par Didierjean, Marie
L'Harmattan
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Disponible - 969.2 DID
Niveau 2 - Histoire
par Didierjean, Marie
L'Harmattan
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Disponible - 969.2 DID
Niveau 2 - Histoire
Les affranchis ne désirant pas travailler dans les champs de canne à sucre et les Mahorais peu nombreux, après l'abolition de l'esclavage, en 1846, il a fallu faire appel aux habitants des autres îles de l'archipel et aux Africains de la côte orientale. En 1886, les autres îles des Comores sont sous protectorat français, le travail immigré se développe.
Quand Mayotte devint française, on décida après bien des projets militaires vite évanouis d'en faire une île à sucre, mais l'abolition de l'esclavage qui y fut décrétée en 1846, posa le problème de la main-d'oeuvre car les Mahorais étaient peu nombreux et les affranchis peu désireux de travailler pour les planteurs. Les commandants supérieurs firent appel aux habitants des autres îles de l'archipel et surtout à des Africains de la côte orientale, engagés dans des conditions douteuses.
Quand les autres îles des Comores passèrent sous protectorat français en 1886, l'immigration du travail y fut étendue.
Ce livre tente d'approcher la réalité de ce système colonial, mais aussi de dresser le bilan de l'apport des travailleurs engagés.
Disponible - 969.2 DID
Niveau 2 - Histoire