par Storme, Tristan (1984-....)
les Éd. du Cerf
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Disponible - 320 SCHM 2
Niveau 2 - Politique
par Storme, Tristan (1984-....)
les Éd. du Cerf
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Disponible - 320 SCHM 2
Niveau 2 - Politique
Réflexion sur l'aversion envers le judaïsme de C. Schmitt attribuée à son affinité intellectuelle avec Marcion, l'hérésiarque de Sinope, auteur vers 140 d'¤¤Antithèses¤¤. L'enjeu de l'hypothèse du marcionisme théologico-politique soulevée ici est de savoir si les implications théologiquement politiques du judaïsme sont incompatibles avec celles du christianisme.
Carl Schmitt et le marcionisme
Depuis la publication en français du Der Leviathan de Carl Schmitt, en 2002, l'antisémitisme du juriste allemand a nourri bien des débats autour de la pensée du théoricien du politique. Carl Schmitt et le marcionisme tente d'approcher l'aversion du penseur catholique à l'endroit du judaïsme sous un angle particulier.
L'intuition selon laquelle il existerait une affinité intellectuelle entre Schmitt et l'hérésiarque de Sinope, entendue ça et là, réclamait, en effet, un approfondissement spécifique. Tristan Storme formule ainsi l'hypothèse d'un « marcionisme théologicopolitique » qu'il tente d'appliquer et de tester à travers l'entière trajectoire de l'oeuvre de Schmitt. L'enjeu étant de savoir si, pour le juriste rhénan, les implications théologiquement politiques du judaïsme se révèlent radicalement incompatibles avec celles du christianisme.
Disponible - 320 SCHM 2
Niveau 2 - Politique