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Livre

Cézanne et Pissarro 1865-1885 : exposition, Musée d'Orsay, 28 février-28 mai 2006

Exposition. Paris, musée d'Orsay-. 2006

Exposition. New York, Museum of Modern Art-. 2006

Exposition. Los Angeles, County Museum of Art-. 2006

Résumé

Etudie les relations entre l'art de Paul Cézanne (1839-1906) et celui de Camille Pissarro (1830-1903) à partir du début de leur carrière jusqu'au milieu des années 1880. Vingt ans d'interférences et d'amitié. Portraits, natures mortes et paysages de Cézanne et de Pissarro sont réunis afin de restituer la convergence de la vision des deux peintres autour de 1875.


  • Autre(s) auteur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2006
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 256 p. : ill. ; 29 cm
  • Sujet(s)
  • Epoque
  • Lieu
  • ISBN
    • 2-7118-5043-9
  • Indice
    • 754.407 Peinture française de la fin du 19e et du début du 20e siècle
  • Quatrième de couverture
    • Rares sont les artistes à avoir eu une relation aussi intense et prolongée que Camille Pissarro (1830-1903) et Paul Cézanne (1839-1906). Après leur rencontre à Paris au cours de leurs études, dans les années 1860, ils nouèrent une amitié qui dura près d'un quart de siècle. Contrairement à Monet et Sisley, peintres de l'eau, Cézanne et Pissarro s'attachèrent à peindre la terre. Toute l'intensité de leur dialogue artistique se révèle dans leurs oeuvres des années 1865 à 1885, donnant lieu à l'un des échanges artistiques les plus fascinants du dix-neuvième siècle.

      « Ce fut aussi cette année-là [1863] que je connus Cézanne. J'avais alors, aux Batignolles, [...] un petit atelier que je partageais avec Bazille. Celui-ci arriva, un jour, accompagné de deux jeunes gens : "Je t'amène deux fameuses recrues !" C'étaient Cézanne et Pissarro... »
      Auguste Renoir
      (selon Ambroise Vollard, Auguste Renoir, 1920)

      « Cézanne [...] a subi mon influence à Pontoise et moi la sienne. [...] Ce qu'il y a de curieux, c'est [...] la parenté qu'il y a dans certains paysages d'Auvers, Pontoise et les miens. Parbleu, nous étions toujours ensemble ! mais ce qu'il y a de certain, chacun gardait la seule chose qui compte, "sa sensation"... ce serait facile à démontrer... »
      Pissarro à son fils Lucien, 22 novembre 1895


  • Origine de la notice:
    • BPI
  • Disponible - 754.407 CEZ

    Niveau 3 - Arts