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Livre

Droit international des investissements et de l'arbitrage transnational

Résumé

Ces contributions d'experts et de praticiens du barreau couvrent l'ensemble des sujets relatifs au droit des investissements internationaux et à l'arbitrage transnational en matière d'investissements. ©Electre 2015


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2015
  • Notes
    • Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (XVII-1141 p.) ; 25 cm
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-233-00772-8
  • Indice
    • 341.95 Droit du commerce international, droit des affaires
  • Tables des matières
      • Droit international des investissements et de l'arbitrage transnational

      • Charles Leben

      • Pedone

      • ContributeursIII
      • Liste des abréviationsIX
      • PréfaceXIII
      • SommaireXV
      • Droit international des investissements : un survol historique1
      • I. Naissance d'un droit international des investissements 3
      • A. La protection de l'investisseur par son Etat national : la question de l'intervention dans les affaires de l'Etat d'accueil5
      • 1. La mise hors la loi internationale de l'intervention armée 7
      • a. L'intervention armée et ses abus8
      • b. La mise hors la loi internationale du recours à la force armée comme moyen de règlement des différends portant sur le recouvrement de dettes contractuelles11
      • 2. La protection diplomatique stricto sensu : la doctrine Calvo et la clause Calvo15
      • a. Intervention armée et intervention non armée15
      • b. Clause Calvo16
      • B. Le traitement de l'investisseur par l'Etat d'accueil : la question des standards de traitement19
      • 1. Le standard de traitement national 20
      • 2. Le standard minimum de traitement des étrangers en droit international 23
      • a. Les prises de position politiques et doctrinales23
      • b. La jurisprudence arbitrale26
      • II. Une période d'incubation (1918-1939) 27
      • A. Les phénomènes nouveaux28
      • 1. L'apparition des nationalisations à grande échelle 28
      • a. L'abolition de toute propriété privée nationale et étrangère29
      • b. La nationalisation de secteurs de l'économie nationale dans un but de réforme économique et sociale30
      • 2. L'apparition d'un type de contrat et d'un type d'arbitrage nouveaux 34
      • a. Des contrats non régis par un ordre juridique étatique34
      • b. Des arbitrages d'un type nouveau38
      • B. L'évolution des principes dégagés au XIXème siècle : l'exemple du standard minimum de traitement des étrangers en droit international41
      • 1. Standard minimum et déni de justice 42
      • 2. Standard minimum et protection de la propriété 44
      • III. L'affrontement des blocs : socialisme, décolonisation, libéralisme (1945-1990) 47
      • A. La tentative de renversement de l'ordre ancien47
      • 1. La lutte dans le droit international pour un nouvel ordre économique international 47
      • 2. Le rejet des principes classiques du droit international ou leur réinterprétation radicale 51
      • B. La résistance des Etats exportateurs de capitaux54
      • 1. Maintien et expansion de l'arbitrage comme mode privilégié de règlement des différends 55
      • 2. Le contrat d'Etat comme première forme de l'internationalisation du droit des investissements 59
      • 3. Expansion sans précédent des traités de protection des investissements et ses conséquences 64
      • 4. La renaissance d'un standard minimum de traitement 69
      • Conclusion72
      • Bibliographie74
      • Partie I.
        Droit international des investissements
      • Chapitre 1
        Les sources du droit international des investissements83
      • I. La domination du procédé conventionnel bilatéral 87
      • A. L'apparition des traités bilatéraux relatifs aux investissements étrangers87
      • 1. Le cadre formel : la pratique des traités bilatéraux en matière économique 88
      • 2. Le cadre matériel : la rédaction de projets d'instruments multilatéraux 89
      • B. Le développement des traités bilatéraux relatifs aux investissements étrangers91
      • 1. L'ampleur du phénomène 91
      • a. L'universalité91
      • b. L'homogénéité94
      • i. La faible variation des contenus dans le temps94
      • ii. La modélisation des TBI96
      • 2. La réalité du phénomène 100
      • a. L'effectivité100
      • b. L'efficacité101
      • II. La place des autres sources du droit international des investissements étrangers 104
      • A. La place ambiguë du traité multilatéral104
      • 1. Les difficultés d'un accord multilatéral à vocation universelle 104
      • 2. Le succès relatif des accords régionaux 108
      • B. La place incertaine de la coutume111
      • C. La place utile des principes généraux de droit113
      • D. La place non négligeable des actes des organisations internationales113
      • Bibliographie115
      • Chapitre 2
        La jurisprudence arbitrale comme source du droit international des investissements119
      • I. Essor de la jurisprudence arbitrale en tant que source de droit 123
      • A. Du contentieux contractuel à l'offre générale d'arbitrage123
      • B. La publicité des sentences126
      • II. Portée de la jurisprudence arbitrale en tant que source de droit 127
      • A. Débat sur la règle du binding precedent ou stare decisis128
      • B. Les références jurisprudentielles volontaires131
      • Bibliographie133
      • Chapitre 3
        La notion d'investissement135
      • I. L'« investissement protégé » comme unique figure de l'« investissement » 137
      • A. La portée limitée du mot « investissement » dans les énoncés juridiques137
      • 1. Les codes d'investissement et traités 137
      • 2. Les sentences arbitrales 139
      • B. L'assimilation trompeuse de l'« investissement protégé » et de l'« investissement »140
      • II. Les énoncés définissant les investissement protégés 143
      • A. Le double mouvement de la notion144
      • 1. La notion « classique » 144
      • 2. L'extension de la notion 146
      • 3. Signification de l'évolution 149
      • B. La place de l'exigence de la contribution au développement de l'Etat d'accueil150
      • 1. Les codes d'investissement et traités 151
      • 2. Les énoncés juridictionnels 153
      • a. L'exigence d'une contribution au développement154
      • b. Le rejet du critère du développement156
      • 3. Signification 157
      • Bibliographie158
      • Chapitre 4
        Nationalité des investisseurs personnes physiques et nationalité des investisseurs personnes morales, actionnaires (minoritaires)161
      • L'évolution de la notion161
      • La fragmentation des sources163
      • I. La condition de nationalité : substance 166
      • A. La condition de nationalité dans sa face négative : être le national d'un Etat autre que l'Etat débiteur de l'obligation internationale invoquée167
      • 1. Principe 167
      • 2. Exceptions 173
      • a. Exceptions tenant à l'absence de règle de nationalité173
      • b. Exception tenant à l'impasse à laquelle conduit l'application de la règle de nationalité174
      • B. La condition de nationalité dans sa face positive : être le national d'un Etat partie à la norme internationale invoquée176
      • 1. Principe 176
      • 2. Exceptions 177
      • II. La condition de nationalité : régime 178
      • A. Définition de la nationalité178
      • 1. La nationalité des personnes physiques 178
      • 2. La nationalité des personnes morales 183
      • B. L'établissement de la nationalité193
      • 1. Les dates auxquelles la nationalité doit être acquise 194
      • 2. La preuve de la nationalité 195
      • Bibliographie197
      • Chapitre 5
        Application ratione temporis de la protection des investissements et des investisseurs201
      • I. Champ d'application ratione temporis des règles de protection 203
      • A. Règles de protection en vigueur à la date critique203
      • 1. Entrée en vigueur des règles de protection 203
      • a. Application provisoire des règles de protection204
      • b. Obligation de ne pas priver le traité de son objet et de son but206
      • 2. Fin de validité des règles de protection 207
      • a. Effets des traités après leur extinction208
      • i. Effets prolongés des traités sans disposition expresse209
      • ii. Effets prolongés des traités sur la base d'une disposition expresse209
      • b. Effets des traités successifs212
      • B. Règles de protection applicables en l'espèce213
      • 1. Application non rétroactive des règles de protection 213
      • 2. Exceptions à la non-rétroactivité des règles de protection 216
      • a. Prise en compte d'éléments antérieurs à l'entrée en vigueur du traité216
      • b. Faits illicites continus et composites218
      • i. Faits illicites continus218
      • ii. Faits illicites composites222
      • II. Conditions d'application ratione temporis des règles de protection 223
      • A. Conditions de fond : l'objet de la protection223
      • 1. Un investissement protégé de l'investisseur 223
      • 2. Un différend né 225
      • a. Définition du différend225
      • b. Moment de naissance du différend228
      • B. Condition procédurale principale : le consentement229
      • 1. Le moment du consentement au règlement du différend 230
      • 2. Le moment de la mise en oeuvre du règlement du différend 231
      • Conclusion235
      • Bibliographie236
      • Chapitre 6
        L'admission des investissements et des investisseurs243
      • I. Les régimes de l'admission 245
      • A. L'admission des investissements245
      • 1. L'approche européenne 245
      • 2. L'approche américaine 247
      • B. L'admission des personnes réalisant l'investissement253
      • 1. L'entrée et le séjour du personnel de base 253
      • 2. La liberté de choisir le personnel de base 254
      • II. La possibilité de soumettre les litiges relatifs à l'admission à l'arbitrage 256
      • Bibliographie263
      • Chapitre 7
        Les standards indirects de traitement : traitement de la nation la plus favorisée et traitement national265
      • I. Définition des standards indirects de traitement 266
      • A. La clause de la nation la plus favorisée266
      • B. Le standard du traitement national267
      • II. Les conditions de mise en oeuvre des standards indirects de traitement 268
      • A. Une base légitime de comparaison268
      • 1. La règle ejusdem generis : une condition propre au traitement de la nation la plus favorisée269
      • 2. Similarité de la situation des bénéficiaires : une condition commune aux deux standards indirects de traitement 270
      • a. Les bénéficiaires similaires271
      • b. Les circonstances similaires, analogues ou semblables272
      • c. Les limitations apportées aux conséquences de la similarité273
      • B. Le caractère plus favorable du régime275
      • 1. Identification du régime favorable 275
      • 2. Qualification de la discrimination 276
      • III. L'étendue du bénéfice des standards indirects de traitement 277
      • A. Application dans le temps des standards indirects de traitement278
      • B. Limitations matérielles et personnelles au jeu des standards indirects de traitement278
      • 1. Les limitations spécifiques aux standards indirects de traitement 278
      • a. Les limitations matérielles278
      • b. Les limitations personnelles281
      • 2. Les limitations générales 282
      • IV. Articulation entre les standards indirects de traitement 283
      • A. Les dispositions relatives à l'articulation des standards indirects de traitement283
      • B. Le bénéfice du traitement national par le jeu de la clause de la nation la plus favorisée ?285
      • Bibliographie286
      • Chapitre 8
        Les standards de traitement : le traitement juste et équitable, la sécurité pleine et entière287
      • I. Les standards de traitement en tant que source de droit des investissements 288
      • A. Le standard d'origine extra-conventionnelle288
      • 1. L'élaboration des standards par la voie des principe généraux de droit 288
      • a. Le standard minimum de traitement en tant que principe impliqué par l'ordre juridique international289
      • b. Le standard minimum de traitement relevant des principes communs dans les droits nationaux291
      • 2. Le statut coutumier du standard minimum de traitement 292
      • a. Les objections au statut coutumier du standard minimum293
      • i. L'opposition régionale293
      • ii. L'opposition générale294
      • b. L'affirmation du caractère coutumier du standard de traitement295
      • i. L'identification juridictionnelle du standard en tant que coutume295
      • ii. Consolidation du caractère coutumier par la pratique des Etats296
      • B. Les standards de nature conventionnelle299
      • 1. La technique juridique du standard 299
      • a. Une imprécision fonctionnelle299
      • b. Une application contextualisée301
      • c. Une dimension dispositive302
      • 2. L'autonomie des standards conventionnels 303
      • a. Enjeu de l'autonomie des standards conventionnels304
      • b. L'appréciation de l'autonomie305
      • i. L'exigence d'un rattachement exprès à une norme extérieure305
      • ii. Le rattachement implicite à une norme externe307
      • 3. Méthode d'identification du contenu des standards conventionnels 308
      • a. Distinction des méthodes d'identification308
      • b. Rapprochement des méthodes d'identification310
      • II. La substance des standards de traitement conventionnels 312
      • A. Consistance du standard de pleine et entière sécurité313
      • 1. Objet du standard de sécurité pleine et entière 313
      • a. La sécurité physique de l'investissement313
      • b. L'extension à la sécurité juridique315
      • 2. Nature de l'obligation prescrite par le standard de sécurité pleine et entière 317
      • a. Obligation de diligence requise317
      • i. Absence d'une responsabilité de plein droit317
      • ii. Existence d'une obligation de comportement318
      • b. Niveau de diligence requise319
      • i. Diligence requise et traitement national319
      • ii. Un niveau de diligence variable321
      • B. La consistance du traitement juste et équitable322
      • 1. Les exigences négatives imposées au titre du traitement juste et équitable 322
      • a. Les exigences du standard relatif au fonctionnement de l'Etat dans son ensemble322
      • i. Une conduite non discriminatoire323
      • ii. Une conduite non arbitraire324
      • iii. Une conduite non coercitive325
      • iv. Une conduite non spoliatrice326
      • b. Les exigences du standard propres à l'appareil judiciaire : une conduite non constitutive d'un déni de justice328
      • i. Une conduite de l'appareil judiciaire dans son ensemble328
      • ii. Un défaut de protection judiciaire330
      • - Défaut de protection par l'administration de la justice330
      • - Défaut de protection par la décision de justice elle-même332
      • 2. Les exigences positives issues du standard de traitement juste et équitable 334
      • a. Les attentes élémentaires335
      • i. La clarté du cadre juridique336
      • ii. La cohérence du cadre juridique337
      • iii. La stabilité du cadre juridique338
      • b. Les attentes spécifiques339
      • i. Une prise de position explicite340
      • ii. La contextualisation des attentes342
      • Bibliographie344
      • Chapitre 9
        La clause de respect des engagements347
      • I. Une clause aux effets mal identifiés 350
      • A. La controverse liée à la « transformation » du non-respect de l'engagement interne en violation du traité350
      • B. La controverse relative aux effets juridictionnels de la clause de respect des engagements351
      • 1. « L'attraction » de la procédure de règlement des différends établie par le traité 352
      • 2. La relation avec la procédure de règlement des différends prévue par l'engagement étatique à l'égard de l'investisseur 353
      • a. Opposabilité au juge du traité de la clause contractuelle de juridiction353
      • b. Saisine du juge du traité après que le juge du contrat se soit prononcé356
      • II. Les conditions de reconnaissance des effets de la clause de respect des engagements 357
      • A. Identification de la clause357
      • 1. Clause de respect des engagements et clauses distinctes 358
      • 2. Attraction de la clause de respect des engagements par le jeu de la clause de la nation la plus favorisée 359
      • B. Les conditions de rayonnement matériel de la clause de respect des engagements360
      • 1. L'obligation de respecter les engagements contractuels 361
      • a. Le principe de protection des engagements contractuels361
      • b. Limitation aux actes jure imperii de l'Etat ?362
      • 2. L'obligation de respecter les engagements unilatéraux 363
      • a. Les engagements écrits unilatéraux363
      • b. Les attentes légitimes de l'investisseur365
      • 3. Limitation de l'application de la clause en fonction de l'ampleur de la violation ? 366
      • C. Identification de l'auteur de l'engagement couvert par la clause367
      • 1. Identification des entités publiques dont les engagements sont couverts par la clause 367
      • a. La couverture par la clause des engagements de l'Etat367
      • b. La possibilité d'une couverture par la clause des engagements pris par des entités autres que l'Etat ?368
      • 2. Identification des entités privées visées par la clause de respect des engagements 369
      • a. Identité de la partie à l'instance et du bénéficiaire de l'engagement369
      • b. La filiale locale ou l'actionnaire de la partie privée partie au contrat avec l'entité publique370
      • Bibliographie373
      • Chapitre 10
        Le droit de l'expropriation directe et indirecte375
      • I. Le champ des investissements et les éléments de propriété protégés 380
      • A. Le principe de la protection des droits contractuels et quasi contractuels381
      • B. Les modalités de la protection des droits contractuels et quasi contractuels383
      • II. Les formes de l'expropriation 385
      • A. L'expropriation directe387
      • B. L'expropriation indirecte389
      • 1. Les mesures étatiques pertinentes 389
      • a. Les auteurs des mesures étatiques389
      • b. La nature des mesures étatiques391
      • 2. Les catégories d'expropriation indirecte 392
      • a. L'expropriation « rampante »392
      • b. Les mesures équivalant à une expropriation393
      • 3. Les critères de l'expropriation indirecte 395
      • a. L'effet de la mesure étatique396
      • i. La durée de l'effet397
      • ii. L'assiette de l'investissement397
      • iii. L'intensité de l'effet398
      • b. La finalité de la mesure401
      • c. La proportionnalité404
      • d. Les attentes légitimes de l'investisseur405
      • III. Les conditions de licéité de l'expropriation 408
      • A. L'intérêt public408
      • B. Le due process409
      • C. La non-discrimination410
      • D. L'indemnisation410
      • Conclusion412
      • Bibliographie413
      • Chapitre 11
        Conditions d'engagement de la responsabilité de l'Etat d'accueil de l'investissement415
      • I. Attribution du comportement à l'Etat 420
      • A. La déclinaison des catégories identifiées par la CDI421
      • 1. Les organes de l'Etat 421
      • 2. Les entités extérieures à l'appareil d'Etat 423
      • a. Les personnes ou entités exerçant des prérogatives de service public423
      • b. Les personnes agissant sur les instructions, les directives ou sous le contrôle de l'Etat425
      • B. L'entremêlement des catégories427
      • 1. Organe de l'Etat et entité exerçant des prérogatives de puissance publique 427
      • 2. Entité exerçant des prérogatives de puissance publique et entité contrôlée par l'Etat 429
      • C. Attribution et lex specialis429
      • 1. Attribution et lex specialis ratione personae430
      • 2. Attribution et lex specialis ratione materiae432
      • II. Violation d'une obligation internationale 433
      • A. Caractéristiques de l'obligation internationale433
      • 1. Source de l'obligation 433
      • a. Source internationale434
      • b. Source interne435
      • c. Source contractuelle436
      • 2. Nature de l'obligation internationale 437
      • 3. Positivité de l'obligation 438
      • B. Caractéristiques de la violation439
      • 1. Violation par action ou par omission 440
      • 2. Violation instantanée, continue, composite 441
      • a. Fait illicite instantané/continu441
      • b. Fait illicite composite443
      • III. Circonstances excluant l'illicéité 444
      • A. Régime général446
      • B. Régime propre aux diverses circonstances449
      • 1.Circonstances invoquées dans le contentieux d'investissement 449
      • a. Force majeure449
      • i. La survenance d'une force irrésistible ou d'un événement extérieur imprévu449
      • ii. L'extériorité à l'Etat450
      • iii. L'impossibilité d'exécuter l'obligation451
      • b. Etat de nécessité451
      • i. Le critère de la protection d'un intérêt essentiel452
      • ii. Le critère du péril grave et imminent453
      • iii. Le critère du « seul moyen »454
      • iv. Le critère de l'absence d'atteinte grave à un intérêt essentiel de l'investisseur ?454
      • v. Le critère de la non-exclusion de la possibilité d'invoquer la nécessité455
      • vi. Le critère de la non-contribution à la survenance de la situation de nécessité455
      • c. Contre-mesures456
      • 2. Circonstances inédites dans le contentieux d'investissement 458
      • a. Consentement458
      • b. Légitime défense459
      • c. Détresse460
      • Bibliographie461
      • Chapitre 12
        Les conséquences de la responsabilité internationale de l'Etat d'accueil de l'investissement463
      • I. Les conséquences principalement, voire exclusivement, pécuniaires résultant de l'engagement de la responsabilité internationale de l'état d'accueil de l'investissement 468
      • A. L'indemnisation comme mode privilégié de réparation du dommage dans le contentieux de l'investissement468
      • 1. Identification du lien de causalité entre le dommage allégué par l'investisseur et le fait illicite commis par l'Etat d'accueil 468
      • 2. Appréciation de la certitude du dommage allégué par l'investisseur 472
      • 3. Evaluation des dommages et intérêts octroyés à l'investisseur 474
      • B. La possibilité d'octroyer une réparation pécuniaire au titre de la satisfaction478
      • 1. Satisfaction et réparation financière du préjudice moral 479
      • 2. Satisfaction et réparation financière de certaines formes de déni de justice 482
      • II. Le rôle marginal, voire anecdotique, des remèdes non pécuniaires pouvant être associés à la responsabilité internationale de l'Etat d'accueil de l'investissement 486
      • A. Les obstacles à l'octroi de remèdes non pécuniaires dans le cadre du contentieux de l'investissement487
      • B. L'octroi de remèdes non pécuniaires dans le cadre du contentieux de l'investissement492
      • Bibliographie498
      • Chapitre 13
        La jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme en matière de protection des investissements501
      • I. Les aspects substantiels 504
      • A. La notion de « biens » (possessions)504
      • B. « L'atteinte » (interference)506
      • C. « Justification »507
      • 1. « Légalité » 508
      • 2. « L'utilité publique » / « l'intérêt général » (public/general interest)510
      • 3. « Le juste équilibre » (fair balance)510
      • 4. « Le contrôle de l'usage des biens » (control of the use of property)512
      • II. Les aspects procéduraux 513
      • A. Le caractère civil513
      • 1. « Le droit à un tribunal » 513
      • 2. La procédure arbitrale 515
      • B. La nature pénale516
      • III. Les aspects juridictionnels 518
      • A. La qualité pour agir518
      • 1. Les conditions relatives à l'engagement d'une procédure 518
      • 2. Les conditions relatives à la poursuite de la procédure 519
      • B. Les conditions de recevabilité520
      • 1. La litispendance et les conflits de juridiction 520
      • 2. L'épuisement des voies de recours internes 521
      • C. Les conséquences d'une violation de la Convention522
      • 1. Le principe de la satisfaction équitable 522
      • 2. Le montant de la réparation 524
      • 3. L'exécution des arrêts 526
      • IV. Conclusion 527
      • Bibliographie529
      • Chapitre 14
        Droit international des investissements Droits de l'homme, droit de l'environnement531
      • I. La rencontre des droits de l'homme et de l'environnement avec le droit international des investissements 535
      • A. Une attraction naturelle535
      • 1. Un droit tourné vers le développement durable 535
      • 2. Un investisseur jouissant de droits de l'homme 540
      • a. L'attribution de droits à l'investisseur 540
      • b. Les droits reconnus 541
      • B. De nouveaux instruments en vue d'une meilleure coordination entre droits de l'homme, droit de l'environnement et droit des investissements545
      • 1. Une action des Etats 545
      • 2. Une action internationale 547
      • II. L'intégration progressive des droits de l'homme et de l'environnement dans le champ du droit international des investissements 553
      • A. Une intégration jurisprudentielle554
      • 1. L'application des droits de l'homme et du droit de l'environnement par les arbitres du droit des investissements 554
      • a. Un droit applicable perméable aux droits de l'homme et au droit de l'environnement554
      • b. Un début de hiérarchisation du droit international des investissements559
      • 2. L'émergence des droits de l'homme et de l'environnement dans la jurisprudence des tribunaux CIRDI 562
      • B. Une affirmation des droits de l'homme et de l'environnement dans les traités d'investissements566
      • 1. De nouvelles exceptions ou exclusions de la protection des investissements 567
      • 2. L'intégration des droits de l'homme et du droit de l'environnement dans le champ du droit international des investissements 571
      • Bibliographie577
      • Chapitre 15
        Droit international des investissements et droit de l'OMC581
      • I. L'insertion du droit de l'investissement dans le droit de l'OMC 585
      • A. Aspect matériel : l'investissement international soumis au droit de l'OMC585
      • 1. Commerce des services et protection des investissements dans le secteur tertiaire 585
      • a. Le recoupement des champs d'application585
      • b. La contradiction des règles de fond587
      • 2. Les droits de propriété intellectuelle 589
      • a. Le recoupement des champs d'application589
      • b. Le risque de contradiction (1) : la question des transferts de technologie589
      • c. Le risque de contradiction (2) : le cas des licences obligatoires591
      • B. Aspect institutionnel : l'OMC comme enceinte de négociation de règles multilatérales relatives à la protection de l'investissement593
      • II. L'influence du droit de l'OMC sur le droit de l'investissement 597
      • A. Les dispositions communes aux deux systèmes : le droit de l'OMC comme source du droit de l'investissement ?597
      • 1. La clause de traitement national 597
      • 2. Les « performance requirements » 601
      • B. La proximité de certains principes : le droit de l'OMC comme inspiration du droit de l'investissement603
      • 1. Les exceptions au nom des intérêts supérieurs de l'Etat 603
      • 2. L'obligation de traitement juste et équitable 608
      • Bibliographie sélective611
      • Chapitre 16
        Droit international des investissements et droit de l'Union européenne613
      • I. Les investissements au sein de l'Union européenne 615
      • A. Les TBI intra-européens616
      • 1. Les différentes positions en présence 616
      • a. Les positions antagonistes de la Commission et des Etats membres616
      • b. La position déterminante des tribunaux arbitraux618
      • 2. Les solutions envisageables 620
      • a. Une solution substantielle radicale : l'extinction des TBI621
      • b. Des solutions procédurales d'accompagnement621
      • B. Le cas du Traité sur la Charte de l'énergie624
      • 1. Les enjeux particuliers des arbitrages fondés sur le Traité sur la Charte de l'énergie 624
      • 2. Les solutions envisageables 626
      • a. L'intervention en interprétation627
      • b. La modification du Traité sur la Charte de l'énergie628
      • II. Les investissements en provenance ou à destination d'Etats tiers 628
      • A. La compatibilité avec le droit de l'Union européenne des TBI conclus avec des Etats tiers629
      • 1. Avant Lisbonne : les recours en manquement sur une question de compétence 629
      • 2. Les recours en manquement pour violation du droit de l'Union européenne 631
      • B. Vers une politique européenne globale en matière d'investissements internationaux ?632
      • 1. La compétence de l'Union européenne en matière d'investissements internationaux 632
      • 2. La mise en place d'un régime transitoire pour les accords bilatéraux d'investissement conclus entre des Etats membres et des pays tiers 635
      • 3. La communication de la Commission 635
      • Bibliographie638
      • Partie II.
        Arbitrage transnational
      • Chapitre 17
        Procédure arbitrale devant les tribunaux CIRDI et hors CIRDI641
      • Considérations générales sur les arbitrages CIRDI et hors CIRDI641
      • I. L'introduction de la procédure646
      • A. Le CIRDI646
      • B. Les autres règlements d'arbitrage647
      • II. L'arbitrage entre parties multiples et la jonction d'arbitrages649
      • A. Arbitrage CIRDI651
      • B. Arbitrage hors CIRDI652
      • III. La constitution du tribunal arbitral651
      • A. Le CIRDI651
      • B. Les autres règlements d'arbitrage652
      • IV. La récusation et le remplacement des arbitres654
      • A. Le CIRDI654
      • B. Les autres règlements d'arbitrage654
      • V. La procédure arbitrale657
      • A. La gestion de la procédure (case management)657
      • B. Le lieu, la langue et le droit applicable à l'arbitrage659
      • C. Les mesures conservatoires et provisoires661
      • D. Les moyens de preuve663
      • E. L'intervention d'amici curiae dans le système CIRDI665
      • VI. La sentence arbitrale667
      • A. L'adoption de la sentence et son caractère obligatoire667
      • B. La correction et l'interprétation de la sentence arbitrale670
      • C. L'annulation de la sentence arbitrale dans le système CIRDI672
      • D. La reconnaissance et l'exécution de la sentence arbitrale dans les autres règlements d'arbitrage673
      • VII. Les coûts de l'arbitrage674
      • Conclusion677
      • Bibliographie679
      • Chapitre 18
        Le consentement à l'arbitrage681
      • I. L'existence et la validité du consentement681
      • A. Le consentement de l'Etat exprimé dans une clause compromissoire682
      • 1. La source des règles 683
      • 2. Le contenu des règles 687
      • a. Annulation, ou privation d'efficacité, par l'Etat de la convention d'arbitrage à laquelle il a consenti687
      • b. Invocation par l'Etat de son incapacité, ou du défaut de pouvoir de l'organe qui a émis le consentement, à engager l'Etat par une clause compromissoire689
      • B. Le consentement exprimé dans une loi sur les investissements690
      • 1. Variété des dispositions relatives à l'arbitrage 690
      • 2. Interprétation des dispositions relatives à l'arbitrage 693
      • 3. Abrogation, ou privation d'efficacité, par l'Etat, de la disposition législative relative à la compétence arbitrale 699
      • C. Le consentement de l'Etat exprimé dans un traité relatif à la protection des investissements700
      • Mécanisme de la formation de la convention d'arbitrage 700
      • 2. Interprétation de la convention d'arbitrage 702
      • 3. Validité de la convention d'arbitrage 703
      • 4. Retrait de l'offre d'arbitrage et autres mesures prises par l'Etat pour la rendre inefficace 703
      • II. L'objet du consentement704
      • A. Les types de litige couverts par le consentement de l'Etat donné dans un traité704
      • 1. L'offre de compétence limitée aux litiges résultant des violations alléguées des dispositions matérielles du traité 705
      • 2. L'offre de compétence couvrant les litiges résultant des violations alléguées des dispositions matérielles du traité, d'un accord d'investissement ou d'une autorisation d'investir 707
      • 3. L'offre de compétence couvrant tous les litiges relatifs à l'investissement 708
      • B. Les types de conditions dont est assorti le consentement de l'Etat donné dans un traité711
      • 1. La notification du litige et la période préalable de recherche d'une solution amiable 711
      • 2. Le recours préalable à des tribunaux locaux 714
      • C. Les types d'arbitrage entre lesquels une option est ouverte à l'investisseur par le consentement de l'Etat donné dans un traité716
      • III. Le retrait du consentement de l'Etat717
      • A. Retrait direct718
      • 1. Dénonciation du traité sur les investissements 718
      • 2. Modification ou abrogation de la loi nationale sur les investissements 718
      • a. Les effets déterminés par l'application du droit interne de l'Etat718
      • b. Les effets déterminés par l'application du principe de bonne foi720
      • B. Retrait indirect721
      • 1. Dénonciation de la Convention de Washington 721
      • 2. Exclusion d'une catégorie de différends de la compétence du CIRDI 724
      • Bibliographie725
      • Chapitre 19
        Consentement à l'arbitrage et clause de la nation la plus favorisée727
      • I. L'applicabilité au domaine procédural 731
      • A. L'appartenance des droits procéduraux au traitement des investisseurs étrangers731
      • 1. L'accès aux tribunaux nationaux, un élément du traitement des étrangers 731
      • a. Clauses de la nation la plus favorisée expressément applicables à l'accès à la justice732
      • b. Débat relatif à la condition ejusdem generis733
      • 2. L'accès aux tribunaux arbitraux internationaux, un élément du traitement des investisseurs étrangers 734
      • B. La mise en oeuvre des clauses de la nation la plus favorisée736
      • 1. Interprétation du principe ejusdem generis737
      • 2. Interprétation des termes des clauses de la nation la plus favorisée 738
      • 3. Caractère plus ou moins favorable des procédures de règlement des différends 741
      • a. Considérations particulières741
      • b. Respect de l'intégrité du traitement procédural743
      • II. Le respect de la volonté des Etats 745
      • A. Le respect de l'intention des Etats parties au traité de base745
      • 1. L'indétermination de l'intention des Etats parties 745
      • a. L'argument de la contemporanéité746
      • b. L'argument de l'effet utile748
      • 2. L'intention exprimée dans la clause de la nation la plus favorisée 750
      • B. Le respect du principe du consentement à l'arbitrage753
      • 1. Le refus de fonder le consentement à l'arbitrage sur la clause de la nation la plus favorisée 753
      • 2. Les risques encourus pour l'arbitrage transnational 755
      • Bibliographie756
      • Chapitre 20
        La distinction Treaty claims - Contract claims759
      • I. Apparition et développement de la distinction 759
      • II. Inconvénients 766
      • III. Fondement 767
      • Conclusion770
      • Bibliographie771
      • Chapitre 21
        Compétence et recevabilité dans le droit de l'arbitrage en matière d'investissements773
      • I. Une distinction importante héritée du droit international public 775
      • A. Une distinction essentiellement doctrinale775
      • B. Compétence de l'organe saisi et recevabilité de la demande : la recevabilité, une notion définie négativement par rapport à celles de compétence et de fond777
      • II. Les enjeux de la distinction en droit des investissements 784
      • A. Conséquence de la distinction sur le déroulement de la procédure785
      • B. Conséquences de la distinction sur les voies de recours786
      • C. Conséquence de la distinction sur la sanction792
      • III. Une notion au coeur des controverses récentes du droit des investissements 794
      • A. La question des conditions préalables à la saisine du tribunal794
      • B. La question des procédures parallèles805
      • C. La question des actions de groupe808
      • Conclusion810
      • Bibliographie811
      • Chapitre 22
        Le droit applicable aux arbitrages en matière d'investissements813
      • I. Procédure et droit applicable 814
      • A. Droit applicable à la conduite de l'arbitrage814
      • B. Droit applicable à l'existence, l'étendue et l'exercice de la compétence817
      • 1. Arbitrage contractuel 817
      • 2. La question de l'arbitrage dit « unilatéral » (arbitrage sur le fondement de traités, arbitrage sur le fondement de lois d'investissement) 820
      • 3. La place du droit interne dans le cadre d'arbitrages sur le fondement de traités d'investissement 823
      • II. Droit applicable au fond 829
      • A. La primauté du choix des parties829
      • 1. Existence du choix des parties 830
      • a. Choix exprès830
      • i. Clause contractuelle830
      • ii. Clause de droit applicable dans les traités832
      • b. Choix implicite834
      • 2. Questions autour de l'interprétation de ce choix 835
      • a. L'exclusion du renvoi836
      • b. Les clauses de stabilisation836
      • c. Les clauses à « droits multiples »836
      • d. Le problème spécifique de l'articulation entre traité et principes de droit international : la place de la coutume838
      • 3. Les limites relatives à la portée du choix de loi 840
      • a. En matière contractuelle840
      • b. En matière de traités d'investissement841
      • 4. La limite imposée par l'ordre public international 841
      • 5. Le choix de l'absence de droit applicable ou l'arbitrage ex aequo et bono 842
      • B. Le pouvoir des arbitres en l'absence de choix845
      • 1. Arbitrage CIRDI 845
      • 2. Hors arbitrage CIRDI 851
      • 3. Violations du traité / Violations du contrat et droit applicable 852
      • C. Les limites du pouvoir de l'arbitre ou le spectre de l'annulation854
      • Bibliographie857
      • Chapitre 23
        Les mesures provisoires et conservatoires : à propos de quelques questions récurrentes dans l'arbitrage en matière d'investissements861
      • I. Les conditions de l'octroi de mesures provisoires et conservatoires 863
      • A. L'examen prima facie de la compétence du tribunal arbitral863
      • B. Conditions d'octroi de la masure866
      • C. Recommander ou ordonner ?869
      • II. L'exclusivisme imparfait de la Convention de Washington en matière de mesures provisoires et conservatoires 870
      • III. La question des mesures ex parte 874
      • IV. Pouvoir injonctif des arbitres et astreintes 876
      • A. Injonctions anti-suit et procédures parallèles876
      • B. Pouvoir injonctif des arbitres, astreintes et exécution en nature878
      • V. La constitution de garanties 880
      • Bibliographie882
      • Chapitre 24
        Les voies de recours dans l'arbitrage en matière d'investissements885
      • I. Les voies de recours contre les sentences CIRDI 885
      • A. Rectification, interprétation et révision de la sentence886
      • 1. Recours en rectification 886
      • 2. Recours en interprétation 887
      • a. Principes887
      • b. Application888
      • B. Annulation892
      • 1. Caractéristiques procédurales de l'annulation et pouvoirs du comité ad hoc894
      • a. Le déroulement de la procédure d'annulation894
      • i. Les sentences susceptibles d'annulation894
      • ii. Les délais de procédure895
      • iii. La constitution du comité ad hoc895
      • b. Les pouvoirs du comité ad hoc896
      • i. La question du pouvoir discrétionnaire d'annuler897
      • ii. L'annulation partielle898
      • c. Conséquences de l'annulation898
      • 2. Contours et limites du recours en annulation 900
      • a. Vice dans la constitution du tribunal902
      • b. Excès de pouvoir manifeste du tribunal904
      • i. Les sentences rendues ultra et infra petita906
      • ii. Le contrôle du choix de la loi applicable908
      • c. Corruption d'un membre du tribunal913
      • d. Inobservation grave d'une règle fondamentale de procédure913
      • e. Défaut de motifs918
      • i. La motivation implicite919
      • ii. La contradiction des motifs920
      • iii. La pertinence des motifs921
      • iv. Le « déni de justice »924
      • 3. Le « mythe des trois générations » remis en question ? 925
      • II. Les voies de recours contre les sentences non-CIRDI931
      • Bibliographie937
      • Chapitre 25
        La coexistence de procédures contentieuses en matières d'investissements étrangers941
      • I. Les options contentiuses offertes aux investisseurs943
      • A. Option contentieuse entre une offre générale d'arbitrage et la saisine d'une juridiction interne944
      • 1. La saisine possible des juridictions internes 944
      • 2. Clause d'electa una via 945
      • B. Option contentieuse entre une offre générale d'arbitrage et une clause attributive de juridiction ou une clause compromissoire947
      • C. Option contentieuse issue d'un même traité ou d'une même loi de protection des investissements étrangers949
      • 1. Clause d'arbitrage multiples 949
      • 2. Recours au traitement de la nation la plus favorisée à des fins procédurales 951
      • II. La concurrence des procédures contentieuses953
      • A. Consolidation des procédures contentieuses954
      • 1. Consolidation institutionnellement organisée 954
      • 2. Consolidation à l'initiative des parties ou du tribunal arbitral 955
      • B. Concurrence avec une procédure en cours956
      • 1. Litispendance (Lis pendens) 956
      • 2. Débat sur l'avènement de la connexité 959
      • C. Concurrence avec une décision antérieure959
      • 1. Effet négatif de chose jugée 960
      • 2. Effet positif de chose jugée 962
      • Bibliographie965
      • Chapitre 26
        L'arbitrage transnational et le droit français des immunités de l'Etat étranger967
      • I. Le consentement de l'Etat à l'arbitrage investisseur-Etat, le juge et les immunités 975
      • A. La question de l'immunité de l'Etat étranger ayant consenti à l'arbitrage investisseur-Etat doit-elle être soulevée d'office par le juge saisi ?975
      • B. Le consentement de l'Etat étranger à l'arbitrage investisseur-Etat vaut-il renonciation à son immunité de juridiction devant le juge du contrôle de la sentence ?977
      • C. Le consentement de l'Etat étranger à l'arbitrage investisseur-Etat vaut-il renonciation de l'Etat à son immunité d'exécution ?979
      • II. L'exception permanente au principe de l'immunité d'exécution : les biens de l'Etat étranger utilisés à des fins commerciales 983
      • A. La pertinence du lien entre le bien saisi et l'activité qui a donné lieu à la demande en justice984
      • B. La saisie des biens des émanations de l'Etat étranger986
      • III. Les biens de l'Etat étranger qui ne peuvent jamais être saisis, en principe 989
      • A. La preuve de la non-affectation d'un bien à une mission souveraine990
      • B. La renonciation par l'Etat étranger à se prévaloir de l'immunité d'exécution sur les biens insaisissables, en principe992
      • Bibliographie996
      • Chapitre 27
        Reconnaissance et exécution des sentences arbitrales en matière d'investissement999
      • I. L'exécution volontaire de la sentence arbitrale 1002
      • A. Une obligation pécuniaire1003
      • B. La mise en oeuvre des obligations autres que pécuniaires1005
      • C. Les difficultés internes susceptibles d'être rencontrées par l'Etat1006
      • II. Reconnaissance, force exécutoire et exécution forcée devant le juge interne 1008
      • A. Régime applicable aux sentences CIRDI1008
      • 1. Un régime simplifié 1008
      • 2. Procédure 1011
      • 3. Pratique jurisprudentielle 1012
      • B. Régime applicable hors CIRDI1013
      • C. Interaction entre annulation et reconnaissance et exécution1016
      • III. L'exécution forcée en dehors du recours au juge interne 1018
      • A. Ressaisir un tribunal arbitral1018
      • B. La protection diplomatique de l'Etat de nationalité de l'investisseur1020
      • C. Les moyens préventifs et alternatifs à la disposition des deux parties1022
      • Bibliographie1024
      • Conclusion
        L'avenir des traités de protection des investissements1027
      • I. Les transformations tenant au transfert de compétence des Etats européens à l'Union 1031
      • A. Les traités intra-européens1031
      • B. Les traités conclus avec des Etats tiers1033
      • II. Les transformations tenant à la nécessité d'éviter que les traités se prêtent à certains abus 1037
      • A. La faculté pour l'Etat de former une demande reconventionnelle devant le tribunal arbitral saisi par l'investisseur1037
      • B. La nécessaire police des actions multiples sur le fondement de différents traités pour la protection des mêmes intérêts1041
      • Bibliographie1046
      • Index de jurisprudence1031
      • Index analytique1031
      • Table des matières1121

  • Origine de la notice:
    • FR-751131015 ;
    • Electre
  • Disponible - 341.95 LEB

    Niveau 3 - Droit