiel, c'est l'objet que recherche le mathématicien, sa beauté, la profondeur qu'exige sa pensée241
17. Les deux sens du terme mathématique242
18. La réalité mathématique de Hardy: elle est extérieure243
19. Le mathématicien contacte plus directement le réel que le physicien244
20. Intérêt de la position sans équivoque de Hardy244
21. Hardy et la haine de Dieu245
22. Bilan245
Chapitre 2. Première interprétation du réalisme platonicien246
23. Revenir à Platon246
24. Un interprète classique: Bréhier246
25. Platon multiforme et divers247
26. Conséquences qu'on a tirées de l'expression littéraire de Platon248
27. Subordination, selon Bréhier de la théorie des Idées à la méthode platonicienne249
28. La dialectique et l'arrêt de la chaîne des hypothèses251
29. Implication réciproque du mythe et de la science252
30. Science et dialectique de l'amour253
31. L'Idée, une notion métaphysique254
32. L'impossibilité du choix entre l'Un et le multiple257
33. Le problème des mixtes258
34. Bilan259
Chapitre 3. Connaissance et réalité261
35. Le réel de Platon261
36. Problème de vocabulaire262
37. Platon est un réaliste264
38. Réalisme et place des mathématiques: Descartes et Leibniz264
39. Le problème du connaître. Le mathématicien réaliste au coeur de la métaphysique de la connaissance265
40. Difficulté de représenter le processus de la connaissance266
41. La connaissance familière renvoie à l'altérité266
42. Indignation de Socrate267
43. La connaissance scientifique reste hypothético-déductive267
44. Pourquoi vouloir connaître au-delà?268
45. Explication économique du sens: la Forme268
46. La connaissance comme objectivité269
47. Les degrés de réalité270
48. L'être le plus réel est l'idée c'est-à-dire la relation271
49. Sujet objet272
50. Bilan273
Chapitre 4. Autres interprétations de Platon274
51. Le réalisme de Platon mis en question274
52. Réalisme et idéalisme chez Platon selon Moreau274
53. Condamnation du réalisme de l'intelligible275
54. La distinction insuffisante de l'être et de la vérité chez les mathématiciens réalistes275
55. Le mathématicien oublie qu'il est un sujet connaissant277
56. Comment l'être peut-il être intelligible277
57. L'ontologie finaliste de Platon278
58. Dévalorisation ontologique correspondante des mathématiques279
59. Conclusion de Moreau280
60. L'interprétation de M. Caveing. L'hypothèse mathématique281
61. Les hypothèses ne sont pas libres281
62. Les nombres sont des réalités particulières282
63. La seconde question283
64. Le discours objectif de Platon et sa critique possible284
65. Réalisation des essences et mysticisme284
66. Manque du sens de l'histoire et prétention abusive de la philosophie285
67. Les contrecritiques. La pensée de Platon a évolué285
68. Réalisation et participation peut-être compatibles286
69. Platon, mysticisme et théologie286
70. Pourquoi Platon refuse le sens de l'histoire287
71. La philosophie réfléchit sur le mathématique288
72. Parce que les mathématiciens s'interrogent288
73. Le philosophe donne une réponse philosophique289
74. La mathématique est au centre de la réflexion philosophique dès ses débuts290
Chapitre 5. L'enseignement oral de Platon. La thèse de Léon Robin292
75. La méthode292
76. Les Nombres idéaux294
77. Les Figures idéales294
78. L'existence des Idées295
79. Les intermédiaires du sensible aux Nombres295
80. Le premier intermédiaire: l'arithmétique et la géométrie296
81. Le second intermédiaire: l'Âme du Monde et le Vivant intermédiaire296
82. Les types divers de l'Être et ses dégradations progressives297
Commentaire:298
83. Achèvement de la pensée de Platon: connaissance, être et vérité298
84. Comment interpréter la parole de ce dernier enseignement298
85. Le Nombre, substance et néanmoins relatif299
86. Les Figures idéales. Espace et topologie299
87. L'existence des Idées. L'Idée est mixte301
88. Participation et Paradigmatisme301
89. La connaissance est mouvement303
90. Le Vivant en soi303
91. Conclusion304
Chapitre 6. Platon et les mathématiques aujourd'hui305
92. Le platonisme est encore d'actualité305
93. Les platonismes et leurs variantes306
94. Le genre d'existence d'un objet mathématique307
95. J. Dhombres. L'objet mathématique des mathématiciens308
96. La qualité de l'existence (A. Badiou)309
97. Mario Panza: Éclaircir le débat sur le réalisme312
98. M. Panza: la lecture de la septième lettre313
99. Quatre thèses relativement aux mathématiques314
100. Leporello et le bout de papier315
101. L'objet et le formalisme317
102. Du sensible à l'intelligible ou de l'intelligible au sensible319
103. Conclusion320
Chapitre 7. Albert Lautman: la recherche de l'absolu321
104. Introduction: de la nature du réel en mathématiques321
105. Le local et le global323
106. Propriétés intrinsèques et propriétés induites324
107. La montée vers l'absolu328
108. Essence et existence329
109. Les mixtes330
110. Du caractère exceptionnel de l'existence331
111. Conclusion: urgence des problèmes avant les solutions et existence des Idées332
112. Le souci de l'unité334
113. Continu et discontinu physiques et mathématiques335
114. La dialectique du continu et du discontinu336
115. Le passage à la métaphysique337
116. Existence des Idées et existence du monde338
117. Le recours à Heidegger339
118. La genèse des mathématiques à partir de la dialectique341
119. L'essence des Idées de la dialectique341
120. La genèse entre immanence et transcendance343
121. Arithmétique et analyse en théorie analytique des nombres344
122. Les lois de réciprocité345
123. La répartition des nombres premiers et la mesure de la croissance à l'infini346
124. Différence entre deux sortes de genèses347
125. Conclusion349
Chapitre 8. Cavaillès: autonomie et réalité du mathématique352
127. Ses refus. Critique de Kant354
128. Critique de l'intuitionnisme. Brouwer355
129. Brunschvicg et Cavaillès356
130. Husserl et la philosophie de la conscience357
131. La modification du vocabulaire359
132. L'effectif pour Cavaillès360
133. Le mathématique est autonome et s'explique par lui-même362
134. Le passage à la métaphysique364
135. Le rapport force sens365
136. Lautman et Cavaillès. La conférence commune du 4 février 1939366
Chapitre 9. Mathématiques, métaphysique et réalité368
137. Réponse de Lautman à la première question368
138. Réponse de Cavaillès369
139. La réponse à la seconde question: les difficultés370
140. La métaphysique classique: la rationalité du réel371
141. La métaphysique classique: le refus de l'histoire371
142. Le déclin de la métaphysique: la coupure avec les sciences372
143. Refus de l'épistémologie métaphysique. Le cas Bachelard373
144. Comment Cavaillès et Lautman sont entrés en métaphysique376
145. Comment une Idée pourrait elle être dans le monde physique?377
146. La substance. Représentation commune des conditions d'existence des choses377
147. L'intelligible et l'existence du sensible. La physique mathématique les rapproche379
148. Comment une Idée peut-elle être agissante et en quelque sorte avoir un pouvoir de cause efficiente sur d'autres idées?381
149. Comment des idées directrices peuvent-elles informer le monde physique. Il faut changer la vision caricaturale du platonisme382
150. Les lois de la nature: indice manifeste des idées directrices383
151. Les formes et la causalité. L'apologie de la forme de G. Chazal384
152. La forme et la science contemporaine387
153. Le secours inattendu ou la première tentation de Bachelard388
154. Dernière rétrospective391
155. Question: la disparition du sujet392
156. Question: la liberté: liberté intellectuelle395
157. Question: la liberté: liberté d'engagement397
158. Comment représenter la réalité? Réalité immédiate et réalité travaillée398
159. Cantor et la solidarité des deux aspects de la réalité400
160. Conclusion402