par Rebecchi, Marie
Éditions Mimésis
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Disponible - 791.6 EISE 2
Niveau 3 - Cinéma
Résumé
Entre novembre 1929 et mai 1930, Eisenstein, Bataille et Bunuel se rencontrent à plusieurs reprises au cours du séjour parisien d'Eisenstein. Le cinéaste russe prend contact avec les surréalistes et le groupe qui gravite autour de la revue Documents. De tels contacts influent sur l'évolution de son art vers l'anthropologie tout comme sur le réalisme visionnaire du travail de Bunuel. ©Electre 2018
- Éditeur(s)
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Date
- DL 2018
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Notes
- Index
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Langues
- Français
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Description matérielle
- 1 vol. (250 p.) : ill. en coul. ; 21 cm
- Collections
- Sujet(s)
- Epoque
- Lieu
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ISBN
- 978-88-6976-108-9
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Indice
- 791.6 EISE Eisenstein (Serguei M)
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Quatrième de couverture
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« J'ai lu les manifestes surréalistes ; la plus grande spontanéité et l'expression directe sont reconnues comme la meilleure chose dans le genre surréaliste. Nous faisons la même chose mais dans des directions diverses. »
Sergueï Eisenstein, 1930Paris 1929. Eisenstein, Bataille, Buñuel : voilà l'histoire d'une série de rencontres et d'événements qui ont lieu entre novembre 1929 et mai 1930, soit lors du séjour de Sergueï Eisenstein à Paris. Une période qui voit s'entrecroiser les activités intellectuelles de celui-ci avec celles de Georges Bataille, Luis Buñuel, James Joyce, Jean Painlevé et du groupe d'ethnologues collaborant à la revue Documents. Le passage d'Eisenstein à Paris et ses contacts avec le milieu surréaliste « hétérodoxe » s'avèrent décisifs pour comprendre la vision onirique et cruelle qui marquera le tournage de son film, non monté, Que viva Mexico ! (1931-1932) ainsi que le « réalisme visionnaire » par lequel Luis Buñuel décrira la misère de l'Espagne rurale dans son documentaire Las Hurdes - Tierra sin Pan (1933).
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Origine de la notice:
- FR-751131015 ;
- Electre
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Disponible - 791.6 EISE 2
Niveau 3 - Cinéma
