• Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Livre

Biologie du développement : les grands principes

Résumé

Une introduction didactique aux concepts fondamentaux du développement biologique. Cours progressif illustré de nombreuses figures et de schémas fonctionnels synthétiques. Avec des compléments accessibles en ligne. ©Electre 2017


  • Autre(s) auteur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2017
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (792 p.) : illustrations en couleur ; 27 x 21 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-10-075773-2
  • Indice
    • 576.8 Embryologie générale, biologie du développement
  • Quatrième de couverture
    • Biologie du développement

      Les grands principes

      La biologie du développement est au centre de toute la biologie des organismes pluricellulaires. Elle traite des processus par lesquels les gènes d'un oeuf fécondé, en contrôlant le comportement cellulaire de l'embryon, déterminent les caractéristiques de l'animal ou de la plante. Un lien majeur unit également la biologie du développement à l'évolution, puisque les organismes qui s'adaptent le mieux à leur environnement sont issus de changements ayant affecté le développement.

      Cette cinquième édition tient compte des avancées récentes de la discipline notamment des progrès dans notre compréhension de la différenciation cellulaire et le décryptage des modifications affectant l'évolution. Cette nouvelle édition illustre aussi l'importance croissante de la biologie du développement dans le domaine médical, notamment en génétique clinique et en médecine régénérative.

      Les plus

      ¤ Un cours progressif et didactique

      ¤ De nombreuses figures et des schémas fonctionnels synthétiques en couleurs

      ¤ De nombreux encarts biomédicaux et techniques

      Le public

      ¤ Étudiants en Licence 3/Master de Sciences de la Vie

      ¤ Candidats aux concours de l'enseignement (CAPES, Agrégation)

      ¤ Étudiants en médecine


  • Tables des matières
      • Biologie du développement

      • Jean Foucrier

      • Dunod

      • Préface de l'édition française V
      • À propos des auteurs VII
      • L'équipe de traducteurs VIII
      • Liste des encarts XVIII
      • Avant-propos XX
      • Remerciements XXII
      • Abréviations XXIII
      • Chapitre 1 Histoire et concepts de base1
      • Les origines de la biologie du développement3
      • 1.1 Aristote définit pour la première fois la question de l'épigenèse versus la préformation3
      • ¤ Encart 1A Étapes fondamentales du développement de Xenopus laevis4
      • 1.2 La théorie cellulaire a changé les conceptions sur le développement embryonnaire et l'hérédité4
      • 1.3 Deux types principaux de développement furent initialement proposés6
      • ¤ Encart 1B Le cycle cellulaire de la mitose7
      • 1.4 La découverte de l'induction montra qu'un groupe de cellules pouvait déterminer le développement des cellules voisines8
      • 1.5 La biologie du développement émergea de l'union de la génétique et de l'embryologie8
      • 1.6 Le développement est étudié avant tout au travers d'organismes modèles9
      • 1.7 Les premiers gènes du développement ont été identifiés grâce à des mutations spontanées11
      • Résumé13
      • Un outil conceptuel13
      • 1.8 Le développement inclut l'émergence du patron d'organisation, le changement de forme, la différenciation cellulaire et la croissance14
      • ¤ Encart 1C Feuillets embryonnaires15
      • 1.9 Le comportement cellulaire fait le lien entre action des gènes et processus du développement17
      • 1.10 Les gènes contrôlent le comportement cellulaire en déterminant les protéines à synthétiser17
      • 1.11 L'expression des gènes du développement est sous un contrôle strict19
      • ¤ Encart 1D Observer l'expression des gènes chez l'embryon20
      • 1.12 Le développement est progressif et la destinée des cellules se détermine à des moments différents22
      • 1.13 Les interactions inductrices rendent les cellules différentes les unes des autres24
      • ¤ Encart 1E Transduction du signal et voies de signalisation intracellulaires26
      • 1.14 La réponse aux signaux inducteurs dépend de l'état de la cellule26
      • 1.15 La mise en place du patron de formation peut impliquer l'interprétation d'informations de position27
      • ¤ Encart 1F Quand le développement est défectueux28
      • 1.16 L'inhibition latérale peut générer des patrons spatiaux30
      • 1.17 La localisation de déterminants cytoplasmiques et la division cellulaire asymétrique peuvent conduire à des cellules filles distinctes30
      • 1.18 L'embryon contient un programme générateur plutôt que descriptif31
      • 1.19 L'infaillibilité du développement est atteinte de plusieurs façons32
      • 1.20 La complexité du développement embryonnaire est due à la complexité même des cellules32
      • 1.21 Le développement est un élément clé de l'évolution33
      • Résumé34
      • Résumé du Chapitre 134
      • Chapitre 2 Mise en place du plan d'organisation de la drosophile37
      • Cycle vital et développement général de la drosophile38
      • 2.1 L'embryon précoce de drosophile est un syncytium38
      • 2.2 La cellularisation est suivie de la gastrulation et la segmentation40
      • 2.3 Après l'éclosion, la larve de drosophile se développe à travers différents stades larvaires, forme une pupe, puis se métamorphose en adulte41
      • 2.4 De nombreux gènes du développement ont été identifiés chez la drosophile par criblage génétique à grande échelle41
      • ¤ Encart 2A Mutagenèse et stratégie de criblage génétique pour identifier des mutants de développement chez la drosophile43
      • Résumé44
      • Mise en place des axes embryonnaires44
      • 2.5 Les axes corporels sont établis alors que l'embryon de la drosophile n'est encore qu'un syncytium44
      • 2.6 Des facteurs maternels mettent en place les axes et contrôlent le développement initial de la drosophile46
      • 2.7 Trois classes de gènes maternels spécifient l'axe antéro-postérieur46
      • 2.8 La protéine morphogène Bicoïd est distribuée selon un gradient antéro-postérieur46
      • 2.9 L'organisation postérieure est contrôlée par les gradients des protéines Nanos et Caudal49
      • 2.10 Les extrémités antérieure et postérieure de l'embryon sont déterminées par l'activation d'un récepteur membranaire50
      • 2.11 La polarité dorso-ventrale de l'embryon est déterminée par la localisation de protéines maternelles dans l'espace périvitellin51
      • 2.12 Dorsal génère une information de position le long de l'axe dorso-ventral52
      • Résumé53
      • ¤ Encart 2B la voie de signalisation Toll : une voie multifonctionelle54
      • Localisation des déterminants maternels pendant l'ovogenèse54
      • 2.13 L'axe antéro-postérieur de l'oeuf de drosophile est déterminé par des signaux provenant de la chambre ovarienne et par des interactions entre l'ovocyte et les cellules folliculaires55
      • ¤ Encart 2C La voie de signalisation JAC-STAT57
      • 2.14 La localisation des ARNm maternels aux extrémités de l'ovocyte dépend de la réorganisation de son cytosquelette58
      • 2.15 L'axe dorso-ventral de l'oeuf est spécifié par un déplacement du noyau avocytaire suivi par des signalisations entre l'ovocyte et les cellules folliculaires60
      • Résumé60
      • Mise en place de l'organisation de l'embryon précoce61
      • 2.16 L'expression des gènes zygotiques selon l'axe dorso-ventral est contrôlée par la protéine Dorsal61
      • 2.17 La protéine Decapentaplegic agit comme un morphogène qui modèle la région dorsale de l'embryon64
      • 2.18 L'axe antéro-postérieur est subdivisé en grandes régions par l'expression des gènes gap66
      • 2.19 La protéine Bicoïd délivre un signal de position qui contrôle l'expression antérieure du gène hunchback zygotique66
      • 2.20 Le gradient de la protéine Hunchback active et réprime l'expression d'autres gènes gap68
      • ¤ Encart 2D Transgénèse s'effectuant par l'intermédiaire de l'élément P69
      • ¤ Encart 2E Expression de gènes cibles et dépistage de défauts d'expression70
      • Résumé71
      • Activation des gènes pair-rule et établissement des parasegments71
      • 2.21 Les parasegments sont délimités par les patrons d'expression périodiques des gènes pair-rule72
      • 2.22 L'activité des gènes gap détermine la position des bandes d'expression des gènes pair-rule72
      • 2.23 Les insectes utilisent différents mécanismes pour modeler leur architecture corporelle75
      • Résumé77
      • Les gènes de polarité segmentaire et l'organisation des segments77
      • 2.24 L'expression du gène engrailed définit les frontières parasegmentaires qui sont également des limites de restriction clonale77
      • 2.25 Les gènes de polarité segmentaire stabilisent les frontières parasegmentaires79
      • 2.26 Des signaux émis à la frontière parasegmentaire délimitent et organisent les futurs segments79
      • ¤ Encart 2F La voie de signalisation Hedgehog82
      • 2.27 Les compartiments perdurent chez la mouche adulte83
      • ¤ Encart 2G Les mutants affectant l'organisation des denticules donnent des informations sur l'organisation des segments84
      • ¤ Encart 2H Mosaïques génétiques et recombinaison mitotique86
      • 2.28 Les cellules épidermiques des insectes deviennent polarisées individuellement suivant une direction antéropostérieure dans le plan de l'épithélium87
      • ¤ Encart 2I Polarité planaire chez la drosophile88
      • Résumé89
      • Spécification de l'identité segmentaire90
      • 2.29 Les gènes Hox spécifient l'identité des segments chez la drosophile91
      • 2.30 Les gènes sélecteurs homéotiques du complexe bithorax sont responsables de la diversification des segments postérieurs92
      • 2.31 Le complexe Antennapedia contrôle la spécification des régions antérieures93
      • 2.32 L'ordre d'expression des gènes Hox correspond à leur ordre sur le chromosome93
      • 2.33 La tête chez la drosophile est spécifiée par des gènes distincts des gènes Hox94
      • Résumé94
      • Résumé du Chapitre 295
      • Chapitre 3 Développement des vertébrés I : cycles de vie et techniques expérimentales103
      • Les cyles de vie des vertébrés et les grands traits de leur développement104
      • 3.1 Le crapaud Xenopus laevis est l'amphibien modèle pour l'étude du développement du plan d'organisation107
      • 3.2 L'embryon de poisson-zèbre se développe autour d'une grande masse de vitellus111
      • 3.3 Les oiseaux et les mammifères se ressemblent et diffèrent du xénope pour certains aspects importants du développement précoce113
      • 3.4 Le jeune embryon de poulet se développe en un disque plat de cellules surplombant une masse de vitellus114
      • 3.5 Le zygote de souris est dépourvu de vitellus et son développement précoce implique des cellules dédiées à la formation du placenta et des membranes extra-embryonnaires119
      • 3.6 Le développement précoce de l'embryon humain est similaire à celui de la souris123
      • Approches expérimentales pour étudier le développement des vertébrés125
      • ¤ Encart 3A Diagnostic génétique pré-implantatoire126
      • ¤ Encart 3B Profils d'expression génique par puces à ADN et séquençage d'ARN128
      • 3.7 La cartographie de la destinée des cellules et le traçage du lignage révèlent quelles cellules de l'embryon précoce donnent naissance aux structures adultes129
      • 3.8 Toutes les techniques ne s'appliquent pas à l'ensemble des vertébrés131
      • 3.9 Des gènes du développement peuvent être identifiés grâce à des mutations spontanées et des criblages de mutagenèse à large échelle132
      • ¤ Encart 3C Criblages de mutagenèse à large échelle pour des mutations récessives chez le poisson-zèbre134
      • 3.10 Les techniques transgéniques permettent la production d'animaux porteurs de mutations dans des gènes spécifiques135
      • ¤ Encart 3D Le système Cre/loxP : une stratégie pour invalider des gènes chez la souris138
      • 3.11 La fonction d'un gène peut aussi être testée par transgénèse transitoire et par extinction génique139
      • 3.12 Les réseaux de régulation de gènes dans le développement embryonnaire peuvent être révélés par des techniques d'immunoprécipitation de chromatine139
      • Résumé du Chapitre 3140
      • Chapitre 4 Développement des vertébrés II : xénope et poisson-zèbre144
      • Mise en place des axes embryonnaires145
      • 4.1 L'axe pôle animal-pôle végétatif est déterminé maternellement chez le xénope145
      • ¤ Encart 4A Signaux protéiques intercellulaires dans le développement des vertébrés147
      • ¤ Encart 4B La voie de signalisation Wnt/(...)-caténine148
      • 4.2 L'activation locale de la signalisation Wnt/(...)-caténine spécifie le futur côté dorsal de l'embryon149
      • 4.3 Des centres de signalisation se développent du côté dorsal de la blastula151
      • Résumé152
      • Origine et spécification des feuillets embryonnaires152
      • 4.4 La carte des territoires présomptifs de la blastula de xénope rend compte du rôle de la gastrulation153
      • 4.5 L'absence de détermination des cellules de l'embryon précoce de xénope rend possible une régulation154
      • 4.6 L'endoderme et l'ectoderme sont spécifiés par des facteurs maternels, tandis que le mésoderme est induit à partir de l'ectoderme par des signaux provenant de la région végétative154
      • ¤ Encart 4C Voie de signalisation de membres de la famille des facteurs de croissance TGF-(...)157
      • 4.7 L'induction du mésoderme survient au cours d'une période restreinte du stade blastula157
      • 4.8 L'expression des gènes zygotiques débute à la transition blatuléenne158
      • 4.9 Les signaux d'induction du mésoderme et du plan primaire d'organisation sont produits par la région végétative, le centre organisateur, et le mésoderme ventral159
      • 4.10 Les protéines de la famille TGF-(...) sont des inducteurs du mésoderme160
      • ¤ Encart 4D Étude de la fonction d'un récepteur par l'utilisation de mutations dominantes négatives161
      • 4.11 L'expression zygotique des signaux d'induction du mésoderme et du plan d'organisation est activée par l'action combinée des facteurs maternels VegT et Wnt161
      • 4.12 Des seuils de réponse aux gradients de protéines de signalisation modèlent le mésoderme162
      • Résumé164
      • Le centre organisateur de Spemann et l'induction neurale164
      • ¤ Encart 4E La voie de signalisation FGF165
      • 4.13 Des signaux issus du centre organisateur structurent le mésoderme dorso-ventral en bloquant les effets des signaux ventraux166
      • 4.14 Émergence de l'axe antéro-postérieur de l'embryon au cours de la gastrulation167
      • 4.15 La plaque neurale est induite à partir de l'ectoderme169
      • 4.16 Le système nerveux est structuré par des signaux mésodermiques le long de l'axe antéro-postérieur172
      • 4.17 Le plan d'organisation final de l'embryon se manifeste à la fin de la gastrulation et à la neurulation173
      • Résumé174
      • Mise en place du plan d'organisation du poisson-zèbre174
      • 4.18 Les axes corporels du poisson-zèbre sont établis par des déterminants maternels175
      • 4.19 Les feuillets embryonnaires sont spécifiés dans le blastoderme du poisson-zèbre par des signaux similaires de ceux du xénope175
      • 4.20 L'écusson du poisson-zèbre est l'organisateur embryonnaire comme celui de Spemann chez le xénope177
      • Résumé du Chapitre 4178
      • Chapitre 5 Développement des vertébrés III : achèvement du plan d'organisation corporel du poulet et de la souris185
      • Mise en place du plan corporel chez le poulet et la souris186
      • 5.1 La polarité antéro-postérieure du blastoderme de poulet est associée à la ligne-primitive186
      • 5.2 La séparation des lignées cellulaires de l'embryon et des structures extra-embryonnaires s'effectue lors des stades précoces du développement chez la souris188
      • 5.3 Le mouvement de l'endoderme viscéral antérieur indique l'axe antéro-postérieur définitif de l'embryon de souris192
      • 5.4 Les cartes des territoires présomptifs des embryons de vertébrés se présentent comme des variations d'un même plan de base193
      • ¤ Encart 5A Régulation fine du signal Nodal194
      • 5.5 L'induction mésodermique et la mise en place du plan d'organisation chez le poulet et la souris s'effectuent pendant la formation de la ligne primitive196
      • 5.6 Le noeud qui se développe à l'extrémité antérieure de la ligne primitive chez le poulet et la souris est équivalent à l'organisateur de Spemann chez le xénope198
      • 5.7 L'induction neurale chez le poulet et la souris est initiée par un signal FGF suivi d'une inhibition du signal BMP dans un second temps200
      • ¤ Encart 5B Complexes de remodelage chromatinien202
      • 5.8 Les structures axiales de poulet et de souris sont générées à partir d'un auto-renouvellement de populations cellulaires203
      • Résumé205
      • ¤ Encart 5C L'acide rétinoïque : une petite molécule signal intercellulaire206
      • Formation des somites et organisation antéro-postérieure207
      • 5.9 Les somites sont formés selon un ordre bien défini le long de l'axe antéro-postérieur208
      • ¤ Encart 5D La voie de signalisation Notch212
      • 5.10 L'identité des somites le long de l'axe antéro-postérieur est spécifiée par l'expression des gènes Hox213
      • ¤ Encart 5E Les gènes Hox215
      • 5.11 La délétion ou la surexpression de gènes Hox entraîne des modifications dans la mise en place du patron axial218
      • 5.12 L'expression des gènes Hox est activée selon une orientation antéro-postérieure219
      • 5.13 Le devenir des cellules des somites est déterminé par des signaux provenant de tissus voisins220
      • Résumé222
      • Origine des crêtes neurales et leurs devenirs respectifs223
      • 5.14 Les cellules des crêtes neurales sont issues des bords de la plaque neurale et après avoir migré sont à l'origine d'une grande variété de types cellulaires223
      • 5.15 Les cellules des crêtes neurales migrent à partir du cerveau postérieur pour coloniser les arcs branchiaux.224
      • Résumé225
      • Détermination de l'asymétrie gauche-droite226
      • 5.16 La symétrie bilatérale des jeunes embryons disparaît avec la mise en place de l'asymétrie gauche-droite des organes internes226
      • 5.17 La rupture de la symétrie droite-gauche peut être initiée dans les cellules du jeune embryon228
      • Résumé229
      • Résumé du Chapitre 5229
      • Chapitre 6 Développement des nématodes et des oursins235
      • Nématodes236
      • ¤ Encart 6A Les voies apoptotiques chez les nématodes, la drosophile et les mammifères238
      • 6.1 Le lignage cellulaire de Caenorhabditis elegans est en grande partie invariant239
      • 6.2 L'axe antéro-postérieur de Caenorhabditis elegans est déterminé par des divisions asymétriques239
      • ¤ Encart 6B Extinction génique par de ARN anti-sens et interférence à ARN241
      • 6.3 L'axe dorso-ventral est déterminé chez Caenorhabditis elegans par des interactions intercellulaires242
      • 6.4 Des divisions asymétriques et des interactions entre les cellules spécifient les destinées cellulaires dans les embryons précoces de nématode244
      • 6.5 La différenciation cellulaire chez le nématode est étroitement liée au patron des divisions cellulaires246
      • 6.6 Les gènes Hox spécifient les identités de position le long de l'axe antéro-postérieur chez Caenorhabditis elegans247
      • 6.7 La chronologie des événements marquant le développement du nématode est sous un contrôle génétique qui implique des microARN248
      • ¤ Encart 6C Extinction génique par des microARN250
      • 6.8 Le développement de la vulve est initié par l'induction d'un petit nombre de cellules due à des signaux à courte portée émis par une cellule inductrice unique250
      • Résumé253
      • Échinodermes254
      • 6.9 Le développement embryonnaire de l'oursin donne naissance à une larve nageuse254
      • 6.10 L'oeuf de l'oursin est polarisé suivant l'axe animal-végétatif255
      • 6.11 La carte des territoires présomptifs de l'oursin est finement spécifiée, mais l'embryon possède néanmoins un fort pouvoir de régulation embryonnaire257
      • 6.12 La région végétative de l'embryon d'oursin agit comme un centre organisateur258
      • 6.13 La région végétative de l'embryon d'oursin est caractérisée par une accumulation nucléaire de (...)-caténine259
      • 6.14 Les axes animal-végétatif et oral-aboral de l'oursin correspondent aux axes antéro-postérieur et dorso-ventral des autres deutérostomiens260
      • 6.15 Le squelette de la larve pluteus se forme à partir du mésenchyme primaire261
      • 6.16 L'axe oral-aboral de l'embryon d'oursin est relié au plan de la première division de segmentation263
      • 6.17 L'ectoderme oral agit comme un centre organisateur264
      • ¤ Encart 6D Le réseau de régulation génétique contrôlant la spécification de l'endomésoderme chez l'oursin265
      • Résumé266
      • Résumé du Chapitre 6266
      • Chapitre 7 Développement des plantes272
      • 7.1 La plante modèle Arabidopsis thaliana a un cycle de vie court et un petit génome diploïde274
      • Développement embryonnaire275
      • 7.2 Le développement embryonnaire des plantes passe par différents stades275
      • ¤ Encart 7A L'embryogenèse chez les angiospermes276
      • 7.3 Des gradients d'auxine établissent l'axe apico-basal de l'embryon278
      • 7.4 Les cellules somatiques de la plante peuvent donner naissance à des embryons et des plantules280
      • ¤ Encart 7B Plantes transgéniques281
      • 7.5 L'expansion cellulaire est un processus majeur dans la croissance des plantes et leur morphogenèse281
      • Résumé282
      • Méristèmes283
      • 7.6 Un méristème contient une petite zone centrale de cellules souches capable de s'auto-renouveler284
      • 7.7 La taille de l'aire occupée par les cellules souches dans le méristème est maintenue constante par une boucle de rétroaction en direction du centre organisateur284
      • 7.8 Le devenir des cellules des différentes couches du méristème peut être modifié en changeant leur position285
      • 7.9 La carte des territoires présomptifs du méristème apical caulinaire embryonnaire peut être construite par analyse clonale287
      • 7.10 Le développement du méristème est dépendant de signaux issus d'autres parties de la plante288
      • 7.11 L'activité de gènes configure les axes proximo-distal et adaxial-abaxial des feuilles issues du méristème apical289
      • 7.12 La disposition régulière des feuilles sur une tige est générée par un transport régulé d'auxine290
      • 7.13 Les tissus racinaires sont produits par les méristèmes apicaux racinaires d'Arabidopsis grâce à un ensemble de divisions cellulaires très stéréotypées292
      • 7.14 Les poils absorbants sont spécifiés par une combinaison d'informations de position et d'inhibition latérale294
      • Résumé294
      • Le développement floral et le contrôle de la floraison295
      • 7.15 Des gènes homéotiques contrôlent l'identité des organes dans la fleur296
      • ¤ Encart 7C Le modèle de base de la mise en place de l'organisation de la fleur d'Arabidopsis298
      • 7.16 La fleur d'Antirrhinum présente une organisation dorso-ventrale et radiaire299
      • 7.17 La couche interne du méristème peut spécifier la mise en place du méristème floral300
      • 7.18 La transition du méristème caulinaire de l'état végétatif à l'état floral est sous contrôle génétique et environnemental300
      • 7.19 La plupart des plantes à fleurs sont hermaphrodites mais certaines produisent des fleurs unisexuées302
      • Résumé303
      • Résumé du Chapitre 7304
      • Chapitre 8 Différenciation cellulaire et cellules souches309
      • Le contrôle de l'expression des gènes312
      • 8.1 Le contrôle de la transcription implique des régulateurs transcriptionnels généraux et tissu-spécifiques313
      • 8.2 L'expression des gènes est aussi contrôlée par des modifications chimiques et structurales de l'ADN et des protéines histones, qui modifient la structure de la chromatine316
      • ¤ Encart 8A Contrôle épigénétique de l'expression génique par des modifications de la chromatine317
      • 8.3 Les profils d'activité génique peuvent être transmis grâce à la persistance de protéines régulatrices ou par le maintien des modifications de la chromatine318
      • 8.4 Des signaux extracellulaires peuvent déclencher les changements de profils d'activité génique lors de la différenciation319
      • Résumé321
      • Modèles de différenciation cellulaire et cellules souches322
      • 8.5 La différenciation musculaire est déterminée par la famille de facteurs de transcription MyoD322
      • 8.6 La différenciation musculaire implique une sortie du cycle cellulaire mais est réversible324
      • 8.7 Toutes les cellules sanguines dérivent de cellules souches multipotentes325
      • 8.8 Des facteurs intrinsèques et extrinsèques contrôlent la différenciation des lignées hématopoïétiques328
      • 8.9 L'expression du gène de la globine au cours du développement est contrôlée par des séquences régulatrices très éloignées des régions codantes330
      • 8.10 L'épiderme de la peau des mammifères adultes est continuellement remplacé par des cellules issues de cellules souches332
      • 8.11 Les cellules souches utilisent différentes modalités de division pour entretenir les tissus334
      • 8.12 Le revêtement intestinal : un autre exemple d'épithélium à renouvellement continu336
      • 8.13 Les cellules musculaires squelettiques et les cellules nerveuses peuvent être renouvelées à partir de cellules souches chez l'adulte338
      • 8.14 Les cellules souches embryonnaires prolifèrent, peuvent se différencier en de nombreux types cellulaires en culture et contribuent au développement normal in vivo339
      • ¤ Encart 8B L'isolement et la culture de cellules souches embryonnaires de souris (cellules ES)341
      • Résumé342
      • La plasticité de l'état différencié343
      • 8.15 Les noyaux de cellules différenciées peuvent orchestrer un développement344
      • 8.16 Le profil d'activité génique des cellules différenciées peut être modifié par fusion cellulaire346
      • 8.17 L'état différencié d'une cellule peut changer par transdiférenciation346
      • 8.18 Les cellules souches pourraient être une clé de la médecine régénérative348
      • ¤ Encart 8C Ingénierie tissulaire et cellules souches349
      • ¤ Encart 8D Les cellules souches pluripotentes induites (cellules iPS)350
      • 8.19 Des approches variées permettent d'obtenir des cellules différenciées utilisables en thérapie cellulaire352
      • Résumé355
      • Résumé du Chapitre 8355
      • Chapitre 9 La morphogenèse : modification de formes dans l'embryon361
      • Adhérence cellulaire363
      • 9.1 La réagrégation de cellules dissociées démontre l'existence d'une adhésivité différentielle entre tissus distincts363
      • ¤ Encart 9A Molécules d'adhérence cellulaire et jonctions cellulaires365
      • 9.2 Les cadhérines permettent une adhésivité sélective366
      • 9.3 La conversion d'un tissu épithélial en tissu mésenchymateux (et vice versa) implique des modifications de l'adhérence cellulaire367
      • ¤ Encart 9B Cytosquelette, modification de forme et mouvement cellulaire368
      • Résumé369
      • Clivage et formation de la blastula369
      • 9.4 L'orientation du fuseau mitotique détermine l'orientation du plan de vision370
      • 9.5 La position du fuseau dans la cellule détermine les tailles relatives des cellules filles372
      • 9.6 La polarité cellulaire apparaît dans la blastula d'amphibien et dans la morula de souris373
      • 9.7 Les jonctions serrées et un transport d'ions permettent une accumulation de liquide à l'origine de la formation du blastocoele dans le blastocyste de mammifère375
      • Résumé376
      • Les mouvements de la gastrulation377
      • 9.8 La gastrulation chez l'oursin implique une transition épithélio-mésenchymateuse, des migrations cellulaires et une invagination de la paroi de la blastula377
      • 9.9 L'invagination du mésoderme de la drosophile est provoquée par des modifications de morphologie cellulaire contrôlées par des gènes de polarité dorso-ventrale380
      • 9.10 L'extension de la bandelette germinative de drosophile implique un remodelage myosine-dépendant des jonctions cellulaires et une intercalation cellulaire382
      • 9.11 La gastrulation des amphibiens et des poissons implique involution, épibolie et extension convergente383
      • ¤ Encart 9C L'extension convergente385
      • 9.12 Le développement de la chorde chez le xénope illustre la nécessité d'une polarité antéro-postérieure pré-établie pour la mise en place d'une polarité cellulaire médio-latérale387
      • 9.13 La gastrulation de l'embryon de poulet et de souris implique la délamination de cellules de l'épiblaste et leur immigration au niveau de la ligne primitive389
      • Résumé391
      • La formation du tube neural392
      • 9.14 La formulation du tube neural est due à des changements de forme cellulaire et à une extension convergente393
      • ¤ Encart 9D Les récepteurs Eph et leurs ligand éphrine395
      • ¤ Encart 9E Les malformations du tube neural396
      • Résumé396
      • Migration cellulaire397
      • 9.15 Les cellules des crêtes neurales se différencient en une lare gamme de types cellulaires différents397
      • 9.16 La migration des cellules des crêtes neurales est contrôlée par des signaux environnementaux397
      • 9.17 La mise en place de l'ébauche de la ligne latérale des poissons est un exemple de migration cellulaire collective399
      • 9.18 Les fermetures dorsale chez l'embryon de drosophile et ventrale chez celui de Caenorhabditis elegans se réalisent par l'entremise de filopodes400
      • Résumé401
      • Dilatation dirigée402
      • 9.19 L'extension tardive et la rigidification de la chorde sont obtenues par dilatation dirigée402
      • 9.20 La contraction circonférentielle des cellules hypodermiques allonge l'embryon de nématode402
      • Résumé403
      • Résumé du Chapitre 9403
      • Chapitre 10 Cellules germinales, fécondation, et déterminisme du sexe409
      • La différenciation des cellules germinales410
      • 10.1 Les cellules germinales sont spécifiées chez certains embryons par la présence d'un plasme germinal dans l'ovule411
      • 10.2 Chez les mammifères, les cellules germinales sont induites par des interactions intercellulaires au cours du développement413
      • 10.3 Les cellules germinales migrent depuis leur site d'origine jusqu'aux gonades414
      • 10.4 Les cellules germinales sont guidées vers leur destination finale par des signaux chimiques415
      • 10.5 La différenciation des cellules germinales implique une réduction de moitié du nombre de chromosomes par la méiose416
      • ¤ Encart 10A Globules polaires417
      • 10.6 Le développement d'un ovocyte peut impliquer une amplification génique et des apports de la part d'autres cellules419
      • 10.7 Des facteurs cytoplasmiques sont responsables du maintien des potentialités ovocytaires420
      • 10.8 Chez les mammifères certains gènes contrôlant la croissance embryonnaire sont sous « empreinte »420
      • Résumé423
      • Fécondation424
      • 10.9 La fécondation fait intervenir des interactions de surface entre les gamètes424
      • 10.10 Des modifications de la membrane plasmique et des enveloppes de l'ovule bloquent la polyspermie lors de la fécondation426
      • 10.11 La fusion ovule-spermatozoïde provoque une onde calcique à l'origine de l'activation de l'oeuf427
      • Résumé429
      • Détermination du phénotype sexuel430
      • 10.12 Le principal gène de détermination du sexe est sur le chromosome Y chez les mammifères430
      • 10.13 Le phénotype sexuel des mammifères est régulé par des hormones gonadiques431
      • 10.14 La détermination du sexe a pour premier signal le nombre de chromosomes X chez la drosophile et est autonome au niveau cellulaire433
      • 10.15 Le développement sexuel somatique chez Caenorhabditis est déterminé par le nombre de chromosomes X435
      • 10.16 La détermination sexuelle des cellules germinales dépend de la constitution génétique et de signaux intercellulaires436
      • 10.17 Des stratégies variées sont utilisées pour la compensation de dose des gènes liés au chromosome X438
      • Résumé440
      • Résumé du Chapitre 10441
      • Chapitre 11 Organogenèse446
      • Le membre des vertébrés447
      • 11.1 Le membre des vertébrés se forme à partir d'un bourgeon de membre447
      • 11.2 La position et l'identité axiale des membres sont définies par l'activité de gènes exprimés dans le mésoderme des lames latérales449
      • 11.3 La crête apicale ectodermique est requise pour la croissance du membre et la formation des différentes structures le long de son axe proximal-distal451
      • 11.4 La croissance du bourgeon de membre fait appel à des comportements cellulaires orientés452
      • 11.5 La mise en place de l'organisation du bourgeon de membre fait appel à de l'information de position454
      • 11.6 Comment la position le long de l'axe proximo-distal du bourgeon de membre est spécifiée reste une question ouverte454
      • 11.7 La zone à activité polarisante spécifie les positions le long de l'axe antéro-postérieur du membre456
      • ¤ Encart 11A Les effets des tératogènes sur le développement embryonnaire458
      • ¤ Encart 11B Information de position et gradients de morphogènes460
      • 11.8 Sonic hedgehog est le morphogène produit par la zone à activité polarisante461
      • 11.9 La manière dont l'identité des doigts est codée n'est pas connue462
      • ¤ Encart 11C Des mutations qui affectent la formation de l'axe antéro-postérieur du membre peuvent causer des polydactylies463
      • 11.10 La mise en place de l'axe dorso-ventral du membre est contrôlée par l'ectoderme464
      • 11.11 Le développement du membre nécessite des interactions entre les centres de signalisation465
      • ¤ Encart 11D La signalisation Sonic hedgehog et le cil primaire466
      • 11.12 Des interprétations différentes de signaux de position identiques donnent naissance à des membres différents467
      • 11.13 Les gènes Hox interviennent à de multiples reprises dans le développement des membres468
      • 11.14 L'auto-organisation pourrait être impliquée dans le développement du bourgeon de membre471
      • ¤ Encart 11E Les mécanismes de réaction-diffusion472
      • 11.15 L'organisation de la musculature du membre est contrôlée par le tissu conjonctif473
      • 11.16 Le développement initial des cartilages, des muscles et des tendons est autonome473
      • 11.17 La formation des articulations nécessite des signaux sécrétés et des stimuli mécaniques474
      • 11.18 La séparation des doigts résulte de morts cellulaires programmées475
      • Résumé476
      • Les pattes et les ailes des insectes476
      • 11.19 L'aile adulte émerge pendant la métamorphose après l'enroulement et l'évagination du disque imaginal d'aile477
      • 11.20 Un centre de signalisation situé à la frontière entre les compartiments antérieurs et postérieurs organise le développement de l'aile de la drosophile selon l'axe antéro-postérieur478
      • 11.21 Un centre de signalisation situé à la frontière entre les compartiments dorsaux et ventraux organise le développement de l'aile de la drosophile selon l'axe dorso-ventral481
      • 11.22 Le gène vestigial spécifie l'identité des ailes et contrôle leur croissance481
      • 11.23 Comment l'organisation de l'aile le long de l'axe proximo-distal est-elle établie reste une question ouverte483
      • 11.24 Le développement du disque de patte se fait de manière similaire à celui du disque d'aile, sauf en ce qui concerne l'axe proximo-distal483
      • 11.25 Les motifs colorés des papillons se forment grâce à des informations positionnelles supplémentaires485
      • 11.26 Différents disques imaginaux peuvent avoir les mêmes valeurs de position486
      • Résumé488
      • Les yeux des vertébrés et des insectes489
      • 11.27 L'oeil des vertébrés se développe essentiellement à partir du tube neural et de l'ectoderme de la tête490
      • 11.28 La mise en place de l'organisation de l'oeil chez la drosophile repose sur des interactions cellule-cellule494
      • Résumé497
      • Les poumons des vertébrés et le système trachéen des insectes498
      • 11.29 Les poumons de vertébrés se développent par ramification de tubes épithéliaux499
      • 11.30 Le système trachéen de la drosophile est un exemple type de morphogenèse ramifiée500
      • Résumé502
      • Les vaisseaux sanguins et le coeur des vertébrés502
      • 11.31 Le système sanguin se développe par vasculogenèse à laquelle succède une angiogenèse502
      • 11.32 Le développement du coeur des vertébrés implique la morphogenèse et la régionalisation d'un tube mésodermique504
      • Les dents507
      • 11.33 Le développement dentaire implique des interactions épithélio-mésenchymateuses et un code de gènes à homéoboîte spécifie l'identité dentaire507
      • Résumé510
      • Résumé du Chapitre 11510
      • Chapitre 12 Développement du système nerveux520
      • Spécification de l'identité cellulaire dans le système nerveux522
      • 12.1 La régionalisation initiale du cerveau des vertébrés implique des signaux d'organisateurs locaux522
      • 12.2 Les centres de signalisation locaux façonnent le cerveau le long de l'axe antéro-postérieur523
      • 12.3 Le cortex cérébral est façonné par des signaux de la crête neurale antérieure524
      • 12.4 Le rhombencéphale est segmenté en rhombomères par des limites de restriction de lignage cellulaire525
      • 12.5 Les gènes Hox fournissent une information de position dans le rhombencéphale en développement527
      • 12.6 Le patron de différenciation cellulaire le long de l'axe dorso-ventral de la moelle épinière dépend de signaux ventraux et dorsaux528
      • 12.7 Les sous-types neuronaux de la moelle épinière ventrale sont spécifiés par le gradient ventro-dorsal de Shh530
      • 12.8 Des motoneurones spinaux avec des positions dorso-ventrales distinctes innervent des muscles différents du tronc et des membres531
      • 12.9 Des signaux sécrétés à partir du noeud de Hensen et du mésoderme adjacent déterminent le patron antéro-postérieur de la moelle épinière532
      • Résume533
      • Formation et migration des neurones533
      • 12.10 Chez la drosophile les neurones sont formés à partir des amas proneuraux533
      • 12.11 Le développement des neurones chez la drosophile implique des divisions cellulaires asymétriques et des changements dans le temps de l'expression des gènes536
      • ¤ Encart 12A Spécification des organes sensoriels de la Drosophile adulte537
      • 12.12 La production des neurones chez les vertébrés implique, comme pour la drosophile, une inhibition latérale538
      • 12.13 Les neurones sont formés dans la zone proliférative du tube neural des vertébrés et migrent vers l'extérieur539
      • ¤ Encart 12B Chronologie de la naissance des neurones corticaux541
      • 12.14 De nombreux interneurones corticaux migrent tangentiellement543
      • Résumé543
      • Navigation axonale544
      • 12.15 Le cône de croissance contrôle le trajet suivi par l'axone en cours de croissance545
      • ¤ Encart 12C Développement du circuit neuronal dans le réflexe rotulien547
      • 12.16 Les axones des motoneurones du membre de poulet sont guidés par des interactions éphrines- Eph548
      • 12.17 Les axones franchissant la ligne médiane sont à la fois attirés et repoussés549
      • 12.18 Les neurones de la rétine établissent des connexions ordonnées avec les centres visuels du cerveau550
      • Résumé553
      • Formation et raffinement des synapses554
      • 12.19 La formation des synapses repose sur des interactions réciproques556
      • ¤ Encart 12D L'autisme : un trouble du développement qui implique un dysfonctionnement synaptique558
      • 12.20 Beaucoup de motoneurones meurent au cours d'un développement normal559
      • 12.21 La mort et la survie des neurones impliquent à la fois des facteurs intrinsèques et extrinsèques559
      • 12.22 Les projections rétinotopiques du cerveau sont affinées par l'activité neuronale560
      • Résumé561
      • Résumé du Chapitre 12562
      • Chapitre 13 Croissance, développement post-embryonnaire et régénération569
      • Croissance570
      • 13.1 Les tissus croissent par prolifération cellulaire, agrandissement des cellules, ou accrétion571
      • 13.2 La prolifération cellulaire est contrôlée par la régulation de l'entrée dans le cycle cellulaire572
      • 13.3 Les divisions cellulaires au cours du développement précoce peuvent être contrôlées par un programme de développement intrinsèque573
      • 13.4 Des signaux extrinsèques coordonnent les divisions cellulaires, la croissance cellulaire et la mort cellulaire au cours du développement de l'aile de la drosophile574
      • ¤ Encart 13A Les éléments essentiels de la voie de signalisation Hippo chez la drosophile et les mammifères575
      • 13.5 Les cancers peuvent être provoqués par des mutations de gènes contrôlant la prolifération cellulaire576
      • 13.6 Les mécanismes de contrôle de la taille peuvent être différents d'un organe à l'autre578
      • 13.7 La taille globale du corps dépend de l'intensité et de la durée de la croissance580
      • 13.8 Des hormones et des facteurs de croissance coordonnent la croissance des tissus et des organes, contribuant ainsi à déterminer la taille global du corps581
      • ¤ Encart 13B Le déterminant principal de la taille du corps des chiens est l'axe Hormone de croissance-IGF-1582
      • 13.9 L'élongation des os longs est contrôlée par la combinaison d'un programme intrinsèque de croissance et de facteurs extracellulaires583
      • ¤ Encart 13C Le rapport entre la longueur des doigts est déterminé lors du développement embryonnaire586
      • 13.10 La quantité de nourriture reçue par un embryon peut avoir des effets importants à très long terme587
      • Résumé588
      • Mue et métamorphose588
      • 13.11 Les arthropodes doivent muer pour pouvoir croître589
      • 13.12 La taille du corps des insectes est déterminée par la vitesse et la durée de la croissance larvaire589
      • 13.13 La métamorphose des amphibiens est sous contrôle hormonal592
      • Résumé593
      • Régénération593
      • 13.14 Il existe deux types de régénération, la morphallaxie et l'épimorphose595
      • 13.15 La régénération des pattes chez les amphibiens et les insectes implique l'épimorphose595
      • ¤ Encart 13D Régénération de l'hydre596
      • 13.16 La régénération de la patte d'amphibien implique une dédifférenciation cellulaire et une nouvelle croissance597
      • ¤ Encart 13E Régénération des planaires598
      • 13.17 La régénération des pattes chez les amphibiens dépend de la présence de nerfs602
      • 13.18 Le blastème donne naissance à des structures ayant des valeurs de position distales par rapport au site d'amputation603
      • 13.19 L'acide rétinoïque peut modifier les valeurs de position proximo-distales dans des membres en cours de régénération605
      • 13.20 Les mammifères peuvent régénérer leurs extrémités digitales607
      • 13.21 Les pattes des insectes intercalent des valeurs de position à la fois par des croissances proximo-distale et circonférentielle607
      • 13.22 La régénération du coeur du poisson-zèbre implique la reprise des divisions des cardiomyocytes609
      • ¤ Encart 13F Pourquoi ne peut-on pas régénérer nos membres ?611
      • Résumé612
      • Vieillissement et sénescence613
      • 13.23 Les gènes peuvent modifier le déroulement de la sénescence613
      • 13.24 La sénescence cellulaire bloque la prolifération cellulaire615
      • Résumé616
      • Résumé du Chapitre 13617
      • Chapitre 14 Évolution et développement623
      • ¤ Encart 14A Les pinsons de Darwin625
      • L'évolution du développement626
      • 14.1 Des études génomiques nous éclairent sur l'origine des métazoaires626
      • 14.2 Les animaux ont évolué à partir d'ancêtres unicellulaires628
      • Résumé629
      • Les modifications évolutives du développement embryonnaire629
      • 14.3 Les complexes de gènes Hox ont évolué par duplications géniques630
      • 14.4 Des modifications des gènes Hox et de leurs gènes cibles contribuent à la diversification des plans d'organisation des bilatériens632
      • 14.5 Des différences d'expression des gènes Hox déterminent des variations du positionnement et du type d'appendices chez les arthropodes634
      • 14.6 Le plan d'organisation de base des arthropodes et des vertébrés est similaire, mais l'axe dorso-ventral est inversé638
      • 14.7 Les membres des tétrapodes ont évolué à partir des nageoires639
      • 14.8 Les membres ont évolué pour exercer différentes fonctions spécialisées641
      • ¤ Encart 14B L'évolution des ailes des oiseaux642
      • ¤ Encart 14C La réduction des structures pelviennes chez les épinoches est due à des mutations dans la région régulatrice d'un gène644
      • 14.9 L'évolution adaptative au sein d'une même espèce permet d'étudier les modifications du développement à la base des changements évolutifs 645
      • 14.10 L'évolution de différents types d'yeux dans différents groupes d'animaux est un exemple d'évolution parallèle utilisant un circuit génétique ancien646
      • 14.11 Des structures embryonnaires ont acquis de nouvelles fonctions au cours de l'évolution647
      • Résumé649
      • Changements dans la durée, la vitesse et la chronologie des processus de développement649
      • 14.12 Des modifications de la croissance peuvent modifier le plan d'organisation du corps649
      • 14.13 L'évolution peut être à des changements de vitesse, de durée et de chronologie des processus de développement651
      • 14.14 L'évolution des cycles vitaux a des implications pour le développement653
      • Résumé653
      • Résumé du Chapitre 14654
      • Glossaire 659
      • Index 681

  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 576.8 BIO

    Niveau 2 - Sciences