La situation des salaries dans les opérations de transfert d'entreprise en droit compare : France, Royaume-Uni, États-Unis
Marie-Hélène Chezlemas
L.G.D.J
Lextenso
PréfaceV
Table des abréviationsVII
SommaireXI
Introduction1
Première partie
Des différences de méthode
Titre I. La diversité des instruments19
Chapitre I. Les normes21
Section I. Les sources de protection21
§1. Les sources françaises et anglaises : une protection conforme aux exigences du droit communautaire
22
A. Le droit français : une législation préexistante qui s'est ajustée au droit communautaire22
B. Le droit anglais : une législation ad hoc visant à transposer le droit communautaire24
1. Transfert d'entreprise et common law24
2. Transfert d'entreprise et droit anglais avant la directive 77/187/CEE25
3. Transfert d'entreprise et droit anglais après la directive 77/187/CEE27
§2. Le droit américain : un droit ancré dans la réglementation des relations collectives
32
A. Les sources fédérales et jurisprudentielles33
1. Le NLRA et la jurisprudence du NLRB et des Cours fédérales33
2. Le WARN Act35
B. Les autres sources36
1. Les sources conventionnelles36
2. Les sources relevant du droit des Etats et les lois spéciales37
a) Les sources relevant du droit des Etats
37
b) Les lois spéciales
37
Section II. Le champ d'application de la protection39
§1. Le champ d'application territorial
39
A. Transfert à l'intérieur et en dehors des États-Unis39
B. Transfert à l'intérieur ou en dehors de l'Union Européenne40
1. Transfert d'un pays de l'Union Européenne vers l'étranger41
2. Transfert intra-communautaire43
§2. Le champ d'application personnel
51
A. L'employeur : une entreprise exerçant une activité économique51
1. Les droits français et anglais offrent une définition conforme au droit communautaire51
a) Droit français
52
b) Droit anglais
53
2. Le droit américain adopte une définition fondée sur le droit de la négociation collective54
B. Le travailleur : une interprétation variable du salariat55
1. Le « travailleur » de droit communautaire se transpose différemment en droit français et anglais55
a) La personne liée par un contrat de travail en droit français
56
b) Le salarié au sens large en droit anglais
57
2. Le salarié susceptible d'être représenté collectivement en droit américain59
§3. Le champ d'application matériel
61
A. Un champ d'application relayé différemment en droit français et anglais61
1. Droit français : d'une acception large à une acception circonstanciée62
a) une entité économique
66
b) une entité autonome
67
c) une entité maintenant son identité
72
2. Droit anglais : d'une acception restrictive à une acception large74
a) Du transfert d'entreprise au transfert d'activité
77
b) Des applications confuses de la jurisprudence communautaire
78
c) Vers une jurisprudence harmonisée
83
B. Un champ d'application tributaire de l'obligation en cause en droit américain89
1. Une appréciation a posteriori des obligations des employeurs successifs90
2. Les conditions de travail des salariés repris doivent demeurer inchangées92
C. La recherche d'un dénominateur commun94
1. Une protection conditionnée au maintien de l'identité de l'entité transférée94
2. Un critère apprécié d'une façon plus ou moins restrictive selon le système étudié97
Chapitre II : Les acteurs101
Section I. La détermination des représentants du personnel compétents102
§1. La reconnaissance du rôle des représentants du personnel
102
A. Le principe d'une implication des représentants des salariés103
1. Droit français : un rôle spécifique s'inscrivant dans le cadre d'un devoir général de concertation103
2. Droit anglais : un rôle limité qui répond strictement aux exigences du droit communautaire106
a) L'absence d'un devoir général d'information et de consultation
106
b) L'existence d'une obligation spécifique d'information et de consultation dans le cadre des opérations de transfert d'entreprise
109
3. Droit américain : une intervention de source prétorienne110
B. L'identité des interlocuteurs de l'employeur111
1. Droit français : un partage des pouvoirs entre instance de consultation et instance de négociation111
2. Droit anglais : les salariés sont représentés par le syndicat ou par un organe ad hoc115
a) La mise en conformité du droit anglais avec les exigences du droit communautaire
116
b) L'identité des représentants appropriés des salariés
119
3. Droit américain : une représentation exclusive des salariés par le syndicat majoritaire122
a) Le principe de représentation exclusive
122
b) L'exception de la représentation informelle
124
§2. Le niveau de la représentation et de la concertation
130
A. Le niveau de la représentation130
1. Droit français : une représentation multi-niveaux130
2. Droit anglais : une représentation généralement assurée au niveau de l'entreprise133
3. Droit américain : une représentation assurée au sein de l'entreprise, du métier, de l'établissement ou de l'une de leurs subdivisions136
a) Le principe de la représentation au niveau de l'entreprise ou de l'établissement
138
b) L'exception de la représentation par branche d'activité ou par métier
138
B. Le niveau de la concertation140
1. La délégation d'autorité140
2. La prise en compte de la dimension du groupe en dehors du territoire national144
a) Au sein de l'Union Européenne
145
b) En dehors de l'Union Européenne
150
Section II. Le rôle des représentants du personnel153
§1. Les décisions soumises à concertation
153
A. Une acception différente en droit français et anglais
B. Les décisions relatives à des sujets obligatoires de négociation en droit américain154
1. L'employeur doit négocier sur certaines décisions économiques155
2. La mise en balance des intérêts des parties157
3. Les arrêts de la Cour Suprême revisités161
§2. La nature et le moment de la concertation
167
A. Information, consultation ou négociation ?167
1. Droit français : information et double consultation sur l'opération et sur ses conséquences168
2. Droit anglais : information et consultation sur les conséquences de l'opération170
3. Droit américain : négociation sur les conséquences de l'opération171
B. Le moment de la concertation175
1. Droit français : une consultation préalable à la prise de décision176
2. Droit anglais : une concertation devant avoir lieu suffisamment longtemps avant le transfert178
3. Droit américain : une négociation préalable à la mise en oeuvre de la décision180
a) Le moment de négocier sur la décision elle-même
181
b) Le moment de négocier sur les effets de la décision
181
Conclusion du Titre I187
Titre II. La diversité des objectifs189
Chapitre I. La protection de l'emploi191
Section I. La protection des droits individuels des salariés191
§1. La reprise des salariés, conséquence automatique du transfert d'entreprise
192
A. Le caractère réciproque et automatique du transfert192
1. Les objectifs : entre continuité de l'entreprise et maintien de l'emploi192
2. La mise en oeuvre de ces objectifs : l'automaticité du transfert194
3. L'absence d'obligation d'informer les salariés sur leur transfert200
a) Droit français : absence de droit d'information préalable du salarié
201
b) Droit anglais : information obligatoire en l'absence de représentants du personnel
203
B. Le contrat de travail est maintenu dans son contenu et ses modalités d'origine206
1. Droit français : transfert du contrat et des droits attachés207
2. Droit anglais : transfert des droits nés du contrat de travail ou liés à son existence210
§2. La détermination des salariés transférés
213
A. Droit français : transfert partiel des emplois partiellement attachés à l'activité transférée215
B. Droit anglais : transfert des emplois affectés à la partie d'activité transférée221
Section II. Les obstacles au transfert des salariés au cessionnaire227
§1. Le refus du transfert
227
A. Le droit d'opposition227
1. L'absence de droit d'opposition en droit français228
a) Sur le principe d'un droit d'opposition
230
b) Sur les conséquences de l'exercice du droit d'opposition
232
2. Le droit d'opposition admis par le droit anglais242
B. Le refus convenu du transfert245
1. Droit français246
2. Droit anglais248
§2. Le refus de la modification de son contrat par le salarié du fait du transfert
251
A. La modification substantielle de droit français252
B. Le « constructive dismissal » de droit anglais256
Chapitre II. La préservation de la paix sociale259
Section I. La protection des droits collectifs des salariés259
§1. L'absence de principe de transfert des contrats de travail
260
A. L'absence de transfert organisé par la loi260
B. Le transfert virtuel organisé par le WARN Act261
§2. Les effets du changement d'employeur sur les relations collectives de travail
265
A. La préservation de la paix sociale au service de l'entreprise265
1. La protection du commerce par le droit à la négociation266
2. L'appréciation restrictive des droits reconnus par le NLRA268
B. La préservation de la paix sociale, justification de la protection des salariés271
Section II. La reprise des salariés, conséquence volontaire du transfert d'entreprise273
§1. La libre détermination des salariés repris
273
A. L'exception des décision d'embauche discriminatoires274
B. L'exception de la « constructive discharge »277
§2. La volonté du cessionnaire génératrice de droit pour les salariés
279
A. Le nombre de salariés repris détermine les obligations du cessionnaire279
1. La détermination du nombre de salariés repris280
2. Le moment auquel s'apprécie la composition des effectifs du cessionnaire283
B. L'absence de reprise des droits des salariés sauf volonté contraire du cessionnaire (« perfectly clear exception »)286
Conclusion du titre II295
Conclusion de la première partie297
Seconde partie
Une convergence de résultats
Titre I. Le transfert n'efface pas le pouvoir de direction301
Chapitre I. Le caractère provisoire du maintien des droits des salariés303
Section I. Le maintien des droits des salariés dépend de leur nature juridique304
§1. Sort des conventions et accords collectifs
304
A. Droit français : un maintien provisoirement assuré305
1. L'absence de principe de transfert des droits conventionnels306
2. L'organisation d'une période transitoire de maintien des droits conventionnels308
B. Droit anglais : un maintien suspendu au bon vouloir du cessionnaire à défaut d'intégration au contrat de travail310
1. Le principe de la libre disposition par le cessionnaire des droits garantis collectivement310
2. L'exception de l'intégration au contrat de travail des droits garantis collectivement311
C. Droit américain : la prédominance de l'obligation de recourir à l'arbitrage313
1. L'absence d'obligation de maintien du statut conventionnel314
2. L'obligation de recourir à l'arbitrage (« duty to arbitrate »)316
3. La survie de la convention collective aux seules fins d'arbitrage322
§2. Sort des instances représentatives du personnel
324
A. Droit français : un maintien des mandats conditionné325
B. Droit anglais : un transfert de principe de la reconnaissance du syndicat comme partenaire à la négociation (« transfer of recognition »)327
C. Droit américain : le devoir de négocier du cessionnaire (« duty to bargain »)330
1. Le principe de continuité du mandat du syndicat accrédité331
2. Le devoir de l'employeur - successeur de négocier avec le syndicat accrédité333
Section II. Le maintien des droits des salariés dépend du cessionnaire337
§1. Le maintien des droits conditionné à l'autonomie de l'entité transférée
337
A. Le sort des instances représentatives du personnel338
1. Droit français : la remise en cause de l'existence des institutions et de la continuation des mandats338
2. Droit anglais : la remise en cause de la reconnaissance du syndicat comme partenaire à la négociation340
3. Droit américain : la remise en cause du caractère approprié de l'unité de négociation ou du caractère majoritaire du syndicat343
a) La mise en cause du caractère approprié de l'unité de négociation
343
b) La mise en cause du pouvoir de représentation du syndicat
347
B. La mise en cause du statut collectif par le changement d'employeur351
1. Droit français : la substitution à l'ancien statut d'un nouveau statut conventionnel ou d'un statut conventionnel modifié352
a) La survie provisoire de l'ancien statut
353
b) La négociation d'un accord de substitution
355
2. Droit anglais : un statut collectif peu contraignant pour le cessionnaire361
3. Droit américain : l'absence de reprise du statut collectif sauf engagement du cessionnaire362
a) Le non maintien du statut collectif après le transfert
362
b) Efficacité des clauses dites de « succession »
363
§2. Le maintien des droits à l'épreuve de l'appartenance du salarié à une nouvelle entreprise
368
A. Le pouvoir d'adaptation des conditions d'emploi par le nouvel employeur368
1. Droit français368
2. Droit anglais372
3. Droit américain374
B. La conservation des avantages acquis, une particularité du droit français374
Chapitre II. L'absence d'interdiction de licencier381
Section I. Le principe de la rupture du contrat de travail encadrée382
§1. L'exercice du droit au licenciement dans le contexte du transfert d'entreprise
382
A. Le principe de transfert automatique se heurte au pouvoir de direction en droit français382
B. Droit anglais : un droit du licenciement peu enclin à limiter le pouvoir de direction388
C. Droit américain : l'emploi et le licenciement à discrétion402
§2. Le licenciement est valable dès lors qu'il intervient pour un motif économique, technique ou d'organisation
405
A. Droit français : un motif interprété à la lumière du droit du licenciement économique405
B. Droit anglais : un motif spécifique de licenciement impliquant un changement sur le plan de l'emploi408
C. Droit américain : l'absence de distinction fondée sur la justification économique de la rupture du contrat414
Section II. Les limites légales ou conventionnelles au droit au licenciement416
§1. La recherche du véritable motif des licenciements par les tribunaux
416
A. Droit français : la sanction des licenciement destinés à éviter la continuation des contrats de travail417
B. Droit anglais : la recherche du lien de cause à effet entre licenciement et transfert d'entreprise422
C. Droit américain : la recherche de la sincérité du motif allégué par l'employeur426
§2. L'employeur s'est engagé à ne pas procéder à des licenciements : validité des clauses de garantie d'emploi
433
A. Droit français : des garanties à efficacité variable433
1. Au niveau individuel433
2. Au niveau collectif436
B. Droit anglais : des garanties sans force obligatoire à moins d'être intégrées au contrat de travail439
1. Au niveau individuel439
2. Au niveau collectif441
C. Droit américain : des mesures d'accompagnement plus que de véritables garanties d'emploi446
1. Au niveau individuel446
2. Au niveau collectif447
Conclusion du titre I457
Titre II. Le transfert déclenche un certain degré de contrôle459
Chapitre I. Le contrôle des décisions de transfert461
Section I. L'étendue et les modalités du contrôle des représentants du personnel461
§1. Le déroulement et les modalités de la concertation
462
A. Modalités de la concertation462
1. Droits français et anglais : un dialogue qui s'organise autour de la remise d'informations aux représentants du personnel462
2. Droit américain : le devoir mutuel des parties de négocier de bonne foi464
a) Le devoir de négocier
465
b) Le devoir de négocier jusqu'à l'impasse
466
B. Informations de nature à être divulguées aux représentants du personnel et traitement de l'information468
1. Droit français : toute information précise et écrite nécessaire à la formulation d'un avis motivé468
a) Obtention de l'information
469
b) Traitement de l'information
470
2. Droit anglais : des informations distinctes de celles communiquées dans le cadre de la négociation collective472
a) Obtention de l'information
472
b) Traitement de l'information
475
3. Droit américain : toute information dont la pertinence et la nécessité est établie478
a) Informations présumées pertinentes
479
b) Informations dont la pertinence doit être prouvée par le syndicat
479
c) Traitement de l'information
483
§2. Limites et effectivité du contrôle
487
A. Les obstacles à l'accès à l'information487
1. Droit français : des obstacles plus pratiques que légaux488
2. Droit anglais : l'exception dite des « circonstances spéciales »491
3. Droit américain : une divulgation suspendue à l'absence d'opposition légitime de l'employeur et de renonciation du syndicat à son droit493
a) L'opposition légitime de l'employeur
494
b) La renonciation du syndicat à son droit
495
B. La place des salariés dans la prise de décision ou l'effectivité du dialogue social497
1. Droits français et anglais : l'exercice d'un contrôle sans grande influence sur la prise de décision497
2. Droit américain : une place limitée qui subit l'influence du système adversarial498
3. La place des salariés dans les organes de direction de l'entreprise504
a) Droit français : une participation à effet limité
504
b) Droit anglais : l'encouragement de l'optimisation du travail
508
c) Droit américain : une participation cantonnée à la négociation
511
Section II. Les sanctions du manquement à l'obligation de concertation de l'employeur514
§1. Les sanctions a priori de la violation de l'obligation de concertation
515
A. La véritable arme des représentants du personnel en droit français515
1. L'injonction515
2. La suspension judiciaire de la procédure516
B. Des moyens limités pour les représentants du personnel en droit anglais518
C. La consécration des larges pouvoirs du NLRB et du recours à l'arbitrage en droit américain520
1. La sanction de la pratique déloyale de travail de l'employeur520
2. Les recours liés à l'application des dispositions de la convention collective524
3. Les difficultés pratiques liées à l'application des dispositions de la convention collective527
§2. Les sanctions a posteriori de la violation de l'obligation de concertation
529
A. Droit français : l'acception punitive de la sanction529
1. La sanction du délit d'entrave529
2. La réparation du préjudice par le recours aux règles délictuelles ou contractuelles532
3. La réparation pécuniaire du préjudice des salariés533
B. Droit anglais : le besoin d'une sanction effective, proportionnée et dissuasive537
C. Droit américain : le besoin d'une sanction plus punitive que réparatrice539
1. La sanction de la violation du préavis imposé par le WARN Act539
2. L'efficacité variable de la sanction de la pratique déloyale de travail540
Chapitre II. Le contrôle des effets du transfert545
Section I. La sanction et la réparation du licenciement irrégulier545
§1. La sanction du licenciement irrégulier
546
A. Droit français : un licenciement sans effet offrant des possibilités de recours élargies au salarié546
B. Droit anglais : une sanction identique à celle prononcée contre tout licenciement abusif552
C. Droit américain : une sanction réparatrice fonction des circonstances de l'espèce et du préjudice subi554
1. La sanction du licenciement prononcé en violation de la section 8(a)(3) du NLRA555
2. La sanction du licenciement prononcé en violation d'une clause de garantie d'emploi555
§2. La réintégration est-elle possible ?
558
A. Droit français : une réintégration traditionnellement réservée aux salariés protégés559
1. Un fondement à rechercher dans les textes concernant le droit du licenciement561
2. Un fondement à rechercher dans le statut de salarié ordinaire561
B. Droit anglais : la réintégration, réparation théorique du licenciement abusif567
C. Droit américain : la réintégration, conséquence de la sanction du licenciement573
Section II. La responsabilité des employeurs successifs575
§1. La détermination du ou des débiteurs des salariés
576
A. Droit français : la répartition de la dette entre employeurs est inopposable au salarié576
B. Droit anglais : le transfert des obligations entraîne le transfert de responsabilité578
C. Droit américain : l'absence de transfert des obligations répond à l'absence de maintien automatique des droits des salariés repris582
1. L'absence de transfert automatique des obligations du cédant582
2. Un transfert de responsabilité limité dans le cadre du WARN Act583
§2. Les rapports entre employeurs successifs et la contribution définitive à la dette
585
A. Droit français : le recours possible entre employeurs à défaut de convention contraire586
B. Droit anglais : une stricte répartition des responsabilités591
C. Droit américain : la responsabilité du cessionnaire pour les pratiques déloyales de travail commises par le cédant594
Conclusion du titre II603
Conclusion de la seconde partie605
Conclusion générale607
Bibliographie613
Index alphabétique651
Table des matières657