Liber Amicorum Darcy
Mathieu Doat
Patrick Charlot
Bruylant
Avant-propos
Jacques Moreau
Professeur émérite à l'Université de Paris II, Panthéon-Assas9
Rêves de droit
Jean-Michel Belorgey
Conseiller d'État11
Quelques observations sur « le pouvoir du juriste »
Jacques Caillosse
CERSA (U.M.R. - C.N.R.S)
Professeur à l'université de Paris II, Panthéon-Assas29
Déconstruction30
Problématique35
I. - Le juriste face au(x) texte(s)
37
A. Représentation
38
B. Qualification
40
C. Interprétation
41
II. - Le justice face à la société
43
A. Du rôle du juriste dans le réglage du Grand Récit de l'État
44
B. Quelle(s) implication(s) éventuelle(s) du juriste dans la gestion des affaires de l'État ?
47
En guise de conclusion (toute provisoire)
49
Le logement et l'âge de la personne
Catherine Philippe
Maître de conférence à l'université de Franche-Comté
Françoise Clerc
Ingénieure d'étude à l'Université de Franche-Comté51
I. - Le logement du mineur
57
II. - Le logement de l'adulte
60
III. - Le logement du senior
64
Conclusion : le dernier logement
67
Les contours de la notion d'intérêt général en droit international public
Catherine Colard-Fabregoule
Maître de conférences-HDR à l'Université de Paris 13 (Paris Nord)71
I. - Une présence polysémique de la notion d'intérêt général dans les grands textes du droit international public : une multitude de valeurs qui participent à l'éclairage de la notion
74
A. Une valeur commune entre les peuples oscillant entre la mise en commun des intérêts étatiques et de ceux de l'humanité
75
B. Le cas des pays en développement ou la problématique de l'intérêt général (particulier)
81
II. - Les mutations de la notion d'intérêt général entre élargissement et privatisation
86
A. Les impacts de la crise de la gouvernance internationale sur la vision de l'intérêt général international
88
B. L'imprégnation du droit international par une vision déléguée de l'intérêt général
92
Le traité de Lisbonne et la perception extérieure de l'Union européenne
Vlad Constantinesco
Professeur à l'université de Strasbourg97
I. - Comment le traité de Lisbonne entend-il favoriser une meilleure perception de l'Union européenne à l'extérieur ?
100
A. Le président « stable » du Conseil européen
101
B. Le haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de la sécurité
103
C. Le président en exercice du Conseil de l'Union européenne
104
D. Le président de la Commission européenne, les autres membres de la Commission
106
II. - L'image extérieure de l'Union : symphonie ou cacophonie ?
107
A. Les choix
108
B. Les indications des nouveaux responsables
109
Abécédaire fantaisiste
Delphine Costa
Professeur à l'Université d'Avignon et des Pays du Vaucluse
Directrice du laboratoire « Biens, Normes, Contrats (EA 3788) » et du Collège des études doctorales115
Politique migratoire française et européenne et relations avec les pays africains
Christel Cournil
Maître de conférences-HDR à l'Université Paris 13 (Paris Nord) Iris (C.N.R.S, INSERM, EHESS, Paris 13)135
I. - Déploiement de relations bilatérales de gestion concertée des flux migratoires avec les pays africains : de l'exemple français au Pacte européen
138
A. Les accords bilatéraux avec les pays tiers, une pratique déjà ancienne
139
B. Les accords bilatéraux franco-africains de gestion concertée des flux migratoires, une contractualisation partenariale inégalitaire
141
C. L'avenir de la gestion concertée, la mise en oeuvre du Pacte européen sur l'asile et l'immigration
147
II. - Développement de relations de sous-traitance et d'influence sur les pays africains
149
A. Partenariat versus sous-traitance avec les pays africains sur les contrôles migratoires
150
B. Mimétisme juridique : l'alignement de la législation migratoire des pays africains sur les exigences européennes
153
Annexe 1
Extrait du Rapport du Sénat présenté par Catherine Tasca sur les accords de gestion concertée des flux migratoires, p. 20
158
Annexe 2
La densité croissante des modes de coopération bilatérale en matière de réadmission impliquant les pays européens
159
Un Fouriériste à l'école : Victor Considerant
Claude Couvroisie
Professeur à l'université de Bourgogne163
I. - L'élève et le maître
164
II. - L'élève et l'école
173
Les réflexions sur l'enseignement et l'étude du droit de Dupin Aîné
Maryse Deguergue
Professeur à l'Université Paris 1, Panthéon-Sorbonne187
I. - Le fond : la liberté d'expression
190
II. - La forme : l'enseignement est un art
193
L'interdiction de condamner une personne publique à une somme qu'elle ne doit pas
Grandeur et décadence de la jurisprudence Mergui
Benoît Delaunay
Professeur de droit public à l'université de Poitiers199
I. - Le choix de l'extension de la jurisprudence Mergui
203
A. Le champ d'application du principe d'interdiction
203
1. Le champ d'application matériel du principe203
2. Le champ d'application personnel du principe206
B. Le statut applicable au principe d'interdiction
208
1. Un principe du droit public208
2. Une règle d'ordre public210
II. - Le pari de l'extinction de la jurisprudence Mergui
212
A. L'inadaptation du principe d'interdiction
213
1. L'inadaptation des fondements traditionnels du principe d'interdiction213
2. L'inadaptation du procédé transactionnel au principe d'interdiction214
B. La substitution au principe d'interdiction
217
1. La réparation intégrale218
2. La personnalité morale220
« Pourquoi est-il si difficile de décentraliser en France ? »
Alain Delcamp
Président d'honneur du Comité d'experts du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l'Europe223
La planète des sages
Le Conseil constitutionnel, la doctrine et la démocratie
Éric Desmons
Professeur de droit public à l'Université Paris 13231
I. - La théorie de l'aiguillon (ou bienvenue au conseil d'administration)
234
II. - La République des plaideurs (ou comment plumer la volaille citoyenne)
238
Scolie 1
242
Scolie 2
244
« ... et la décision fut exécutoire »
Retour en forme de généalogie sur un mythe juridique
Lauréline Fontaine
Professeur à l'Université de la Sorbonne nouvelle - Paris III253
I. - L'attribut « exécutoire » et l'analyse des pouvoirs
257
A. La voie « exécutoire » de la centralisation du droit et de la justice
257
1. La publicisation de l'attribut exécutoire258
2. La captation de l'exécutoire par le pouvoir exécutif et administratif262
B. L'affirmation des pouvoirs de l'administration
264
1. L'assimilation des décisions juridictionnelles et des décisions administratives266
2. L'entrée en vigueur des actes administratifs272
II. - La construction de la théorie de la « décision exécutoire » en droit administratif français
276
A. Une progression doctrinale vers la décision « exécutoire »
277
1. Les premiers pas avec E. Laferrière : la décision exécutoire, « notion-critère »277
2. La construction de Maurice Hauriou : la décision exécution, « notion-référence »279
B. La banalisation de la notion de décision exécutoire en droit administratif français
287
1. La décision exécutoire est une décision... qui peut être exécutée288
2. Le nouveau terrain normatif de la décision exécutoire291
Le régime juridique des oeuvres d'art dans les édifices du culte
Yves Gaudemet
Professeur à la Faculté de droit de Paris295
I. - La beauté appartient à tout le monde
296
II. - Son usage n'appartient pas au propriétaire
299
III. - Affectation cultuelle et utilisation culturelle
303
Les limites apportées à la réparation du préjudice écologique : quelles excuses pour le responsable ?
Béatrice Hadege-Raduta
Maître de Conférences en Droit Public - Université Paris 13 (Paris nord)309
I. - La reconnaissance des clauses exonératoires au sein de la responsabilité environnementale : Fonction d'équilibre ou négation d'une responsabilité à peine naissante ?
311
A. La complexité des débats portant sur la recevabilité des causes exonératoires : un enjeu pour le développement durable
311
B. Le compromis issu de l'avancée communautaire : vers un accueil tempéré de l'idée d'exonération
315
1. Un cadre juridique déjà amorcé : la directive 2004/35/CE sur la responsabilité environnementale316
2. La vision « transposée » du droit français : la loi n° 2008-757 du 1er août 2008 relative à la responsabilité environnementale321
II. - La mise en place des causes exonératoires au sein de la responsabilité environnementale
323
A. Les cas d'exonération ouverts à l'exploitant en cas de dommages environnementaux : les dérogations au droit commun de la responsabilité
323
1. L'exclusion de certaines causes libératoires classiques : Quid de la force majeure et de la faute de la victime324
2. La consécration du risque de développement, homologue du cas fortuit ?326
B. L'originalité du fonctionnement libératoire dans le cadre de la responsabilité environnementale
330
1. La reconnaissance classique du double rapport de causalité et d'imputabilité, fondement du mécanisme libératoire ?330
2. Le jeu des causes exonératoires en matière de responsabilité environnementale : spécificité ou incohérence ?333
a. La recevabilité des causes exonératoires conditionnée à l'absence de faute du requérant334
b. L'ambiguïté de la notion d'exonération : exonération de responsabilité ou simple exonération financière ?337
3. La question de la contribution à la dette : la voie ouverte à l'industriel obligé338
L'union européenne : drôle d'endroit pour une rencontre entre droit et biomédecine
Stéphanie Hennette-Vauchez
Professeur de droit public Université de Paris Ouest Nanterre La Défense341
I. - Les histoires parallèles du droit de l'Union européenne et des questions de biomédicine
343
A. Droit de l'Union européenne et valeurs non économiques
344
B. L'économie des questions de biomédecine
347
C. Un droit de la biomédecine à l'échelle de l'Union européenne
350
1. Les valeurs non économiques en droit européen : jusqu'où ?352
2. La régulation juridique de la biomédecine : quel paradigme ?354
II. - Le rôle de l'« éthique », instrument de la gouvernance européenne, dans l'apparition d'un droit de la biomédecine au sein de l'Union européenne
359
A. La pénétration de l'éthique (bioéthique) dans le droit de l'Union européenne
359
1. L'incorporation directe de principes éthiques dans les actes juridiques de l'Union européenne365
2. L'éthique comme moyen d'externalisation du conflit politique au cours du processus normatif370
3. L'éthique sous la forme des nouveaux modes de gouvernance372
B. L'éthique et la nouvelle gouvernance démocratique
374
Quelques réflexions sur la vulnérabilité du droit communautaire dérivé
Philippe Icard
Maître de conférences à l'Université de Bourgogne381
Avant-propos381
Introduction381
I. - Une complexité procédurale : fondement de la vulnérabilité
385
A. Une procédure normative classique embrouillée
386
B. Des techniques informelles impuissantes
396
II. - Une multitude de dérogations : l'accentuation de la vulnérabilité
403
A. Des dérogations issues des traités : supports de la vulnérabilité
404
B. Des dérogations fragmentant le droit communautaire dérivé
412
L'État et l'errance
Réflexions libre sur un certain rapport du lié et du délié
Véronique Labrot
Maître de conférence à l'université de Brest
Membre de l'UMR AMURE-Cedem421
I. - Les fondations immobilières de l'État : lefixe contre le mobile
423
A. L'État comme structure de terre ferme
424
1. La terre immobile comme espace social premier424
2. Le fluide de la mer comme utopie (u-topos)426
B. L'État comme formation politique d'une population sédentaire
430
II. - Les obsessions immobilisatrices de l'État : la tension fixe / mobile
433
A. La mobilité de l'État par la continuité
434
1. L'extension du pouvoir à l'extérieur ou la continuité territoriale434
2. La circulation du pouvoir à l'intérieur ou la continuité de l'action436
B. L'arraisonnement de la population par la maîtrise de l'espace
439
1. La maîtrise d'une circulation transparente439
2. L'espace privé comme seul lieu de séjour ou la reproduction territoriale444
Conclusion446
Procédure administrative contentieuse et procès équitable
Le difficile dialogue entre la Cour européenne des droits de l'homme et le Conseil d'État
François Julien-Laferrière
Professeur émérite de l'Université Paris-Sud449
I. - Procès équitable et double compétence consultative et contentieuse
451
A. L'arrêt Procola c. Luxembourg
451
B. L'insuffisante réaction immédiate de la France
453
C. La tardive mise en conformité du droit français
454
II. - Procès équitable, égalité des armes et respect du contradictoire
456
A. La procédure française et les arrêts Reinhardt et Slimane-Kaïd
457
B. Les résistances des juridictions administratives françaises
458
C. La réalisation presque parfaite de l'égalité des armes et du contradictoire
459
III. - Procès équitable et impartialité du tribunal
461
A. La condamnation de la participation du commissaire du gouvernement au délibéré
461
B. Le refus d'alignement immédiat de la France
463
C. La réforme a minima du délibéré au Conseil d'État
464
Conclusion466
À propos des personnes morales
Marie-Aimée Latournerie
Conseiller d'État469
L'évolution de la responsabilité administrative hospitalière à travers l'exemple des greffes d'organes
Anne Marceau
Maître de conférences à l'Université de Franche-Comté489
I. - L'application continue du régime de responsabilité pour faute à l'activité transplantationnelle : la confirmation du caractère de droit commun du régime de responsabilité pour faute
494
A. La sanction de la faute médicale « éthique »
496
1. Le défaut d'information de la personne transplantée497
2. Le défaut d'information de la famille du donneur décédé499
B. La sanction de la faute médicale « technique »
502
1. La faute commise lors de l'opération transplantationnelle ou de son suivi502
2. La carence dans la vérification de l'absence de contamination du greffon503
II. - Le déclin de l'application du régime de responsabilité sans faute à l'activité transplantationnelle : le rêve brisé d'une responsabilité dénuée de faute
506
A. L'obsolescence progressive du régime de responsabilité sans faute pour aléa thérapeutique
508
1. Le risque chez la personne greffée509
2. Le risque chez le donneur vivant511
B. L'inapplicabilité aux greffons contaminés du régime de responsabilité sans faute pour produits défectueux
514
1. Les divergences des Cours administratives d'appel sur le statut du greffon514
2. Le refus du Conseil d'État de considérer le greffon défectueux comme un produit517
Les rêveries du promeneur local
Elisabeth Mella
Maître de conférences à l'Université Paris-Dauphine525
I. - La présentation habituelle du pouvoir local : le pouvoir local vu comme pouvoir administratif
528
A. Le contenu de la présentation habituelle
528
B. L'interprétation de la présentation habituelle
530
II. - L'autre présentation du pouvoir local : le pouvoir local vu comme pouvoir politique
533
A. La nature du pouvoir local
533
B. Les contraintes du pouvoir local
537
À propos de l'expression « service public »
Quelques considérations historiques
Jean-Louis Mestre
Professeur à l'Université Paul Cézanne Aix-Marseille III543
I. - L'ancienneté de l'expression « service public »
544
II. - La polysémie de l'expression « service public »
546
Droit et géographie
Histoire d'un ruisseau, histoire d'une montagne
Jacqueline Morand-Deviller
Professeur émérite à l'université Paris I, Panthéon-Sorbonne553
I. - L'histoire, le temps et l'évolutionnisme
555
II. - Globalité, universalisme, consensualisme
558
III. - L'ordre menacé
560
IV. - Vertu et bonheur. Liberté et fraternité
562
Principe de libre administration des collectivités territoriales et autonomie financière locale
Brèves réflexions sur un couple problématique
Gilbert Orsoni
Professeur à l'Université Paul Cézanne Aix-Marseille III567
I. - Une autonomie relative
572
A. Les limites touchant aux ressources
573
1. Des taux votés, mais encadrés573
2. Un processus de « recentralisation574
3. Les impôts transférés ou plus exactement partagés574
4. La protection limitée de la jurisprudence constitutionnelle575
B. Les limites touchant aux dépenses
577
a. Les dépenses obligatoires577
b. Les dépenses interdites578
C. Les limites touchant à la gestion financière et à la trésorerie
579
II. - Une autonomie improbable
580
A. La globalisation financière publique
581
B. La doxa financière publique dominante
583
C. L'autonomie réduite aux moyens
584
Conclusion586
Analytic Positivism & Co, Ltd
Sophie Papaefthymiou
Professeur à l'Institut d'études politiques de Lyon589
I. - Autolégitimation
590
A. Validité et vérité
591
1. Validité591
2. Vérité593
B. L'« identification » du droit
595
1. La thèse595
2. Commentaire597
II. - Autosuffisance
602
A. La critique
603
B. Réplique
607
1. Une « prétention totalisante »
a. Le « sophisme »608
b. La thèse des sources sociales612
c. L'archimédianisme612
d. La pratique normative613
e. Le juge Hercule615
2. Une approche « auto-descriptive »616
a. Les concepts de droit616
b. La description618
c. Le principe de légalité621
d. L'identité et la structure du droit624
Brèves observations sur l'office du juge administratif
Michel Paillet
Profeseur à l'Université du Sud Toulon-Var, Centre d'études et de recherches sur les contentieux629
I. - Un juge désormais explicitement attentif à la détermination de son office
633
II. - Un juge maître de son office
637
Pouvoir d'État - pouvoir local en France depuis 1789
La longue éclipse des régions
Marcel Pochard
Conseiller d'État645
I. - Premier point : la réalité de l'éclipse ; si nos régions actuelles ont à peine cinquante ans d'existence, elles peuvent se prévaloir d'une histoire plus que séculaire
646
A. Nos régions ont certes une existence d'à peine quarante à cinquante ans
646
B. La plupart de nos régions peuvent se prévaloir d'une histoire plus que séculaire
647
II. - L'éclipse des régions : une des manifestations, la plus nette, de la méfiance traditionnelle des gouvernants en France, vis-à-vis du pouvoir local
648
A. Cette manifestation de la méfiance vis-à-vis du pouvoir local et notamment des régions éclate particulièrement à l'époque révolutionnaire
648
B. Cette méfiance, particulièrement marquée à l'époque révolutionnaire, ne constitue pas une rupture radicale avec le passé
650
C. Cette méfiance vis-à-vis du pouvoir local ne s'est jamais démentie jusqu'a aujourd'hui
651
III.- La longue éclipse des régions est loin d'être terminée
653
A. La nécessité de l'émergence de régions actives et largement responsables est loin d'être communément admise
653
B. L'indispensable approche régionale des dossiers d'avenir
655
La musique adoucit (peut-être) les moeurs, mais pas l'envie de contentieux
Jean-Marie Pontier
Professeur à l'École de droit de la Sorbonne (Université de Paris I)657
I.- La multiplication des contentieux relatifs aux musiciens
659
A. Le développement d'un contentieux relatif à la musique et aux musiciens
659
1. La musique et le droit public659
2. Un nouvel aspect du contentieux culturel662
a. Le contentieux culturel classique : le contentieux du service public culturel662
b. Un contentieux relativement nouveau : le contentieux relatif aux personnels664
B. Les types de contentieux
665
1. La nature des demandeurs665
a. Les musiciens et les danseurs666
b. Les chefs d'orchestre671
2. La nature des contentieux engagés674
a. Les recours en annulation674
b. Les recours de plein contentieux674
II.- La signification du contentieux
677
A. Un contentieux significatif de l'intervention de la puissance publique
677
1. Le lien entre le musicien et la puissance publique678
a. Le lien contractuel entre la collectivité et les musiciens678
b. Les musiciens et le statut de la fonction publique territoriale680
2. La place occupée (ou prise) par les collectivités territoriales684
B. Un contentieux significatif d'un certain malaise de la politique culturelle en matière musicale
686
1. La difficulté de trouver une formule juridique adaptée687
2. Le paradoxe de l'ancien et du moderne689
Marchés publics et déontologie
Laurent Richer
Professeur à l'Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne)691
I.- La déontologie appliquée aux marchés publics
692
II.- La déontologie dans la réglementation des marchés publics
694
L'autonomie personnelle dans la jurisprudence de la Cour européenne confrontée à la philosophie des droits de l'homme
Céline Ruet
Maître de conférences à l'Université Paris 13 (Paris-Nord)
Membre de l'I.R.D.A.699
I.- La conception de l'autonomie
700
A. La construction de l'autonomie : de la liberté de l'homme à l'autonomie de l'être raisonnable ou de l'individu
700
B. L'autonomie personnelle dans la jurisprudence de la Cour européenne
704
II.- Le sujet de l'autonomie
717
A. Le problématique sujet des droits de l'homme : individu, personne, personne humaine
717
B. Le sujet de l'autonomie pour la Cour européenne
724
Traiter l'incertitude en droit. Faire si ce n'est dire
Aude Rouyère
Professeur à l'Université Montesquieu Bordeaux IV - Membre du CERDARE733
I.- L'incertitude, matière normative ?
736
A. Incertitude et principe juridique
736
B.- Incertitude et prescription normative
743
II.- L'incertitude, matière du droit ?
750
A. Incertitude et pragmatisme
750
B. Incertitude et raisonnement finaliste
757
Variations sur un thème (trop) connu : « je ne suis qu'un affreux positiviste »
Jean-Jacques Sueur
Professeur à l'Université du Sud Toulon-Var765
I.- Le positivisme comme doctrine
772
II.- Le positivisme comme théorie
781
III.- Dépassement du positivisme ?
787
Remarques sur le fondement de la validité des accords internationaux auxquels une ou plusieurs organisations internationales gouvernementales sont parties
Gérard Teboul
Professeur à l'Université Paris Est797
I.- Des fondements envisageables au fondement retenu
803
II.- Du fondement retenu au fondement initial
810
Le métier de juriste
Gérard Timsit
Professeur émérite à l'Université Parios I, Panthéon-Sorbonne821
Les concepts juridiques et l'histoire
Michel Troper
Université de Paris Ouest - Nanterre - La défense
Centre de Théorie et Analyse du Droit UMR 7074831
I. - Les concepts juridiques
836
II. - Les concepts du métalangage juridique
841
L'ours des Pyrénées, rêve de juriste, cauchemar d'administrateur
Didier Truchet
Profeseur à l'Université Panthéon-Assas (Paris II)847
I. - Un rêve de juriste
848
A. La qualification juridique de l'ours
849
B. L'ours objet de police
850
II. - Un cauchemar d'administrateur
851
A. Triomphe de l'ours
852
B. Responsabilité de l'administrateur
853
Conclusion
855
Qu'est devenu le système administratif français ?
Michel Verpeaux
Professeur à l'Université Panthéon-Sorbonne857
I. - Constitutionnalisation et consécration du couple déconcentration-décentralisation
859
II. - Révision générale des politiques publiques et réforme des collectivités territoriales
863
Légalités
Serge Velley
Maître de conférences à l'Université de Paris Ouest Nanterre La défense867
I. - Variation autour de l'État légal
868
A. L'État légal absolu de 1789
868
B. L'État légal ordonnateur de l'an III
871
C. L'État légal protecteur de l'an VIII
873
II. - L'État légal ordonnateur
876
A. De l'État légal protecteur à l'État légal ordonnateur
876
B. Variations autour de État légal orodnnateur
880
La destruction du droit par la loi
Georges Wiederkehr
Professeur émérite à l'Université de Strasbourg885
I. - Applicable
890
II. - Connaissable
894
III. - Cohérente
898