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Livre

Les libéralités à caractère collectif

Résumé

Une étude sur le régime des libéralités à caractère collectif qui s'intéresse tout d'abord à définir précisément le champ d'action de cet acte juridique puis ses conditions de validité ainsi que son cadre d'exécution. ©Electre 2019


  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2019
  • Notes
    • Bibliogr. Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (XIII-501 p.) ; 24 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Lieu
  • ISBN
    • 978-2-85623-336-8
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Les libéralités à caractère collectif

      Les libéralités à caractère collectif sont celles destinées à un groupe de personnes ou à la collectivité tout entière. Elles sont au service d'une oeuvre. Pour atteindre leur but, elles sont adressées à une personne morale - de droit privé comme de droit public - dont la mission est de défendre cette oeuvre. L'étude de ces libéralités révèle le désordre qui règne au sein des règles qui les gouvernent : d'un côté, une réglementation spéciale, éparse, lacunaire et obscure ; de l'autre, un droit commun des libéralités largement inadapté. Avant de repenser son régime, la notion même de libéralités à caractère collectif est clarifiée. Une nouvelle summa divisio est proposée : avec sa libéralité, le bienfaiteur peut créer une oeuvre nouvelle - la fondation ; il peut soutenir une oeuvre existante - la libéralité-participation. Au-delà de la diversité des mécanismes, ces libéralités sont doublement singulières : elles sont affectées et intéressées ; elles reposent sur des techniques libérales plurielles. Les contours de la notion précisés, le régime des libéralités à caractère collectif est refondé fort de leurs spécificités, qu'il s'agisse des règles relatives à leur formation (capacité, spécialité et forme) ou de celles relatives à leur exécution (respect de la réserve héréditaire, adaptation des affectations et sanction). Une proposition de loi conclut ainsi la thèse. Elle tient compte de la triple dimension du sujet : théorique, pratique et politique.


  • Tables des matières
      • Les libéralités à caractère collectif

      • Julien Boisson

      • Defrénois

      • Lextenso

      • RemerciementsIII
      • Liste des principales abréviationsV
      • Introduction1
      • Première partie
        La notion de libéralité à caractère collectif
      • Titre liminaire : Réflexions sur la notion de libéralité23
      • Chapitre I. L'existence de libéralités intéressées25
      • Section I. La présence d'une contrepartie26
      • § 1. La compatibilité de l'existence d'une contrepartie avec l'élément matériel 27
      • § 2. Les conséquences de l'existence d'une contrepartie 31
      • A. La stipulation d'une charge32
      • B. La recherche d'un avantage33
      • 1. L'avantage matériel33
      • 2. L'avantage moral34
      • Section II. La recherche d'intérêts36
      • § 1. La compatibilité de la recherche d'intérêts avec l'élément moral 37
      • § 2. Les conséquences de la recherche d'intérêts 38
      • A. La redéfinition de la cause39
      • B. L'extension de la qualité de disposant aux personnes morales42
      • Chapitre II. L'existence de libéralités publiques45
      • Section I. Approche dogmatique : l'interdiction46
      • § 1. L'affirmation de la prohibition 46
      • A. L'inaliénabilité du domaine public46
      • B. L'encadrement de l'aliénabilité du domaine privé49
      • § 2. Le fondement de la prohibition 51
      • Section II. Approche empirique : l'autorisation53
      • § 1. Les manifestations 53
      • A. Les cessions à vil prix54
      • B. Les subventions publiques55
      • 1. Un financement dans l'intérêt général55
      • 2. Un financement sans contrepartie58
      • § 2. La reconnaissance 60
      • Chapitre III. L'existence de techniques libérales originales65
      • Section I. La reconnaissance des libéralités par engagement unilatéral de volonté66
      • § 1. L'engagement unilatéral de volonté, source d'obligations 66
      • A. Une admission récente66
      • 1. La réfutation des objections67
      • 2. La consécration69
      • a) En droit social 70
      • b) En droit commun 71
      • B. Une admission limitée74
      • § 2. L'engagement unilatéral de volonté, support de libéralités 77
      • Section II. La reconnaissance limitée des fiducies aux fins de libéralités81
      • Titre I : La diversité des Libéralités à caractère collectif85
      • Chapitre I. La fondation : la création d'une oeuvre nouvelle89
      • Section I. Clarification de la notion de fondation91
      • § 1. La fondation, une notion polysémique 91
      • A. Un acte juridique91
      • B. Une personne morale92
      • C. Une masse de biens94
      • § 2. La fondation, une institution complexe 95
      • A. Des fondations sans donation95
      • B. Des fondations temporaires97
      • Section II. Étude des différentes variétés d'actes de fondation99
      • § 1. La fondation par création d'une personne morale : un oeuvre personnifiée 100
      • A. La fondation entre vifs100
      • B. La fondation pour cause de mort103
      • 1. L'état du droit sous l'empire du Code civil103
      • 2. L'état du droit positif105
      • § 2. La fondation avec recours à une personne morale préexistante : une oeuvre non personnifiée 108
      • § 3. La fondation abritée : une catégorie intermédiaire 109
      • A. Une charge de créer une oeuvre non personnifiée111
      • B. Une charge de créer un groupement de biens non personnifié112
      • 1. Un but conçu par la pratique112
      • 2. Un but consacré par le législateur113
      • Chapitre II. La libéralité-participation : le soutien à une oeuvre préexistante115
      • Section I. La qualification libérale non contestée117
      • § 1. Les libéralités sollicitées 117
      • A. Des sollicitations variées117
      • 1. L'appel à la générosité du public ou souscription publique118
      • a) L'appel à la générosité du public traditionnel 118
      • b) Le financement participatif 120
      • 2. La quête publique122
      • B. Une technique uniforme : le recours aux dons manuels123
      • § 2. Les libéralités spontanées 127
      • A. La donation d'usufruit temporaire127
      • B. Les libéralités adressées aux pauvres132
      • C. L'engagement sur un programme d'action pluriannuel133
      • D. Les donations innovantes133
      • Section II. La qualification libérale contestée134
      • § 1. Les vraies libéralités 135
      • A. L'assurance-vie aux fins de placement135
      • B. Les apports aux associations138
      • 1. Présentation139
      • a) Une simple faculté 139
      • b) Une reprise incertaine 140
      • 2. La réfutation des obstacles à la qualification de libéralité143
      • a) Apports et contreparties 143
      • i. La poursuite de la satisfaction de la réalisation de l'oeuvre 144
      • ii. La stipulation de droits politiques 144
      • b) Apports et reprise 146
      • i. Présentation du principe de l'irrévocabilité des donations 147
      • ii. Application à la reprise d'apport 150
      • C. Le parrainage culturel153
      • 1. Présentation153
      • 2. La réfutation des obstacles à la qualification de libéralité155
      • a) La recherche de retombées économiques 156
      • b) L'obligation de promouvoir l'image 158
      • D. Les subventions159
      • § 2. Les fausses libéralités 161
      • A. Les dons des établissements d'utilité publique162
      • B. La dévolution de l'actif net du groupement dissous163
      • Titre II : Les traits distinctifs de libéralités à caractère collectif167
      • Chapitre I. Des caractéristiques communes169
      • Section I. Des libéralités affectées170
      • § 1. Présentation des différentes affectations 170
      • § 2. Illustration des différentes affectations 172
      • A. Les libéralités doublement affectées172
      • 1. les fondations personnifiées172
      • a) La fondation perpétuelle 172
      • b) La fondation temporaire 173
      • 2. Les engagements sur un programme d'action pluriannuel173
      • B. Les libéralités affectées au fonctionnement174
      • C. Les libéralités affectées à la réalisation de l'oeuvre175
      • 1. Les libéralités grevées d'une affectation générale175
      • 2. Les libéralités grevées d'une affectation spéciale176
      • a) Les libéralités sollicitées 176
      • b) Le parrainage culturel 177
      • Section II. Des libéralités intéressées180
      • § 1. Des libéralités grevées de charges 180
      • A. Présentation des différentes charges180
      • 1. Le caractère automatique des charges d'intérêt collectif181
      • a) Dimension ratione materiae181
      • b) Dimension ratione temporis183
      • 2. Le caractère ponctuel des charges d'intérêt privé185
      • a) Les charges stipulées dans l'intérêt du disposant 185
      • b) Les charges stipulées dans l'intérêt d'un tiers 186
      • B. Conséquences sur la nature intéressée de la libéralité187
      • § 2. Des libéralités avantageuses 189
      • A. Les exonérations fiscales189
      • 1. Les libéralités concernées189
      • 2. Les économies réalisées192
      • B. Les contournements de l'impôt193
      • 1. La donation d'usufruit temporaire193
      • 2. La charge de délivrer un legs net de frais et droits196
      • Chapitre II. Des techniques plurielles199
      • Section I. La réception de l'engagement unilatéral de volonté200
      • § 1. La fondation personnifiée entre vifs 200
      • A. Les limites de la qualification actuelle200
      • B. Le recours à l'engagement unilatéral de volonté202
      • § 2. L'engagement sur un programme d'action pluriannuel 205
      • § 3. La promesse de souscription 206
      • Section II. La réception de la fiducie aux fins de libéralités208
      • § 1. Le rejet d'une qualification unitaire 208
      • A. Présentation de la théorie208
      • B. Critiques de la théorie211
      • § 2. L'admission d'une qualification duale 213
      • A. La libéralité par l'entremise d'un tiers213
      • 1. La fondation testamentaire indirecte214
      • 2. La libéralité intermédiée216
      • 3. L'assurance-vie aux fins de placement216
      • 4. La souscription au bénéfice d'un tiers216
      • B. La libéralité adressée à un organisme redistributeur218
      • 1. La distinction entre les groupements opérateurs et redistributeurs218
      • 2. Les conséquences attachées à la distinction220
      • a) Une application distributive des qualifications 220
      • b) La reconnaissance d'un régime propre aux organismes redistributeurs 221
      • i. Une faculté d'élire le bénéficiaire final 221
      • ii. Une présomption d'onérosité 222
      • Conclusion de la première partie225
      • Seconde partie
        Le régime des libéralités à caractère collectif
      • Titre I : Les conditions de validité231
      • Chapitre I. La capacité de recevoir233
      • Section I. Étude des règles de capacité234
      • § 1. La capacité de jouissance 235
      • A. La capacité octroyée par la loi235
      • 1. La « petite capacité juridique »235
      • a) La capacité limitée de recevoir des libéralités privées 236
      • i. Les associations simplement déclarées 236
      • ii. Les partis politiques 236
      • iii. Les groupements s'occupant de personnes vulnérables 237
      • iv. Les fondations d'entreprise 238
      • b) Les incapacités de recevoir des libéralités publiques 239
      • i. Les groupements religieux 239
      • ii. Les fonds de dotation 241
      • 2. La « grande capacité juridique »242
      • a) Les associations « labellisées » 242
      • i. Les associations reconnues d'utilité publique 243
      • ii. Les associations assimilées aux associations reconnues d'utilité publique 245
      • b) Les fondations 246
      • i. Les fondations reconnues d'utilité publique 246
      • ii. Les fondations spéciales 248
      • c) Les autres groupements 249
      • B. La capacité refusée par la loi : les fondations abritées250
      • C. La capacité dans le silence de la loi252
      • 1. Les groupements internes252
      • 2. Les groupements étrangers255
      • a) La capacité de recevoir des libéralités 255
      • i. Les groupements n'exerçant pas d'activité en France 255
      • ii. Les groupements exerçant une activité en France 256
      • b) La capacité de recevoir une fondation testamentaire indirecte 257
      • § 2. La capacité d'exercice 259
      • A. La capacité d'exercice reconnue : une acceptation libre261
      • 1. Les groupements concernés261
      • 2. Les actes concernés263
      • a) Les libéralités contestées 263
      • b) Les libéralités modiques et manuelles 264
      • B. La capacité d'exercice refusée : une acceptation soumise à autorisation264
      • 1. Les groupements concernés265
      • 2. Les modalités de la procédure d'autorisation préalable267
      • 3. Les objectifs de la procédure d'autorisation préalable268
      • a) La diversité des objectifs 268
      • b) L'arbitrage par la réserve administrative 270
      • C. Les situations intermédiaires : une acceptation libre sous réserve de non-opposition272
      • 1. Les groupements concernés272
      • 2. Les modalités de la procédure et non-opposition273
      • 3. Les objectifs de la procédure de non-opposition274
      • Section II. Critiques des règles de capacité277
      • § 1. Philosophie des règles de capacité 277
      • A. La méfiance277
      • B. La prudence279
      • C. La bienveillance279
      • 1. La libéralisation des règles279
      • 2. La modification des intérêts à protéger280
      • § 2. Propositions 282
      • A. Propositions principales282
      • 1. L'élargissement de la capacité de jouissance283
      • a) L'élargissement à tous les groupements : une réforme maximale 283
      • b) L'élargissement à certains actes : une réforme minimale 284
      • 2. Le renforcement de la procédure de non-opposition284
      • 3. La reconnaissance de la personnalité juridique aux fondations abritées286
      • B. Propositions accessoires287
      • 1. L'abandon du rôle quasi-réglementaire du Conseil d'État287
      • 2. L'encadrement de la constitution des fondations d'entreprise et des fonds de dotation289
      • Chapitre II. La spécialité291
      • Section I. Présentation du principe de spécialité292
      • § 1. Les contours du principe 292
      • § 2. La sanction du principe 294
      • Section II. Les conséquences du principe296
      • § 1. La spécialité du bénéficiaire 296
      • A. La sanction de l'inaptitude297
      • B. Le contournement de l'inaptitude298
      • 1. La substitution d'une personne apte298
      • a) La substitution administrative 298
      • b) La substitution volontaire 299
      • 2. L'interprétation large de l'objet du bénéficiaire300
      • § 2. La spécialité du disposant 301
      • Chapitre III. La forme305
      • Section I. La réception du formalisme traditionnel305
      • § 1. Le principe : des libéralités solennelles 306
      • A. Un formalisme ad validitatem306
      • B. Un formalisme causé307
      • § 2. L'exception : des libéralités non solennelles 309
      • A. Les justifications de l'exclusion du formalisme ad validitatem309
      • B. Les hypothèses de libéralités non solennelles310
      • 1. Les dons manuels310
      • 2. Les donations déguisées310
      • 3. Les donations indirectes311
      • Section II. L'adaptation du formalisme traditionnel312
      • § 1. Les libéralités consenties par les personnes morales 312
      • § 2. Les libéralités consenties par les personnes physiques 313
      • A. Les actes de fonder entre vifs314
      • B. Les dons manuels consécutifs à un avis de prélèvement automatique315
      • C. Les souscriptions publiques316
      • Titre II : L'exécution319
      • Chapitre I. Le respect de la réserve héritiers323
      • Section I. La place de la réserve héréditaire324
      • § 1. Dans l'ordre interne 325
      • § 2. Dans l'ordre international 328
      • Section II. Les difficultés attachées à la réserve héréditaire330
      • § 1. Des difficultés sérieuses 330
      • A. Le risque d'une action en réduction330
      • B. Les incertitudes relatives aux modalités de réduction des libéralités à caractère collectif331
      • 1. La détermination de la valeur de la libéralité332
      • a) La valeur de la libéralité avec charge 332
      • i. Le calcul de la valeur brute de la libéralité 332
      • ii. La déduction des charges et dettes 333
      • b) La valeur de la fiducie aux fins de libéralités 334
      • 2. La date d'imputation de la libéralité336
      • a) L'imputation des libéralités non solennelles 336
      • b) L'imputation des fiducies aux fins de libéralités 338
      • 3. La détermination du débiteur de l'indemnité de réduction339
      • § 2. Des difficultés relatives 340
      • A. Des règles positives propres à diminuer la menace : la renonciation anticipée à l'action en réduction341
      • B. Des règles prospectives propres à diminuer la menace : l'intégration de l'avantage fiscal342
      • Chapitre II. L'adaptation des affectations345
      • Section I. L'interprétation des affectations impossibles dès l'origine346
      • § 1. L'interprétation de la désignation obscure 347
      • A. L'interprétation judiciaire347
      • B. L'interprétation amiable350
      • § 2. L'interprétation de la désignation irrégulière ou caduque 352
      • A. La désignation d'un groupement de second rang352
      • 1. La substitution d'un bénéficiaire capable352
      • 2. La substitution d'un bénéficiaire apte354
      • 3. La substitution d'un bénéficiaire existant354
      • a) L'interprétation au secours du groupement à créer 354
      • b) L'interprétation au secours du groupement ayant cessé d'exister 356
      • B. La désignation d'un successeur357
      • 1. Le rejet de l'obligation réelle357
      • a) Présentation de la théorie 358
      • b) Critiques de la théorie 358
      • i. Les contours de l'obligation propter rem 358
      • ii. Les insuffisances de l'obligation propter rem 360
      • 2. L'admission de l'obligation personnelle substituée362
      • a) La découverte d'une substitution vulgaire 362
      • b) La découverte d'une clause pénale 363
      • Section II. La révision des affectations difficiles du fait d'un changement de circonstances364
      • § 1. La révision des charges au sein de la loi du 4 juillet 1984 365
      • A. Le contexte de la loi du 4 juillet 1984365
      • B. Les solutions retenues par la loi du 4 juillet 1984367
      • 1. La révision de droit commun : les articles 900-2 et suivants du Code civil367
      • a) Les conditions d'ouverture de l'action en révision 368
      • i. Les conditions de fond 368
      • ii. Les conditions de procédure 370
      • b) Les effets de l'action en révision 371
      • 2. La révision de droit spécial : la révision amiable préalable373
      • § 2. La révision des charges en dehors de la loi du 4 juillet 1984 375
      • A. La révision institutionnelle375
      • 1. Le régime de révision extraordinaire du juge judiciaire376
      • 2. L'absence de pouvoir de révision extraordinaire de l'autorité administrative377
      • B. La révision amiable379
      • 1. L'argument contre : la ratio legis du régime spécial380
      • 2. Les arguments favorables380
      • a) La jurisprudence judiciaire 380
      • b) La ratio legis du régime de droit commun 382
      • C. La révision judiciaire pour imprévision du nouvel article 1195 du Code civil383
      • Chapitre III. Les sanctions de l'inexécution387
      • Section I. La diversité des sanctions388
      • § 1. La révocation 388
      • A. Le régime de droit commun : la révocation judiciaire389
      • 1. Les conditions390
      • a) Une inexécution grave 390
      • b) Une décision judiciaire 392
      • 1. Le principe 392
      • ii. Les tempéraments 393
      • 2. Les effets394
      • B. Les régimes spéciaux395
      • 1. L'ancienne révocation administrative395
      • 2. La reprise en cas de dissolution de certains groupements397
      • a) La reprise des apports aux associations 397
      • b) La reprise des biens donnés et légués à certains organismes religieux 399
      • § 2. L'exécution forcée 399
      • A. Les contours de l'action400
      • B. Les limites de l'action401
      • § 3. La responsabilité civile 403
      • Section II. Le renforcement des sanctions406
      • § 1. Limiter les effets de la révocation 406
      • § 2. Augmenter les titulaires des actions 407
      • § 3. Découvrir une substitution vulgaire 409
      • Conclusion de la seconde partie411
      • Conclusion générale413
      • Annexes419
      • Bibliographie443
      • Index alphabétique479
      • Index de jurisprudence487

  • Origine de la notice:
    • FR-751131015 ;
    • Electre
  • Disponible - 345.4 BOI

    Niveau 3 - Droit