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Biologie moléculaire de la cellule

Résumé

Les mécanismes permettant la formation, le développement et le fonctionnement des cellules sont présentés grâce à des exemples issus d'expériences menées sur des cellules isolées. ©Electre 2022


  • Autre(s) auteur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2022
  • Notes
    • Trad. de : "Molecular cell biology"
  • Langues
    • Français
    • , traduit de : Anglais
  • Description matérielle
    • 1 vol. (XL-1184-I36 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 28 cm
  • Titre(s) en relation
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-8073-3037-5
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Biologie moléculaire de la cellule

      La référence en biologie cellulaire et moléculaire

      Biologie moléculaire de la cellule est un savant dosage entre l'état de l'art de la biologie et la transmission du savoir à des étudiants qui découvrent ce domaine ou en recherchent un approfondissement.

      Il a pour but de permettre la compréhension de la biologie cellulaire par le biais de l'expérience, en faisant participer les étudiants aux percées passionnantes qui jalonnent l'histoire de ces découvertes. Le contenu des chapitres est clair, abondamment illustré et des rubriques d'aide à l'apprentissage ponctuent le texte : mots-clés, exercices, résumés et révisions.

      Des avancées médicales et technologiques

      De nombreuses avancées dans le domaine de la biologie cellulaire et moléculaire ont conduit à de nouveaux traitements contre le cancer et d'autres maladies. Les nouvelles technologies sont décrites en détail pour mettre l'accent sur les retombées médicales. Des exemples de ces progrès médicaux et technologiques sont présentés tout au long des chapitres afin de donner aux étudiants une idée des applications cliniques.

      Un contenu revu et corrigé

      Cette nouvelle édition française s'est enrichie :

      • de nouvelles découvertes : identification de nouvelles cellules, des gènes qui protègent des maladies, épissage anormal de l'ARN et maladies ;
      • de nouvelles méthodologies : les méthodes iTRAQ et TMT pour l'analyse simultanée et multiplex d'échantillons, la résolution actualisée de la cryoEM ;
      • d'un nouveau chapitre consacré à l'environnement cellulaire.

      Ce chapitre traite des nombreuses voies de signalisation importantes par lesquelles les cellules répondent aux changements de nutriments dans leur environnement, glucose, acides aminés, cholestérol et oxygène, ainsi qu'aux changements de température et au contact avec la matrice extracellulaire.

      • Des encadrés reprenant les concepts clés
      • Des questions d'autoévaluation
      • Des applications médicales
      • Le glossaire en ligne

  • Tables des matières
      • Avant-proposix
      • Partie I Fondements chimiques et moléculaires
      • 1 Évolution : molécules, gènes, cellules et organismes 1
      • 1.1 Les molécules de la vie 6
      • Les protéines donnent leur structure aux cellules et effectuent la plupart des tâches cellulaires7
      • Les acides nucléiques transportent l'information codée pour fabriquer des protéines aux moments et aux endroits adéquats8
      • Les phospholipides sont les éléments de construction conservés de toutes les membranes cellulaires11
      • Un contrôle qualité de l'ensemble des macromolécules cellulaires est essentiel à la vie12
      • 1.2 La structure et la fonction des cellules procaryotes 12
      • Les procaryotes appartiennent à deux règnes : les archaebactéries et les eubactéries14
      • De nombreuses bactéries, y compris Escherichia coli, sont largement utilisées pour la recherche en biologie14
      • 1.3 La structure et la fonction des cellules eucaryotes 14
      • Le cytosquelette remplit de nombreuses fonctions importantes15
      • Le noyau contient le génome d'ADN, les dispositifs nécessaires à la synthèse de l'ADN et de l'ARN ainsi qu'une matrice fibreuse15
      • Le réticulum endoplasmique est le site de synthèse de la plupart des protéines membranaires et sécrétées ainsi que de nombreux lipides17
      • Le complexe de Golgi assure le tri des protéines sécrétées et de nombreuses protéines membranaires jusqu'à leur destination finale dans la cellule18
      • Les endosomes transportent les protéines et les particules de l'extérieur vers l'intérieur des cellules18
      • Les lysosomes sont des centres de recyclage cellulaire19
      • Les vacuoles des plantes stockent de l'eau, des ions et de petites molécules de nutriments tels que des sucres et des acides aminés19
      • Les peroxysomes et les glyoxysomes des plantes métabolisent les acides gras et d'autres petites molécules sans produire d'ATP à partir d'ADP et de Pi19
      • Les mitochondries sont les principaux sites de production de l'ATP dans les cellules aérobies20
      • Les chloroplastes contiennent des compartiments internes dans lesquels se déroule la photosynthèse21
      • De nombreuses structures semblables à des organites ne sont pas délimitées par une membrane21
      • Toutes les cellules eucaryotes utilisent un cycle similaire pour réguler leur division21
      • Les organismes eucaryotes unicellulaires fréquemment utilisés pour la recherche en biologie cellulaire22
      • Les levures sont utilisées pour étudier les aspects fondamentaux de la structure et de la fonction des cellules eucaryotes22
      • Les mutations chez la levure ont permis d'identifier des protéines essentielles du cycle cellulaire24
      • Des études sur l'algue Chlamydomonas reinhardtii ont permis de développer une technique puissante pour étudier la fonction cérébrale25
      • Le parasite responsable du paludisme possède de nouveaux organites qui lui permettent de suivre un cycle biologique remarquable25
      • 1.5 Structure, fonction, évolution et différenciation des métazoaires 27
      • La pluricellularité exige des adhérences cellule-cellule et cellule-matrice27
      • L'épithélium est apparu tôt au cours de l'évolution27
      • Les cellules sont organisées en tissus et les tissus, en organes27
      • La génomique a révélé des aspects importants de l'évolution des métazoaires et de la fonction cellulaire28
      • Le développement utilise un ensemble conservé de facteurs transcriptionnels maîtres et implique des modifications épigénétiques de l'ADN et de ses protéines histones associées29
      • 1.6 Les organismes métazoaires largement utilisés pour la recherche en biologie cellulaire 31
      • Drosophila melanogaster et Caenorhabditis elegans sont utilisés pour identifier les gènes qui régulent le développement animal31
      • Les planaires sont utilisées pour étudier les cellules souches et la régénération des tissus32
      • Les études menées sur les poissons, les souris et d'autres organismes vertébrés contribuent à l'étude des maladies et du développement humain32
      • Les maladies génétiques humaines révèlent des aspects importants de la fonction cellulaire32
      • Des expériences de séquençage unicellulaire sans biais permettent d'identifier de nombreux types cellulaires nouveaux33
      • Les chapitres suivants décriront de nombreuses techniques expérimentales et fourniront bien davantage de données expérimentales qui expliquent l'origine de nos connaissances sur la structure et la fonction cellulaires33
      • 2 Les fondements chimiques 34
      • 2.1 Les liaisons covalentes et les interactions non covalentes 36
      • La structure électronique d'un atome détermine le nombre et la géométrie des liaisons covalentes auxquelles il peut participer36
      • Les liaisons covalentes ne sont pas toutes équivalentes : les électrons peuvent être partagés de manière égale ou inégale à l'intérieur des liaisons covalentes37
      • Les liaisons covalentes sont bien plus solides et bien plus stables que les interactions non covalentes39
      • Les liaisons ioniques sont des interactions non covalentes formées par l'attraction électrostatique entre des ions de charges opposées39
      • Les liaisons hydrogène sont des interactions non covalentes qui déterminent les propriétés de l'eau et la solubilité des molécules non chargées dans l'eau40
      • Les interactions de van der Waals sont des interactions attractives faibles créées par des dipôles transitoires41
      • L'effet hydrophobe provoque l'adhérence des molécules non polaires entre elles42
      • La complémentarité moléculaire due aux interactions covalentes conduit à un ajustement de type clé- serrure entre les biomolécules43
      • 2.2 Les éléments chimiques de construction des cellules 44
      • Les protéines sont constituées d'acides aminés qui diffèrent uniquement par leur chaîne latérale45
      • Cinq nucléotides différents sont utilisés pour construire les acides nucléiques48
      • Les monosaccharides s'associent covalemment en polysaccharides linéaires ou ramifiés49
      • Les phospholipides s'associent par des liaisons non covalentes pour former la structure élémentaire en bicouche des biomembranes51
      • 2.3 Les réactions chimiques et l'équilibre chimique 54
      • Une réaction chimique est en équilibre lorsque la vitesse de la réaction directe est égale à la vitesse de la réaction inverse55
      • La constante d'équilibre reflète l'avancée d'une réaction chimique55
      • Les réactions chimiques sont dans un état stationnaire dans les cellules55
      • Les constantes de dissociation des réactions de liaison reflètent l'affinité des molécules en interaction56
      • Les liquides biologiques possèdent des valeurs caractéristiques de pH57
      • Les ions hydrogène sont libérés par des acides et captés par des bases58
      • Les tampons maintiennent le pH des liquides intracellulaires et extracellulaires58
      • 2.4 L'énergétique biochimique 60
      • Plusieurs formes d'énergie sont importantes dans les systèmes biologiques60
      • Les cellules sont capables de transformer un type d'énergie en un autre61
      • Le changement d'énergie libre détermine si une réaction chimique se produira spontanément61
      • Le AG°' d'une réaction peut être calculée à partir de son Keq63
      • La vitesse d'une réaction dépend de l'énergie d'activation nécessaire pour que les réactifs atteignent un état de transition63
      • La vie dépend du couplage de réactions chimiques défavorables et de réactions chimiques énergétiquement favorables64
      • L'hydrolyse d'ATP libère une énergie libre importante et alimente de nombreux processus cellulaires64
      • De l'ATP est produit pendant la photosynthèse et la respiration65
      • Le NAD+ et le FAD assurent le couplage de nombreuses réactions biologiques d'oxydation et de réduction66
      • 3 La structure et la fonction des proteines 70
      • 3.1 La structure hiérarchique des protéines 72
      • La structure primaire d'une protéine est sa séquence linéaire d'acides aminés72
      • Les structures secondaires sont les éléments fondamentaux de l'architecture des protéines74
      • Les motifs structuraux sont des combinaisons régulières des structures secondaires76
      • La structure tertiaire est le reploiement global d'une chaîne polypeptidique77
      • Les différentes manières de décrire la conformation des protéines fournissent des types distincts d'informations78
      • Les domaines sont des modules de structure tertiaire79
      • Comparer les séquences et les structures des protéines fournit des informations sur les fonctions des protéines et l'évolution80
      • Il existe quatre grandes catégories structurales de protéines82
      • De multiples polypeptides s'assemblent en structures quaternaires, complexes supramoléculaires et condensats biomoléculaires83
      • 3.2 Le reploiement des protéines 87
      • Les liaisons peptidiques planes limitent les formes suivant lesquelles les protéines peuvent se replier87
      • Le reploiement des protéines est catalysé par des proline isomérases88
      • La séquence d'acides aminés d'une protéine détermine la façon dont elle se replie88
      • Le reploiement des protéines in vivo est facilité par des chaperons89
      • Des protéines anormalement repliées peuvent former des plaques amyloïdes impliquées dans des maladies94
      • 3.3 La liaison des protéines et la catalyse enzymatique 95
      • La fixation spécifique des ligands sous-tend les fonctions de la plupart des protéines95
      • Les enzymes sont des catalyseurs hautement spécifiques et efficaces97
      • Le site actif d'une enzyme fixe des substrats et effectue la catalyse97
      • Les protéases à sérine démontrent comment fonctionne le site actif d'une enzyme99
      • Des enzymes appartenant à la même voie sont souvent associées physiquement les unes aux autres103
      • 3.4 La régulation de la fonction des protéines 104
      • La régulation de la synthèse et de la dégradation des protéines est une propriété fondamentale des cellules104
      • Le protéasome est une machine moléculaire utilisée pour dégrader les protéines104
      • L'ubiquitine marque les protéines cytosoliques pour qu'elles soient dégradées dans les protéasomes106
      • La liaison non covalente permet la régulation allostérique ou coopérative des protéines107
      • La fixation non covalente du calcium et celle du GTP sont largement utilisées comme commutateurs allostériques pour contrôler l'activité des protéines108
      • La modification covalente des protéines permet de réguler leurs activités110
      • La phosphorylation et la déphosphorylation régulent l'activité protéique de manière covalente110
      • La structure et la fonction de la protéine kinase A est typique de nombreuses kinases110
      • L'activité des protéines kinases est souvent régulée par la phosphorylation de la kinase111
      • L'ubiquitination et la désubiquitination régulent l'activité protéique de manière covalente113
      • Le clivage protéolytique active ou inactive de manière irréversible certaines protéines114
      • La régulation d'ordre supérieur comprend le contrôle de la position et de la concentration des protéines115
      • 3.5 Purifier, détecter et caractériser les protéines 116
      • La centrifugation permet de séparer des particules de masse ou de densité différente116
      • L'électrophorèse sépare les molécules en fonction de leur rapport charge : masse117
      • La chromatographie en phase liquide sépare les protéines en fonction de leur masse, leur charge ou leur affinité de liaison119
      • Des tests utilisant des enzymes et des anticorps hautement spécifiques permettent de détecter des protéines individuelles121
      • Les radio-isotopes sont des outils indispensables pour détecter des molécules biologiques124
      • La spectrométrie de masse permet de déterminer la masse et la séquence des protéines126
      • La structure primaire d'une protéine peut être déterminée à l'aide de techniques chimiques et à partir de séquences de gènes128
      • La conformation des protéines est déterminée grâce à des techniques physiques sophistiquées129
      • 3.6 La protéomique 132
      • La protéomique est l'étude de toutes les protéines ou d'un grand sous-groupe de protéines dans un système biologique132
      • Les techniques avancées de spectrométrie de masse sont essentielles pour l'analyse protéomique133
      • 4 Cultiver et visualiser les cellules 138
      • 4.1 Faire pousser et étudier des cellules en culture 139
      • La culture des cellules animales nécessite un milieu riche en nutriments et des surfaces solides particulières139
      • Les cultures cellulaires primaires et les souches cellulaires ont une durée de vie finie140
      • Les cellules transformées peuvent croître indéfiniment en culture140
      • La cytométrie en flux permet de séparer des types cellulaires différents141
      • La croissance des cellules dans des cultures bidimensionnelles et tridimensionnelles imite l'environnement in vivo142
      • Les cellules souches peuvent se différencier en culture pour former des organoïdes143
      • Les hybridomes produisent des anticorps monoclonaux abondants144
      • Une grande variété de processus biologiques cellulaires peut être étudiée grâce à des cellules en culture146
      • Les médicaments sont couramment utilisés pour la recherche en biologie cellulaire146
      • 4.2 La microscopie photonique : explorer la structure des cellules et visualiser les protéines dans les cellules 148
      • La résolution du microscope photonique traditionnel est voisine de 0,2 ?m150
      • La microscopie à contraste de phase et la microscopie à contraste interférentiel différentiel permettent d'observer des cellules vivantes non marquées150
      • Obtenir l'image de détails subcellulaires nécessite souvent la fixation, la coupe et le marquage des échantillons151
      • La microscopie à fluorescence permet de localiser et de quantifier des molécules spécifiques dans des cellules vivantes152
      • Les concentrations ioniques intracellulaires peuvent être déterminées grâce à des colorants fluorescents sensibles aux ions152
      • La microscopie à immunofluorescence permet de détecter des protéines spécifiques dans des cellules fixées153
      • Le marquage par des protéines fluorescentes permet de visualiser des protéines spécifiques dans les cellules vivantes154
      • La microscopie confocale et la microscopie à déconvolution fournissent des images fines d'objets fluorescents en trois dimensions155
      • La microscopie à excitation biphotonique permet d'obtenir des images en profondeur dans des échantillons tissulaires157
      • La microscopie TIRF fournit des images exceptionnelles dans un plan focal158
      • La microscopie FRAP révèle la dynamique des composants cellulaires159
      • Le FRET mesure les distances entre des fluorochromes160
      • L'optogénétique permet à la lumière de réguler des événements de manière spatiale et temporelle162
      • Les objets fluorescents éclairés par une source ponctuelle peuvent être localisés à une résolution de l'ordre du nanomètre162
      • La microscopie à super-résolution permet de localiser les protéines avec une précision de l'ordre du nanomètre163
      • La microscopie à feuillet de lumière permet d'obtenir rapidement des images des cellules dans des tissus vivants165
      • 4.3 La microscopie électronique : une imagerie à haute résolution 166
      • Des molécules ou des structures isolées peuvent être observées après un marquage négatif ou un ombrage métallique167
      • Les cellules et les tissus sont sectionnés en coupes fines pour être observés par microscopie électronique168
      • La microscopie immunoélectronique permet de localiser les protéines au niveau ultra structural169
      • La microscopie cryoélectronique permet de visualiser des échantillons sans les fixer ni les marquer169
      • La microscopie électronique à balayage d'échantillons recouverts de métal révèle les caractéristiques de surface170
      • 4.4 L'isolement des organites cellulaires 172
      • La rupture des cellules permet de libérer leurs organites et leurs autres constituants173
      • La centrifugation permet de séparer de nombreux types d'organites173
      • Les anticorps spécifiques des organites sont utiles pour préparer des organites hautement purifiés174
      • La protéomique révèle la composition en protéines des organites175
      • Partie II Génétique et biologie moléculaire
      • 5 Les mécanismes génétiques moléculaires fondamentaux 177
      • 5.1 La structure en double hélice de l'ADN 179
      • L'ADN natif est une double hélice constituée de brins antiparallèles complémentaires180
      • Les brins d'ADN peuvent se séparer de manière réversible 182 Les molécules d'ADN peuvent subir des contraintes de torsion184
      • 5.2 La réplication de l'ADN 185
      • Les ADN polymérases ont besoin d'une matrice et d'une amorce pour répliquer l'ADN185
      • L'ADN double brin est déroulé et les brins fils sont formés au niveau de la fourche de réplication de l'ADN186
      • Une fourche de réplication avance en coopérant avec plusieurs protéines187
      • La réplication de l'ADN se déroule dans les deux sens à partir de chaque origine189
      • 5.3 La réparation et la recombinaison de l'ADN 190
      • Les lésions chimiques ou dues aux radiations dans l'ADN peuvent créer des mutations191
      • Les systèmes de réparation de l'ADN par excision à haute fidélité reconnaissent et réparent les lésions191
      • L'excision des bases répare les mésappariements T·G et les bases endommagées192
      • L'excision des mésappariements répare d'autres mésappariements et de petites insertions ou délétions192
      • L'excision des nucléotides répare les adduits chimiques qui déforment l'ADN193
      • Deux systèmes utilisent la recombinaison pour réparer les cassures doubles brins dans l'ADN193
      • La recombinaison homologue peut réparer des lésions dans l'ADN et créer de la diversité génétique194
      • 5.3 La transcription des gènes codant des protéines et la formation de l'ARNm 199
      • Un brin matrice d'ADN est transcrit par l'ARN polymérase en un brin complémentaire d'ARN200
      • Les ARNm précurseurs eucaryotes subissent une maturation pour former des ARNm fonctionnels202
      • L'épissage alternatif de l'ARN augmente le nombre de protéines exprimées à partir d'un seul gène eucaryote204
      • 5.4 Le décodage de l'ARNm par les ARNt 205
      • L'ARN messager porte l'information provenant de l'ADN, organisée en un code génétique à trois lettres206
      • La structure repliée de l'ARNt favorise ses fonctions de décodage207
      • Un appariement non standard des paires de bases se produit souvent entre les codons et les anticodons 208 Les acides aminés sont liés à leurs ARNt isoaccepteurs avec une grande précision209
      • 5.5 La synthèse des protéines sur les ribosomes, étape par étape 210
      • Les ribosomes sont les machines de synthèse des protéines210
      • Le méthionyl-ARNtiMet reconnaît le codon d'amorçage AUG212
      • L'amorçage de la traduction chez les eucaryotes se produit généralement au niveau du premier codon AUG en aval de l'extrémité 5'd'un ARNm213
      • Au cours de l'allongement de la chaîne, chaque aminoacyl-ARNt entrant passe par trois sites ribosomiques213
      • La traduction est terminée par des facteurs de relargage lorsqu'un codon stop est atteint216
      • Les polysomes et le recyclage rapide des ribosomes augmentent l'efficacité de la traduction217
      • Les protéines de la superfamille des GTPases interviennent dans plusieurs étapes du contrôle qualité de la traduction218
      • Il est possible de dépasser des mutations non-sens en supprimant des mutations dans l'ARNt218
      • 5.6 Les virus : des parasites du système génétique des cellules 219
      • La plupart des gammes d'hôtes des virus sont limitées219
      • Les capsides virales sont des successions régulières d'un ou de quelques types de protéines220
      • Les cycles de croissance des virus lytiques aboutissent à la mort des cellules hôtes221
      • L'ADN viral s'intégre dans le génome de la cellule hôte lors de certains cycles non lytiques de croissance virale222
      • 6 Les techniques de la génétique moléculaire 227
      • 6.1 L'analyse génétique des mutations pour identifier et étudier les gènes 228
      • Les allèles mutants récessifs et dominants ont généralement des effets opposés sur la fonction d'un gène229
      • La ségrégation des mutations dans les expériences de croisement révèle la dominance ou la récessivité230
      • On peut utiliser des mutations conditionnelles pour étudier des gènes essentiels chez la levure231
      • Les mutations létales récessives chez les diploïdes peuvent être identifiées par endogamie et conservées chez des hétérozygotes232
      • Les tests de complémentation permettent de déterminer si des mutations récessives différentes se trouvent dans le même gène233
      • Les doubles mutants sont utiles pour déterminer l'ordre dans lequel interviennent les protéines234
      • La suppression génétique et la létalité synthétique peuvent révéler l'interaction ou la redondance des protéines235
      • L'analyse globale de combinaisons de doubles mutants peut révéler des réseaux de fonctions de gènes236
      • 6.2 Le clonage et la caractérisation de l'ADN 237
      • Les enzymes de restriction et les ADN ligases permettent l'insertion de fragments d'ADN dans des vecteurs de clonage238
      • Des fragments isolés d'ADN peuvent être clonés dans des vecteurs plasmidiques d'E. coli.239
      • Les banques génomiques de levure peuvent être construites à l'aide de vecteurs navettes et subir un criblage par complémentation fonctionnelle240
      • Les banques d'ADNc représentent les séquences de gènes codant des protéines241
      • La réaction en chaîne par polymérase amplifie une séquence spécifique d'ADN à partir d'un mélange complexe242
      • Les molécules clonées d'ADN peuvent être séquencées rapidement par des méthodes basées sur la PCR245
      • 6.3 Utiliser l'information contenue dans la séquence pour identifier les gènes et en déduire leurs fonctions 248
      • La plupart des gènes peuvent être facilement identifiés dans des séquences d'ADN génomique249
      • Les principes de la bioinformatique peuvent être utilisés pour déduire les conséquences fonctionnelles probables des mutations249
      • La fonction et les origines des gènes et des protéines au cours de l'évolution peuvent être déduites de leur séquence250
      • La comparaison de séquences apparentées appartenant à différentes espèces peut fournir des indices sur les relations des protéines au cours de l'évolution250
      • La complexité biologique d'un organisme n'est pas liée directement au nombre de gènes codant des protéines dans son génome252
      • 6.4 Localiser et identifier les gènes qui spécifient les caractères humains 253
      • Les maladies mono géniques présentent l'un des trois modes de transmission possibles253
      • Les polymorphismes d'ADN sont utilisés comme marqueurs pour la cartographie de liaison génétique des mutations humaines255
      • Les études de liaison génétique permettent de cartographier des gènes de maladies avec une résolution proche de 1 Mpb256
      • Il faut une analyse plus précise pour localiser un gène de maladie dans un ADN cloné257
      • La plupart des maladies héréditaires sont dues à de multiples défauts génétiques258
      • Identifier les facteurs de risque génétiques des caractères complexes258
      • Des gènes importants d'un point de vue médical peuvent être identifiés grâce aux allèles qui protègent de la maladie259
      • L'identification des mutations responsables dans les cellules cancéreuses260
      • 6.5 Utiliser des fragments clonés d'ADN pour étudier l'expression des gènes 260
      • Les techniques d'hybridation in situ permettent de détecter des ARN spécifiques261
      • Les micro-alignements d'ADN peuvent être utilisés pour évaluer simultanément l'expression de nombreux gènes261
      • L'analyse de groupes de gènes par de multiples expériences d'expression permet d'identifier des gènes co-régulés263
      • Le séquençage des ADNc permet l'analyse de l'expression des gènes dans les cellules individuelles263
      • Les systèmes d'expression d'E.coli peuvent produire de grandes quantités de protéines à partir de gènes clonés264
      • Les vecteurs plasmidiques d'expression peuvent être conçus pour être utilisés dans des cellules animales265
      • 6.6 Modifier la fonction de gènes spécifiques grâce à la conception 268
      • On peut remplacer des gènes normaux de levure par des allèles mutants, par recombinaison homologue268
      • Les systèmes CRISPR modifiés par génie génétique permettent une édition précise du génome269
      • La recombinaison des cellules somatiques peut inactiver des gènes dans des tissus spécifiques de souris272
      • L'ARN interférence provoque l'inactivation des gènes en détruisant l'ARNm correspondant272
      • 7 Les gènes, la chromatine et les chromosomes 277
      • 7.1 La structure et l'organisation des gènes eucaryotes 278
      • La plupart des gènes d'eucaryotes pluricellulaires contiennent des introns et produisent des ARNm codant des protéines uniques279
      • On trouve des unités de transcription simples et complexes dans les génomes eucaryotes280
      • Les gènes codant des protéines peuvent être solitaires ou appartenir à une famille de gènes282
      • Les produits des gènes abondamment utilisés sont codés par de multiples exemplaires de gènes284
      • Les gènes qui ne codent pas de protéine codent des ARN fonctionnels284
      • 7.2 L'organisation chromosomique des gènes et de l'ADN non codant 286
      • Les génomes de nombreux organismes contiennent une fraction importante d'ADN non codants286
      • La plupart des ADN de séquence simple sont concentrés en des positions chromosomiques spécifiques286
      • La prise d'empreintes génétiques d'ADN repose sur des différences de longueur des ADN de séquence simple287
      • L'ADN intergénique non classifié occupe une partie importante du génome288
      • 7.3 Les éléments transposables (mobiles) de l'ADN 289
      • Le déplacement des éléments mobiles implique un intermédiaire d'ADN ou d'ARN289
      • La plupart des éléments mobiles chez les bactéries sont des transposons d'ADN appelés séquences d'insertion290
      • Les transposons eucaryotes d'ADN se déplacent en utilisant un mécanisme de « couper-coller »291
      • Les rétrotransposons à LTR se comportent comme des rétrovirus intracellulaires292
      • Les rétrotransposons sans LTR se transposent grâce à un mécanisme différent295
      • D'autres ARN rétrotransposés sont présents dans l'ADN génomique297
      • Les éléments mobiles d'ADN ont significativement influencé l'évolution298
      • 7.4 L'organisation structurale de la chromatine et des chromosomes eucaryotes 300
      • La chromatine est constituée de nucléosomes300
      • La structure de la chromatine est conservée parmi les eucaryotes303
      • La chromatine est une chaîne désordonnée de nucléosomes empaquetés ensemble à des densités de concentration différentes dans le noyau303
      • Les modifications des queues d'histones contrôlent la condensation de la chromatine et sa fonction304
      • D'autres protéines non histones régulent la transcription et la réplication311
      • 7.5 La morphologie et les éléments fonctionnels des chromosomes eucaryotes 313
      • Le nombre, la taille et la forme des chromosomes lors de la métaphase sont spécifiques de chaque espèce313
      • Au cours de la métaphase, on peut distinguer les chromosomes par leur profil de bandes et par peinture chromosomique313
      • La peinture chromosomique et le séquençage de l'ADN révèlent l'évolution des chromosomes313
      • Les chromosomes polytènes interphasiques apparaissent par amplification de l'ADN316
      • Trois éléments fonctionnels sont nécessaires à la réplication et à la transmission stable des chromosomes318
      • La longueur et la complexité des séquences centromériques sont très variables318
      • L'addition de séquences télomériques par la télomérase empêche le raccourcissement des chromosomes319
      • 8 Contrôle transcriptionnel de l'expression génique 323
      • 8.1 Aperçu de la transcription eucaryote 326
      • Les éléments régulateurs dans l'ADN eucaryote se trouvent à la fois à proximité et à plusieurs kilobases des sites de début de la transcription327
      • Trois ARN polymérases nucléaires eucaryotes catalysent la formation de différents ARN329
      • Le domaine clamp permet à l'ARN polymérase II de transcrire de longs segments d'ADN331
      • La plus grande sous-unité de l'ARN polymérase II possède une répétition essentielle à l'extrémité carboxylique332
      • 8.2 Promoteurs de l'ARN polymérase II et facteurs de transcription généraux 333
      • L'ARN polymérase II initie la transcription au niveau des séquences d'ADN correspondant à la coiffe 5' des ARNm333
      • La boîte TATA, les initiateurs et les îlots CpG fonctionnent comme des promoteurs dans l'ADN eucaryote333
      • Les facteurs de transcription généraux positionnent l'ARN polymérase II aux sites de début de transcription et contribuent à l'initiation336
      • Les facteurs d'élongation régulent les étapes initiales de la transcription dans la région proximale du promoteur339
      • 8.3 Séquences régulatrices des gènes codant des protéines et les protéines par lesquelles ils fonctionnent 340
      • Les éléments proximaux du promoteur contribuent à la régulation des gènes eucaryotes340
      • Des amplificateurs distants stimulent souvent la transcription par l'ARN polymérase II341
      • La plupart des gènes eucaryotes sont régulés par plusieurs éléments de contrôle de la transcription342
      • L'empreinte à la DNase I et l'EMSA détectent les interactions protéine-ADN343
      • Les activateurs sont composés de domaines fonctionnels distincts345
      • Un répresseur est l'inverse fonctionnel d'un activateur346
      • Les domaines de liaison à l'ADN peuvent être classés en de nombreux types structurels347
      • Des domaines d'activation et de répression de structure diverse régulent la transcription349
      • Les interactions entre facteurs de transcription augmentent les possibilités de contrôle des gènes350
      • Formation de complexes multiprotéiques sur les amplificateurs352
      • 8.4 Mécanismes moléculaires de la répression et de l'activation de la transcription 354
      • La formation de l'hétérochromatine réduit au silence l'expression génique à hauteur des télomères, près des centromères et dans d'autres régions354
      • Les répresseurs peuvent diriger la désacétylation des histones sur des gènes spécifiques355
      • Les activateurs peuvent diriger l'acétylation des histones sur des gènes spécifiques358
      • Les complexes de remodelage de la chromatine contribuent à l'activation ou à la répression de la transcription358
      • Les facteurs de transcription pionniers initient l'activation génique pendant la différenciation cellulaire359
      • Le complexe Mediator forme un pont moléculaire entre les domaines d'activation et la Pol II359
      • Les condensats transcriptionnels augmentent considérablement le taux d'initiation de la transcription361
      • La transcription se produit en rafales365
      • 8.5 Régulation de l'activité des facteurs de transcription 366
      • Les sites hypersensibles à la DNase I reflètent l'histoire du développement de la différenciation cellulaire366
      • Les récepteurs nucléaires sont régulés par des hormones liposolubles368
      • Tous les récepteurs nucléaires partagent un domaine de structure commune368
      • Les éléments de réponse des récepteurs nucléaires contiennent des répétitions inversées ou directes369
      • La liaison d'une hormone à un récepteur nucléaire régule son activité en tant que facteur de transcription369
      • Les métazoaires régulent la transition de l'ARN polymérase II de l'initiation à l'élongation370
      • La terminaison de la transcription est également régulée371
      • 8.6 Régulation épigénétique de la transcription 372
      • La méthylation de l'ADN régule la transcription372
      • La méthylation de lysines spécifiques d'histones est liée aux mécanismes épigénétiques de répression des gènes373
      • Contrôle épigénétique par les complexes Polycomb et Trithorax375
      • Les longs ARN non codants dirigent la répression épigénétique chez les métazoaires377
      • 8.7 Autres systèmes eucaryotes de transcription 380
      • L'initiation de la transcription par Pol I et Pol III est analogue à celle de Pol II380
      • 9 Le contrôle post-transcriptionnel des gènes 384
      • 9.1 La maturation des pré-ARNm eucaryotes 387
      • La coiffe en 5' est ajoutée aux ARN naissants peu après l'initiation de la transcription387
      • L'élongation de la chaîne par l'ARN polymérase II est couplé à la présence de facteurs de maturation de l'ARN388
      • Un ensemble diversifié de protéines avec des domaines conservés de liaison à des ARN s'associe aux pré-ARNm389
      • L'épissage se produit à hauteur de séquences courtes et conservées dans les pré-ARNm par deux réactions de transestérification391
      • Au cours de l'épissage, les ARNsn s'apparient aux bases du pré-ARNm pour sélectionner les sites d'épissage et guider les réactions de transestérification392
      • Les splicéosomes catalysent l'épissage des pré-ARNm393
      • Le clivage en 3' et la polyadénylation des pré-ARNm sont étroitement couplés398
      • 9.2 Régulation de la maturation des pré-ARNm 400
      • D'autres protéines nucléaires contribuent à la sélection des sites d'épissage dans les longs pré-ARNm de l'homme et des autres vertébrés400
      • Expression et fonction des isoformes de protéines apparentées de canal K+ dans les cellules ciliées de l'oreille interne des vertébrés402
      • La régulation de l'épissage de l'ARN par les amplificateurs et les inactivateurs d'épissage contrôle la différenciation sexuelle de la drosophile.403
      • Les répresseurs et activateurs d'épissage contrôlent l'épissage aux sites alternatifs404
      • Expression des isoformes de Dscam dans les neurones rétiniens de la drosophile404
      • Épissage anormal de l'ARN et maladie405
      • Les introns du groupe II auto-épissés fournissent des indices sur l'évolution des ARNsn408
      • Les exonucléases nucléaires et l'exosome dégradent l'ARN exclu des pré-ARNm409
      • La maturation de l'ARN résout le problème de la transcription pervasive du génome dans les cellules de mammifères410
      • L'édition de l'ARN modifie les séquences de certains pré-ARNm411
      • 9.3 Transport de l'ARNm à travers l'enveloppe nucléaire 412
      • Les protéines SR assurent l'exportation nucléaire de l'ARNm413
      • Les pré-ARNm associés aux splicéosomes ne sont pas exportés du noyau414
      • La protéine Rev du VIH régule le transport des ARNm viraux non épissés415
      • 9.4 Mécanismes cytoplasmiques de contrôle post-transcriptionnel 417
      • La concentration d'un ARNm dans le cytoplasme est déterminée par sa vitesse de synthèse et sa vitesse de dégradation.417
      • La dégradation des ARNm dans le cytoplasme se produit par plusieurs mécanismes417
      • Les microARN répriment la traduction et induisent la dégradation d'ARNm spécifiques419
      • L'interférence par ARN induit la dégradation d'ARNm strictement complémentaires421
      • La polyadénylation cytoplasmique favorise la traduction de certains ARNm422
      • La synthèse des protéines peut être régulée de manière globale423
      • Les protéines de liaison à l'ARN spécifiques de séquence contrôlent la traduction d'ARNm spécifiques424
      • Des mécanismes de surveillance empêchent la traduction d'ARNm de maturation incorrecte425
      • La localisation des ARNm permet la production de protéines dans des régions spécifiques du cytoplasme.428
      • 9.5 Maturation des ARNr et des ARNt 431
      • Les gènes des pré-ARNr sont similaires chez tous les eucaryotes et fonctionnent comme organisateurs nucléolaires431
      • Les petits ARN nucléolaires contribuent à la maturation des pré-ARNr432
      • Les introns du groupe I auto-épissés ont été les premiers exemples d'ARN catalytique436
      • Les pré-ARNt subissent d'importantes modifications dans le noyau436
      • 9.6 Les corps nucléaires sont des domaines nucléaires fonctionnellement spécialisés 438
      • Corps de Cajal438
      • Speckles nucléaires438
      • Paraspeckles nucléaires439
      • Corps nucléaires de la leucémie promyélocytaire (LPM)439
      • Fonctions nucléolaires en plus de la synthèse des sous- unités ribosomiques440
      • 10 Structure des biomembranes 442
      • 10.1 La bicouche lipidique : composition et organisation structurelle 444
      • Les phospholipides forment spontanément des bicouches444
      • Les bicouches phospholipidiques forment un compartiment scellé entourant un espace aqueux interne445
      • Les biomembranes contiennent trois classes principales de lipides447
      • La plupart des lipides et de nombreuses protéines sont mobiles latéralement dans les biomembranes449
      • La composition des lipides influe sur les propriétés physiques des membranes450
      • La composition lipidique diffère entre feuillets exoplasmique et cytosolique452
      • Le cholestérol et les sphingolipides se regroupent avec des protéines spécifiques dans des microdomaines membranaires453
      • Les cellules stockent les lipides excédentaires dans des gouttelettes lipidiques454
      • 10.2 Protéines membranaires : structure et fonctions de base 455
      • Les protéines interagissent avec les membranes de trois manières différentes455
      • La plupart des protéines transmembranaires contiennent des hélices a qui traversent la membrane455
      • Les multiples brins ? des porines forment des « barils » s'étendant sur toute la membrane458
      • Des lipides attachés de manière covalente ancrent certaines protéines aux membranes459
      • Toutes les protéines transmembranaires et les glycolipides sont orientés de manière asymétrique dans la bicouche460
      • Les motifs de liaison aux lipides aident à cibler les protéines périphériques sur la membrane461
      • Les protéines peuvent être extraites des membranes par des détergents ou des solutions salines concentrées461
      • 10.3 Phospholipides, sphingolipides et cholestérol : synthèse et mouvement intracellulaire 464
      • Les acides gras sont assemblés à partir de blocs de construction à deux carbones par plusieurs enzymes importantes.464
      • De petites protéines cytosoliques facilitent le mouvement des acides gras464
      • Les acides gras sont incorporés dans les phospholipides principalement de la membrane du RE465
      • Les flippases déplacent les phospholipides d'un feuillet membranaire au feuillet opposé465
      • Le cholestérol est synthétisé par des enzymes dans le cytosol et la membrane du RE466
      • Le cholestérol et les phospholipides sont transportés entre les organites par plusieurs mécanismes467
      • Partie III Structure et fonction de la cellule
      • 11 Transport transmembranaire des ions 470
      • 11.1 Aperçu du transport transmembranaire 471
      • Seuls les gaz et les petites molécules non chargées traversent les membranes par simple diffusion471
      • Trois grandes classes de protéines membranaires transportent les molécules et les ions à travers les membranes cellulaires472
      • 11.2 Transport facilité du glucose et de l'eau 474
      • Le transport unipolaire est plus rapide et plus spécifique que la simple diffusion475
      • Le faible Km de l'uniporteur GLUT1 lui permet de transporter le glucose dans la plupart des cellules de mammifères475
      • Le génome humain code une famille de protéines GLUT de transport du sucre477
      • Les protéines de transport peuvent être étudiées à l'aide de membranes artificielles et de cellules recombinantes477
      • La pression osmotique provoque le déplacement de l'eau à travers les membranes478
      • Les aquaporines augmentent la perméabilité à l'eau des membranes cellulaires478
      • 11.3 Pompes mues par l'ATP et environnement ionique intracellulaire 480
      • Il existe quatre grandes classes de pompes mues par l'ATP 480 Les pompes ioniques mues par l'ATP génèrent et maintiennent les gradients ioniques à travers les membranes cellulaires482
      • La relaxation musculaire dépend des ATPases à Ca2+ qui pompent le Ca2+ du cytosol vers le réticulum sarcoplasmique482
      • Le mécanisme d'action de la pompe à Ca2+ est connu en détail483
      • L'ATPase à Na+/K+ maintient les concentrations intracellulaires de Na+ et de K+ dans les cellules animales484
      • Les ATPases à H+ de classe V maintiennent l'acidité des lysosomes et des vacuoles486
      • Les protéines ABC exportent une grande variété de médicaments et de toxines hors de la cellule487
      • Certaines protéines ABC « retournent » les phospholipides et autres substrats liposolubles d'un feuillet membranaire à l'autre491
      • Le régulateur transmembranaire ABC de la mucoviscidose est un canal à chlorure, et non une pompe491
      • 11.4 Canaux de fuite et potentiel membranaire de repos 494
      • Le mouvement sélectif des ions crée un gradient électrique transmembranaire494
      • Le potentiel membranaire de repos des cellules animales dépend en grande partie du flux sortant d'ions K+ par les canaux K+ ouverts495
      • Les canaux ioniques sont sélectifs pour certains ions grâce à un filtre de sélectivité moléculaire.496
      • La technique de patch-clamp permet de mesurer le déplacement des ions à travers des canaux individuels498
      • Les canaux ioniques supposés peuvent être caractérisés grâce à la combinaison des techniques d'expression dans un ovocyte et de patch-clamp499
      • 11.5 Cotransport par les symporteurs et les antiporteurs 500
      • L'entrée du Na+ dans les cellules de mammifères est favorisée par la thermodynamique500
      • Les symporteurs liés au Na+ permettent aux cellules animales d'importer des sucres, dont le glucose et le galactose, ainsi que des acides aminés, malgré des gradients de concentration élevés501
      • Un symporteur Na+/aminoacide bactérien révèle le fonctionnement d'un symport503
      • Un antiporteur de Ca2+ lié au Na+ régule la force de la contraction du muscle cardiaque504
      • Plusieurs cotransporteurs régulent le pH cytosolique504
      • Un antiporteur d'anions est essentiel au transport du CO2 par les érythrocytes504
      • De nombreuses protéines de transport permettent aux vacuoles végétales d'accumuler des métabolites et des ions505
      • 11.6 Transport transcellulaire 507
      • De multiples protéines de transport sont nécessaires pour déplacer le glucose et les acides aminés à travers les épithéliums507
      • La thérapie de réhydratation simple dépend du gradient osmotique créé par l'absorption de glucose et de Na+508
      • Les cellules pariétales acidifient le contenu de l'estomac tout en maintenant un pH cytosolique neutre508
      • La résorption osseuse nécessite la fonction coordonnée d'une pompe à protons de classe V et d'un canal chlorure spécifique509
      • 12 L'énérgétique cellulaire 512
      • 12.1 La chimiosmose, le transport des électrons, la force proton-motrice et la synthèse de l'ATP 514
      • 12.2 Première étape de la récupération de l'énergie du glucose : la glycolyse 515
      • Au cours de la glycolyse (première étape), les enzymes cytosoliques transforment le glucose en pyruvate.516
      • La vitesse de la glycolyse est ajustée pour répondre aux besoins de la cellule en ATP517
      • Le glucose est fermenté lorsque l'oxygène est rare518
      • 12.3 La structure des mitochondries 520
      • Les mitochondries sont des organites abondants et multifonctionnels520
      • Les mitochondries possèdent deux membranes de structures et de fonctions distinctes520
      • Les mitochondries contiennent de l'ADN et ont évolué à partir d'un événement endosymbiotique unique impliquant une alphaprotéobactérie523
      • La taille, la structure et la capacité de codage de l'ADNmt varient considérablement entre les organismes524
      • L'ADN mitochondrial est situé dans la matrice et transféré pendant la mitose aux cellules filles par héritage cytoplasmique525
      • Les produits des gènes de mitochondrie ne sont pas exportés525
      • Les codes génétiques mitochondriaux peuvent différer du code nucléaire standard526
      • Les mutations de l'ADN mitochondrial provoquent plusieurs maladies génétiques chez l'homme526
      • 12.4 Dynamique des mitochondries et des sites de contact membranaires entre mitochondries et RE 527
      • Les mitochondries sont des organites dynamiques527
      • La fonction et la dynamique des mitochondries peuvent dépendre de contacts directs avec d'autres organites529
      • 12.5 Cycle de l'acide citrique et oxydation des acides gras 531
      • Dans la première partie de l'étape II, le pyruvate est converti en acétyl CoA et en électrons de haute énergie531
      • Dans la deuxième partie de l'étape II, le cycle de l'acide citrique oxyde le groupe acétyle de l'acétyl CoA en CO2 et génère des électrons de haute énergie533
      • Les transporteurs de la membrane mitochondriale interne aident à maintenir des concentrations cytosoliques et matricielles appropriées de NAD+ et de NADH534
      • L'oxydation mitochondriale des acides gras génère de l'ATP534
      • L'oxydation peroxysomale des acides gras ne génère pas d'ATP536
      • 12.6 La chaîne de transport des électrons et la génération de la force proton- motrice 537
      • L'oxydation du NADH et du FADH2 libère une quantité substantielle d'énergie537
      • Le transport d'électrons dans la mitochondrie est couplé au pompage des protons537
      • Les électrons libèrent de l'énergie lorsqu'ils descendent à travers une série de transporteurs d'électrons538
      • Quatre grands complexes multiprotéiques (l-IV) couplent le transport d'électrons au pompage de protons à travers la membrane mitochondriale interne540
      • Les potentiels de réduction des transporteurs d'électrons dans la chaîne de transport d'électrons favorisent le flux d'électrons du NADH vers O2544
      • Les complexes multiprotéiques de la chaîne de transport d'électrons s'assemblent en supercomplexes545
      • Les espèces réactives de l'oxygène sont des sous-produits du transport des électrons547
      • Des expériences utilisant des complexes purifiés de la chaîne de transport d'électrons ont permis d'établir la stochiométrie du pompage des protons548
      • La force proton-motrice dans les mitochondries est due en grande partie à un gradient de tension à travers la membrane interne548
      • 12.7 Exploitation de la force proton-motrice pour la synthèse de l'ATP 550
      • Le mécanisme de synthèse de l'ATP est commun aux bactéries, aux mitochondries et aux chloroplastes550
      • L'ATP Synthase comprend des complexes multiprotéiques F0 et F1551
      • La rotation de la sous-unité ? de F1' entraînée par le mouvement des protons à travers F0' permet la synthèse de l'ATP553
      • Plusieurs protons doivent passer par l'ATP synthase pour produire un ATP554
      • La rotation de l'anneau c de F0 est entraînée par les protons circulant dans les canaux transmembranaires555
      • L'échange ATP-ADP et le transport des phosphates à travers la membrane mitochondriale interne sont nécessaires pour fournir l'ADP et les phosphates nécessaires à la synthèse de l'ATP557
      • La vitesse d'oxydation mitochondriale dépend normalement des niveaux d'ADP558
      • Les mitochondries de la graisse brune utilisent la force proton-motrice pour générer de la chaleur558
      • 12.8 Chloroplastes et photosynthèse 559
      • Les membranes thylacoïdes des chloroplastes sont les sites de la photosynthèse dans les plantes559
      • Les chloroplastes contiennent de longs ADN qui codent souvent plus d'une centaine de protéines560
      • L'absorption de la lumière par les photosystèmes des chloroplastes fournit l'énergie qui entraîne la synthèse de NADPH et d'ATP et la génération d'O2 à partir de H2O561
      • Trois des quatre étapes de la photosynthèse se déroulent sur la membrane thylacoïde et seulement pendant l'illumination561
      • Les étapes 1 et 2 de la photosynthèse convertissent la lumière du soleil en électrons de haute énergie qui génèrent une force proton-motrice et du NADPH561
      • Les complexes d'antennes centrales et les complexes photocollecteurs augmentent l'efficacité de la photosynthèse564
      • De multiples mécanismes protègent les cellules contre les dommages causés par les espèces réactives de l'oxygène pendant le transport des électrons564
      • 12.9 Utilisation de l'énergie lumineuse pour générer de l'oxygène moléculaire, du NADPH et de l'ATP dans les étapes 1 à 3 de la photosynthèse 566
      • Les trois premières étapes de la photosynthèse566
      • Les activités relatives des photosystèmes I et II sont régulées569
      • 12.10 L'ATP et le NADPH entraînent la fixation du carbone dans le cycle de Calvin et la synthèse des glucides dans l'étape 4 de la photosynthèse 570
      • Rubisco fixe le CO2 dans le stroma du chloroplaste570
      • La photorespiration entre en compétition avec la fixation du carbone et est réduite dans les plantes en C4572
      • 13 Transfert des proteines dans les membranes et les organites 576
      • 13.1 Ciblage des protéines vers et à travers la membrane du RE 579
      • Des expériences de pulse chase avec des membranes du RE purifiées ont démontré que des protéines sécrétées traversent la membrane du RE579
      • Une séquence signal hydrophobe N-terminale destine les protéines sécrétoires naissantes vers le RE580
      • La translocation cotraductionnelle est initiée par deux protéines hydrolysant le GTP581
      • Le passage des polypeptides en croissance à travers le translocon est entraîné par la traduction582
      • L'hydrolyse de l'ATP permet la translocation post- traductionnelle de certaines protéines sécrétoires dans la levure585
      • 13.2 Insertion des protéines membranaires dans le RE 586
      • Plusieurs classes topologiques de protéines membranaires intégrales sont synthétisées dans le RE587
      • Des séquences internes d'ancrage stop-transfert et d'ancrage de signal déterminent la topologie des protéines à passage unique588
      • Protéines de type IV (à passages multiples)591
      • Une ancre phospholipidique fixe certaines protéines de surface à la membrane592
      • La topologie d'une protéine membranaire peut souvent être déduite de sa séquence593
      • 13.3 Modifications, repliement et contrôle de qualité des protéines dans le RE 595
      • Un oligosaccharide lié à N préformé est ajouté à de nombreuses protéines dans le RE rugueux595
      • Les chaînes latérales des oligosaccharides peuvent favoriser le repliement et la stabilité des glycoprotéines596
      • Les liaisons disulfure sont formées et réarrangées par les protéines dans la lumière du RE597
      • Les chaperons et autres protéines du RE facilitent le repliement et l'assemblage des protéines598
      • Les protéines mal repliées dans le RE induisent l'expression de catalyseurs de repliement des protéines600
      • Les protéines non assemblées ou mal repliées dans le RE sont souvent transportées vers le cytosol pour y être dégradées601
      • 13.4 Adressage des protéines vers les mitochondries et les chloroplastes 602
      • Les séquences amphipathiques N-terminales d'adressage dirigent les protéines vers la matrice mitochondriale603
      • L'importation des protéines mitochondriales nécessite des récepteurs de la membrane externe et des translocons dans les deux membranes604
      • Des études avec des protéines chimériques démontrent des caractéristiques importantes de l'importation de protéines mitochondriales605
      • Trois apports énergétiques sont nécessaires pour importer des protéines dans les mitochondries605
      • Plusieurs signaux et voies adressent les protéines aux compartiments mitochondriaux606
      • L'importation des protéines stromales du chloroplaste est similaire à celle des protéines de la matrice mitochondriale609
      • Les protéines sont adressées aux thylacoïdes par des mécanismes liés à la translocation des protéines bactériennes610
      • 13.5 Adressage des protéines peroxysomales 612
      • Un récepteur cytosolique adresse à la matrice peroxysomale les protéines ayant une séquence SKL C-terminale612
      • Les protéines de la membrane peroxysomale et de la matrice sont incorporées par des voies différentes613
      • 13.6 Transport vers et hors du noyau 614
      • Les petites et grandes molécules entrent et sortent du noyau par les complexes des pores nucléaires614
      • Les récepteurs de transport nucléaire escortent dans le noyau les protéines contenant des signaux de localisation nucléaire616
      • Un deuxième type de récepteur de transport nucléaire escorte hors du noyau les protéines contenant des signaux d'exportation nucléaire618
      • La plupart des ARNm sont exportés du noyau par un mécanisme indépendant de Ran618
      • 14 Trafic vésiculaire, sécrétion et endocytose 622
      • 14.1 Techniques d'étude de la voie sécrétoire 625
      • Le transport d'une protéine par la voie sécrétoire peut être testé dans des cellules vivantes625
      • Des mutants de levure définissent les principales étapes et les composants du transport vésiculaire627
      • Les tests de transport acellulaire permettent la distinction des différentes étapes du transport vésiculaire628
      • 14.2 Mécanismes moléculaires du bourgeonnement et de fusion des vésicules 629
      • L'assemblage d'un manteau protéique conduit à la formation de la vésicule et à la sélection des cargaisons moléculaires630
      • Un ensemble conservé de protéines commutatrices GTPasiques contrôle l'assemblage de différents manteaux de vésicules631
      • Des séquences d'adressage dans les protéines de cargaison établissent des contacts spécifiques avec des protéines du manteau633
      • Les GTPases Rab contrôlent l'arrimage des vésicules sur les membranes cibles633
      • Des ensembles appariés de protéines SNARE assurent la fusion des vésicules avec les membranes cibles635
      • La dissociation des complexes SNARE après la fusion des membranes est provoquée par l'hydrolyse de l'ATP636
      • 14.3 Premières étapes de la voie sécrétoire 636
      • Les vésicules COPII assurent le transport du RE vers le Golgi637
      • Les vésicules COPI assurent le transport rétrograde au sein du Golgi et du Golgi au RE638
      • Le transport antérograde à travers le Golgi s'effectue par maturation cisternale639
      • 14.4 Étapes tardives de la voie sécrétoire 642
      • Des vésicules recouvertes de clathrine et de protéines adaptatrices assurent le transport à partir du trans-Golgi642
      • La dynamine est nécessaire au pincement des vésicules recouvertes de clathrine643
      • Les résidus de mannose 6-phosphate dirigent les enzymes résidentes vers les lysosomes644
      • L'étude des maladies lysosomales de stockage a révélé des composants clés de la voie de triage lysosomale645
      • L'agrégation des protéines dans le trans-Golgi peut servir au tri des protéines vers les vésicules sécrétoires régulées645
      • Certaines protéines subissent un traitement protéolytique après avoir quitté le trans-Golgi647
      • Des voies distinctes trient les protéines membranaires vers la région apicale ou basolatérale des cellules polarisées648
      • 14.5 Endocytose dépendant de récepteurs 649
      • Les cellules absorbent les lipides du sang sous la forme de grands complexes lipoprotéiques bien définis650
      • Les récepteurs des ligands macromoléculaires contiennent des signaux de triage qui les destinent à l'endocytose651
      • Le pH acide des endosomes tardifs entraîne la dissociation de la plupart des complexes récepteur- ligand653
      • L'endocytose dépendant de récepteurs peut réguler à la baisse les récepteurs de signalisation654
      • 14.6 Diriger des protéines membranaires et des composants du cytosol pour leur dégradation dans les lysosomes 654
      • Les endosomes multivésiculaires séparent les protéines membranaires destinées à la membrane lysosomale des protéines destinées à la dégradation lysosomale655
      • Les rétrovirus bourgeonnent de la membrane plasmique par un processus similaire à la formation des endosomes multi vésiculaires656
      • La voie autophagique livre des protéines cytosoliques ou des organites entiers aux lysosomes657
      • 15 Recepteurs hormones et signalisation cellulaire 661
      • 15.1 Les voies de transduction du signal : du signal extracellulaire à la réponse cellulaire 663
      • Les molécules de signalisation peuvent agir localement ou à distance663
      • Les voles de transduction du signal peuvent produire dans les cellules des changements rapides et à court terme ou lents et à long terme, ou les deux664
      • Les récepteurs sont des protéines allostériques qui activent des voies de transduction du signal664
      • Les récepteurs peuvent se trouver dans le cytosol, le noyau ou sur la membrane de la surface cellulaire664
      • La plupart des récepteurs ne se lient qu'à un seul type de ligand ou à un groupe de ligands très proches665
      • La plupart des récepteurs se lient à leurs ligands avec une forte affinité665
      • Les seconds messagers sont utilisés dans la plupart des voles de transduction du signal667
      • La protéine kinases et phosphatases participent aux voies de transduction du signal en modifiant de manière covalente et ainsi en activant ou en inhibant une grande variété de protéines qui contrôlent les états cellulaires667
      • Des protéines de liaison au GTP sont fréquemment utilisées dans les voies de transduction du signal comme Interrupteurs marche/arrêt (on/off)668
      • L'amplification du signal et la répression par rétroaction caractérisent la plupart des voles de transduction du signal669
      • 15.2 Étude des récepteurs de surface cellulaire et des protéines de transduction des signaux 670
      • Des tests de liaison servent à la détection des récepteurs, à la mesure de leur affinité et à la détermination de leur spécificité670
      • La réponse cellulaire quasi-maximale à une molécule de signalisation ne nécessite généralement pas l'activation de tous les récepteurs671
      • La sensibilité d'une cellule aux signaux externes est déterminée par le nombre de récepteurs à la surface de la cellule et leur affinité pour le ligand671
      • Des analogues chimiques des molécules de signalisation servent à l'étude des récepteurs et sont largement utilisés comme médicaments672
      • Les récepteurs peuvent être purifiés par des techniques de chromatographie d'affinité672
      • L'activité des protéine kinases peut être étudiée par les techniques d'immunoprécipitation et d'affinité673
      • Immunoprécipitation des kinases673
      • Empreinte western avec un anticorps monoclonal spécifique d'un acide aminé phosphorylé dans une protéine673
      • Les protéines de transduction du signal se liant au GTP peuvent être isolées et leurs activités - mesurées à l'aide du procédé pull-down674
      • Les concentrations de Ca2+ libre dans la matrice mitochondriale, le RE et le cytosol peuvent être mesurées avec des protéines fluorescentes dirigées674
      • 15.3 Structure et mécanisme des récepteurs couplés aux protéines G 676
      • Tous les récepteurs couplés aux protéines G partagent la même structure de base676
      • Les récepteurs couplés aux protéines G activés par un ligand catalysent l'échange du GTP contre le GDP sur la sous-unité a d'une protéine G hétérotrimérique679
      • Différentes protéines G sont activées par différents RCPG et régulent à leur tour différentes protéines effectrices.681
      • L'analyse des RCPG a permis d'identifier d'importantes hormones humaines681
      • 15.4 Régulation du métabolisme de nombreuses cellules : les récepteurs couplés aux protéines G qui activent ou inhibent l'adénylate cyclase 683
      • L'adénylate cyclase est stimulée et inhibée par différents complexes récepteur-ligand683
      • L'AMPc active la protéine kinase A en libérant ses sous- unités inhibitrices683
      • Le catabolisme du glycogène est stimulé par l'activation de la PKA induite par des hormones685
      • Une amplification du signal survient dans la voie de dégradation du glycogène AMPc-PKA687
      • L'activation de la PKA par l'AMPc produit des réponses diverses dans différents types de cellules687
      • CREB relie l'AMPc et la PKA à l'activation de la transcription génique688
      • Des protéines d'ancrage localisent les effets de l'AMPc dans des régions spécifiques de la cellule688
      • De multiples mécanismes de rétroaction suppriment la signalisation par la voie GPCR/AMPc/PKA689
      • 15.5 Régulation des sécrétions protéiques et de la contraction musculaire : les ions Ca2+ comme seconds messagers dans de multiples voies de transduction des signaux 692
      • Les produits de l'hydrolyse du lipide membranaire phosphatidylinositol 4,5-bisphosphate par la phospholipase C augmentent les taux de Ca2+ cytosolique693
      • Libération du Ca2+ du RE déclenchée par l'IP3694
      • Transport de Ca2+ déclenché par IP3 du RE vers la matrice mitochondriale694
      • Le canal SOC (store-operated Ca2+) dans la membrane plasmique695
      • Les boucles de rétroaction dans le RE et dans le cycle cytosolique du Ca2+ déclenchent des oscillations dans la concentration cytosolique de Ca2+696
      • DAG active la protéine kinase C697
      • L'intégration des seconds messagers Ca2+ et AMPc régule la glycogénolyse697
      • 15.6 Vision : comment l'oil perçoit la lumière 698
      • La lumière active la rhodopsine dans les bâtonnets oculaires698
      • L'activation de la rhodopsine par la lumière conduit à la fermeture des canaux cationiques dépendants de la GMPc700
      • L'amplification du signal rend la voie de transduction du signal de la rhodopsine extrêmement sensible700
      • L'arrêt rapide de la voie de transduction du signal de la rhodopsine est essentiel à la résolution temporelle de la vision700
      • La phosphorylation de la rhodopsine et la liaison de l'arrestine mettent fin au signal de la rhodopsine activée (R*) par la lumière701
      • L'hydrolyse du GTP met fin au signal provenant du G?tGTP activé702
      • Les bâtonnets s'adaptent à des intensités lumineuses variables grâce au trafic intracellulaire de l'arrestine et de la transducine702
      • 16 Voies de signalisation par lesquelles des facteurs de croissance et des cytokines contrôlent l'expression génique 705
      • 16.1 Facteurs de croissance et leurs récepteurs à tyrosine kinase 709
      • La liaison d'un ligand au domaine extracellulaire d'un RTK entraîne la dimérisation et l'activation de sa tyrosine kinase cytosolique intrinsèque709
      • Les homo- et hétéro-oligomères des récepteurs du facteur de croissance épidermique lient des membres de la famille des facteurs de croissance épidermique711
      • Homodimères des récepteurs de l'EGF711
      • Hétérodimères du récepteur de l'EGF avec HER2712
      • La fixation du ligand au récepteur d'EGF et la dimérisation du récepteur entraînent celle des domaines kinasiques asymétriques et actifs712
      • Transduction du signal après activation des RTK : les résidus de phosphotyrosine du récepteur sont des surfaces de liaison aux domaines SH2 de multiples protéines713
      • L'endocytose dépendante de récepteurs et la dégradation lysosomiale amortissent la signalisation des RTK714
      • 16.2 Voie de transduction du signal Ras/MAP Kinase 716
      • Ras, une protéine commutatrice GTPasique, opère en aval de la plupart des RTK et des récepteurs de cytokines717
      • Les récepteurs à tyrosine kinase sont liés à Ras par des protéines adaptatrices717
      • La liaison de Sos à Ras inactive entraîne un changement de conformation qui déclenche un échange de GTP contre du GDP718
      • Les signaux passent de Ras activée à une cascade de protéine kinases aboutissant à la MAP kinase718
      • La MAP kinase régule l'activité de nombreux facteurs de transcription contrôlant les gènes de réponse précoce720
      • De multiples mécanismes de rétroaction limitent l'activation de la MAP kinase721
      • Les protéines d'échafaudage isolent l'une de l'autre les voies distinctes de la MAP kinase dans la même cellule722
      • 16.3 Voies de transduction du signal phospho-inositide 724
      • La phospholipase C? est activée par de nombreux RTK et récepteurs de cytokines724
      • Le recrutement de la PI-3 kinase aux récepteurs activés entraîne une accumulation de phosphatidylinositol- 3-phosphates dans la membrane plasmique et l'activation de plusieurs kinases en aval724
      • La protéine kinase B activée induit de nombreuses réponses cellulaires725
      • La voie de la PI-3 kinase est régulée négativement par la phosphatase PTEN726
      • 16.4 Cytokines, récepteurs de cytokines et voie de signalisation JAK/STAT 727
      • Les cytokines régulent le développement et la fonction de nombreux types de cellules727
      • La liaison d'une cytokine à son récepteur active une ou plusieurs protéines tyrosine kinases JAK qui lui sont étroitement liées728
      • Les kinases JAK phosphorylent et activent les facteurs de transcription STAT730
      • De multiples mécanismes suppriment la signalisation des récepteurs de cytokines730
      • Phosphotyrosine phosphatases731
      • Protéines SOCS732
      • 16.5 Facteurs de croissance de la famille TGF-?, leurs récepteurs à sérine kinases et les facteurs de transcription Smad qu'ils activent 733
      • Les protéines TGF-? sont stockées sous une forme inactive dans la matrice extracellulaire733
      • Trois récepteurs protéiques distincts du TGF-β participent à sa liaison et à la transduction du signal735
      • Activés les récepteurs RI du TGF-β phosphorylent les facteurs de transcription Smad735
      • Le complexe R-Smad/co-Smad active l'expression de gènes distincts dans différents types de cellules737
      • Les boucles de rétroaction négative limitent la signalisation du TGF-β/Smad737
      • 16.6 Voies de transduction du signal qui utilisent un clivage protéique régulé et spécifique : précurseurs de Notch/Delta et de l'EGF 738
      • Lors de la liaison avec Delta, le récepteur Notch est clivé, ce qui libère un facteur de transcription constitutif738
      • Les métalloprotéases catalysent le clivage de nombreuses protéines de signalisation de la surface cellulaire740
      • 16.7 Voies de transduction de signal qui utilisent la dégradation protéasomique des composants de signalisation : Wnt, Hedgehog et les nombreuses hormones qui activent NF-κB 740
      • La signalisation Wnt empêche la destruction d'un facteur de transcription par un complexe protéique cytosolique741
      • Les gradients de concentration de la protéine Wnt sont essentiels pour de nombreuses étapes du développement743
      • La signalisation Hedgehog atténue la répression de l'expression d'un gène cible744
      • Apprêtement du précurseur protéique de Hh744
      • Les récepteurs de Hh, Patched et Smoothened, et la voie de signalisation en aval ont été décrits initialement par des études génétiques du développement de la drosophile745
      • Régulation par rétroaction de la signalisation Hh745
      • La signalisation Hedgehog chez les vertébrés nécessite des cils primaires746
      • La dégradation d'une protéine inhibitrice active le facteur de transcription NF-κB747
      • Des signalosomes géants avec des échafaudages de chaînes de polyubiquitine relient de nombreux récepteurs de surface cellulaire à des protéines en aval dans la voie NF-κB749
      • 17 Organisation cellulaire et mouvement I : microfilament
      • 17.1 Microfilaments et les structures d'actine 755
      • L'actine est ancienne, abondante et très conservée755
      • Les monomères d'actine G s'assemblent en longs polymères hélicoïdaux d'actine F756
      • L'actine F a une polarité structurelle et fonctionnelle757
      • 17.2 Dynamique des filaments d'actine 758
      • La polymérisation de l'actine in vitro se déroule en trois étapes758
      • Les filaments d'actine croissent plus rapidement aux extrémités (+) qu'aux extrémités (-)760
      • Le défilement des filaments d'actine est accéléré par la profiline et la cofiline761
      • La thymosine-?4 fournit un réservoir d'actine pour la polymérisation762
      • Des coiffes protéiques bloquent l'assemblage et le désassemblage aux extrémités des filaments d'actine762
      • 17.3 Mécanismes d'assemblage des filaments d'actine 763
      • Les formines assemblent des filaments non ramifiés763
      • Le complexe Arp2/3 amorce l'assemblage des filaments ramifiés764
      • La polymérisation de l'actine peut fournir l'énergie nécessaire aux mouvements intracellulaires766
      • Fonction des microfilaments dans l'endocytose767
      • Les toxines qui perturbent le pool de monomères d'actine sont utiles pour les études de la dynamique de l'actine769
      • 17.4 Organisation des structures cellulaires à base d'actine 770
      • Les protéines de réticulation organisent les filaments d'actine en faisceaux ou en réseaux770
      • Les protéines adaptatrices relient les filaments d'actine aux membranes770
      • 17.5 Les myosines : protéines motrices basées sur l'actine 773
      • Les myosines possèdent des domaines aux fonctions distinctes : tête, cou et queue774
      • Les myosines constituent une grande famille de protéines motrices mécanochimiques775
      • Les changements de conformation de la tête de la myosine couplent l'hydrolyse de l'ATP au mouvement777
      • Les têtes de myosine font des pas distincts le long des filaments d'actine777
      • 17.6 Mouvements dépendants de la myosine 780
      • Les filaments épais de myosine et les filaments minces d'actine des muscles squelettiques glissent les uns sur les autres pendant la contraction780
      • Le muscle squelettique est structuré par des protéines de stabilisation et d'échafaudage781
      • La contraction du muscle squelettique est régulée par le Ca2+ et les protéines de liaison à l'actine782
      • L'actine et la myosine II forment des faisceaux contractiles dans des cellules non musculaires783
      • Des mécanismes dépendant de la myosine régulent la contraction des cellules musculaires lisses et non musculaires784
      • La myosine V transporte des vésicules le long des filaments d'actine785
      • 17.7 Migration cellulaire : mécanisme, signalisation et chimiotactisme 787
      • La migration cellulaire coordonne la génération de force avec l'adhérence cellulaire et le recyclage membranaire788
      • Les petites protéines liant le GTP Cdc42, Rac et Rho contrôlent l'organisation de l'actine790
      • La migration cellulaire implique la régulation coordonnée de Cdc42, Rac et Rho791
      • Les cellules migrantes sont dirigées par des molécules chimiotactiques793
      • 18 Organisation et mouvement des cellules II : microtibules et filaments intermédiaires 796
      • 18.1 Structure et organisation des microtubules 797
      • Les parois des microtubules sont des structures polarisées construites à partir de dimères de tubuline αβ797
      • Les microtubules sont assemblés à partir des MTOC pour générer diverses configurations799
      • 18.2 Dynamique des microtubules 802
      • Les microtubules individuels présentent une instabilité dynamique802
      • L'assemblage localisé ainsi que l'exploration et capture contribuent à l'organisation des microtubules805
      • Des médicaments affectant la polymérisation de la tubuline sont utiles expérimentalement et dans le traitement de maladies805
      • 18.3 Régulation de la structure et de la dynamique des microtubules 806
      • Les microtubules sont stabilisés par des protéines de liaison latérale806
      • Les +TIP régulent les propriétés et les fonctions de l'extrémité (+) des microtubules807
      • D'autres protéines de liaison aux extrémités favorisent également le désassemblage des microtubules807
      • Des protéines de rupture régulent également la dynamique des microtubules809
      • 18.4 Kinésines et dynéines : protéines motrices basées sur les microtubules 809
      • Les organites des axones sont transportés le long des microtubules dans les deux sens810
      • La kinésine-1 assure le transport antérograde des vésicules le long des axones vers les extrémités (+) des microtubules810
      • Les kinésines forment une grande superfamille de protéines aux fonctions variées812
      • La kinésine-1 est un moteur processif812
      • Les dynéines motrices transportent les organites vers les extrémités (-) des microtubules814
      • Les kinésines et les dynéines coopèrent dans le transport des organites à travers la cellule817
      • Les modifications de la tubuline distinguent différentes classes de microtubules et leur accessibilité aux moteurs818
      • 18.5 Cils et flagelles : structures de surface à base de microtubules 820
      • Les cils et les flagelles des eucaryotes contiennent de longs microtubules en doublet pontés par des moteurs de dynéine820
      • Les battements ciliaires et flagellaires sont produits par le glissement contrôlé des microtubules du doublet externe820
      • Le transport intraflagellaire déplace du matériel vers le haut et le bas des cils et des flagelles820
      • Les cils primaires sont des organites sensoriels sur les cellules en interphase823
      • Les défauts du cil primaire sont à l'origine de nombreuses maladies825
      • 18.6 La mitose 825
      • Les centrosomes se dupliquent au début du cycle cellulaire en préparation de la mitose825
      • La mitose se déroule en cinq étapes826
      • Le fuseau mitotique contient trois classes de microtubules 828 La dynamique des microtubules augmente de façon spectaculaire en mitose828
      • Les chromosomes sont capturés et orientés pendant la prométaphase829
      • Les chromosomes dupliqués sont alignés par les moteurs et la dynamique des microtubules831
      • Le complexe passager chromosomique régule la fixation des microtubules aux kinétochores832
      • L'anaphase A déplace les chromosomes vers les pôles par raccourcissement des microtubules833
      • L'anaphase B sépare les pôles par l'action combinée des kinésines et de la dynéine833
      • Le fuseau est centré et orienté par une voie dépendante de la dynéine/dynactine834
      • La cytocinèse divise la cellule dupliquée en deux835
      • Les cellules végétales réorganisent leurs microtubules et construisent une nouvelle paroi cellulaire durant la mitose836
      • 18.7 Filaments intermédiaires 837
      • Les filaments intermédiaires sont assemblés à partir de dimères de sous-unités838
      • Les filaments intermédiaires sont dynamiques839
      • Les protéines de filaments intermédiaires cytoplasmiques sont exprimées de manière spécifique au tissu839
      • Les lamines tapissent la face interne de l'enveloppe nucléaire pour fournir au noyau organisation et rigidité841
      • Les lamines sont désassemblées de manière réversible par phosphorylation pendant la mitose842
      • 18.8 Coordination et coopération entre les éléments du cytosquelette 843
      • Les protéines associées aux filaments intermédiaires contribuent à l'organisation cellulaire843
      • Les microfilaments et les microtubules coopèrent pour transporter les mélanosomes843
      • Cdc42 coordonne les microtubules et les microfilaments pendant la migration cellulaire844
      • L'avancement des cônes de croissance neuronaux est coordonné par les microfilaments et les microtubules844
      • 19 Le cycle cellulaire chez les eucaryotes 847
      • 19.1 Aperçu du cycle cellulaire 848
      • G, contrôle l'entrée en phase S849
      • La phase G2 prépare la cellule à la mitose et à la division cellulaire849
      • La mitose et la cytocinèse se déroulent durant la phase M850
      • 19.2 Organismes modèles et méthodes d'étude du cycle cellulaire 852
      • Les levures bourgeonnantes et à fission sont de puissants systèmes pour l'analyse génétique du cycle cellulaire852
      • Les ovocytes et les embryons précoces d'amphibiens facilitent la caractérisation biochimique du fonctionnement du cycle cellulaire854
      • Les cellules en culture permettent l'étude de la régulation du cycle cellulaire mammalien855
      • Les chercheurs utilisent de multiples outils pour étudier le cycle cellulaire855
      • 19.3 Progression et contrôle du cycle cellulaire : boucles de rétroaction et modifications post-traductionnelles 856
      • Les kinases dépendantes des cyclines sont de petites protéines kinases qui requièrent pour leur activité une sous-unité régulatrice de cycline857
      • Les cyclines déterminent l'activité des CDK859
      • Les CDK sont régulées par une phosphorylation activatrice ou inhibitrice861
      • Les inhibiteurs de CDK permettent un contrôle supplémentaire de l'activité de la cycline-CDK863
      • Les concentrations de cyclines sont régulées par l'activation transcriptionnelle et la dégradation protéique assurée par l'ubiquitine863
      • Les domaines liant la phosphosérine ou la phosphothréonine sont les derniers composants moléculaires dont nous devons parler pour comprendre la régulation cycline-CDK865
      • Des études de spectrométrie de masse et des CDK génétiquement modifiées ont conduit à la découverte de nouveaux substrats et fonctions des CDK865
      • 19.4 La transition de la phase G1 à la phase S et la réplication de l'ADN 867
      • La transition G1/S chez la levure bourgeonnante est contrôlée par les complexes cycline-CDK867
      • La transition de phase G1-S chez les métazoaires implique le contrôle par la cycline-CDK du facteur de transcription E2F par l'intermédiaire de son régulateur Rb867
      • Les signaux extracellulaires régissent l'entrée dans le cycle cellulaire868
      • La dégradation d'un inhibiteur de CDK en phase S déclenche la réplication de l'ADN869
      • La réplication à chaque origine est initiée une fois et une seule au cours du cycle cellulaire871
      • Les brins d'ADN dupliqués se lient pendant la réplication873
      • 19.5 La transition G2/M et le moteur irréversible de la mitose 875
      • L'activation abrupte des CDK mitotiques par des boucles de rétroaction positive initie la mitose876
      • Les CDK mitotiques induisent la dislocation de l'enveloppe nucléaire876
      • Les centrosomes se dupliquent pendant la phase S et se séparent pendant la mitose879
      • Les CDK mitotiques, les kinases de type polo et les kinases Aurora pilotent l'assemblage du fuseau mitotique qui se fixe aux kinétochores des chromosomes condensés879
      • La condensation des chromosomes facilite la ségrégation des chromosomes882
      • 19.6 Fuseau mitotique, ségrégation des chromosomes et sortie de mitose 884
      • Le clivage des cohésines par la séparase initie la ségrégation des chromosomes884
      • L'APC/C active la séparase par l'ubiquitinylation de la sécurine884
      • L'inactivation des CDK mitotiques et la déphosphorylation des protéines déclenchent la sortie de mitose886
      • La cytocinèse crée deux cellules filles887
      • 19.7 Mécanismes de surveillance dans la régulation du cycle cellulaire 889
      • Le système de réaction aux lésions de l'ADN arrête la progression du cycle cellulaire et recrute les mécanismes de réparation de l'ADN lorsque celui-ci est endommagé889
      • La voie du point de contrôle de l'assemblage du fuseau empêche la ségrégation des chromosomes tant que ceux-ci ne sont pas correctement fixés au fuseau mitotique892
      • 19.8 Méiose : un type particulier de division cellulaire 894
      • Des signaux extracellulaires et intracellulaires régulent la formation des cellules germinales894
      • Plusieurs caractéristiques distinguent la méiose de la mitose894
      • La recombinaison et une sous-unité de cohésine spécifique à la méiose sont nécessaires à la ségrégation spécialisée des chromosomes en méiose I897
      • La coorientation des kinétochores frères est essentielle à la ségrégation des chromosomes en méiose I898
      • Partie IV Croissance et développement cellulaire
      • 20 L'intégration cellulaire dans des tissus 901
      • 20.1 Adhérence entre cellules ainsi qu'entre cellules et matrice : un aperçu 903
      • Les molécules d'adhérence cellulaire se lient les unes aux autres et à des protéines Intracellulaires904
      • La matrice extracellulaire participe à l'adhérence, à la signalisation et à d'autres fonctions905
      • L'acquisition de molécules d'adhérence à facettes multiples a permis l'évolution de divers tissus animaux908
      • Les molécules d'adhérence cellulaire assurent la mécanotransduction909
      • 20.2 Jonctions entre cellules ainsi qu'entre cellules et matrice extracellulaire (MEC) et leurs molécules d'adhérence 911
      • Les cellules épithéliales ont des surfaces apicale, latérale et basale distinctes911
      • Trois types de jonctions assurent de nombreuses interactions intercellulaires et cellule-matrice912
      • Les cadhérines assurent les adhérences cellulaires dans les jonctions adhérentes et les desmosomes913
      • Les intégrines assurent les adhérences cellule-matrice, y compris celles des hémidesmosomes des cellules épithéliales918
      • Les jonctions serrées isolent les cavités corporelles et limitent la diffusion des composants membranaires920
      • Les jonctions communicantes composées de connexines permettent aux petites molécules de passer directement entre les cytosols des cellules adjacentes923
      • Les nanotubes tunnel peuvent servir au couplage métabolique et au transfert d'organites entre cellules animales925
      • 20.3 Matrice extracellulaire I : lame basale 926
      • La lame basale sert de base à l'assemblage des cellules dans les tissus927
      • La laminine, une protéine matricielle multiadhésive, aide à réticuler les composants de la lame basale928
      • Le collagène de type IV, qui forme des feuillets, est un des composants structurels principaux de la lame basale928
      • Le perlécane, un protéoglycane, établit des liens croisés entre les composants de la lame basale et les récepteurs de la surface cellulaire931
      • 20.4 Matrice extracellulaire II : tissu conjonctif 932
      • Les collagènes fibrillaires sont les principales protéines fibreuses de la MEC des tissus conjonctifs932
      • Le collagène fibrillaire est sécrété et assemblé en fibrilles à l'extérieur de la cellule933
      • Les collagènes de type I et ils s'associent aux collagènes non fibrillaires pour former diverses structures934
      • Les protéoglycanes et leurs GAG constitutifs jouent des rôles divers dans la MEC935
      • L'hyaluronane résiste à la compression, facilite la migration cellulaire et confère au cartilage ses propriétés de gel937
      • Les fibronectines relient les cellules et la MEC, influençant la forme, la différenciation et le mouvement des cellules938
      • Des fibres élastiques permettent à de nombreux tissus de subir des étirements et relâchements répétés941
      • Les métalloprotéases remodèlent et dégradent la matrice extracellulaire942
      • 20.5 Interactions adhésives dans les cellules mobiles et non mobiles 943
      • Les intégrines assurent l'adhérence et relaient les signaux entre les cellules et leur environnement tridimensionnel943
      • La régulation de l'adhérence et de la signalisation dépendante des intégrines contrôle la fonction et le mouvement des cellules944
      • Dans la dystrophie musculaire, les connexions entre la MEC et le cytosquelette sont défectueuses948
      • Les IgCAM assurent l'adhérence intercellulaire dans divers tissus, notamment les neuronaux949
      • Le mouvement des leucocytes dans les tissus est orchestré par une séquence d'interactions adhésives programmée avec précision949
      • 20.6 Tissus végétaux 951
      • La paroi cellulaire d'une plante est une MEC dont la structure lamellaire est faite de fibrilles de cellulose dans une matrice de polysaccharides et de glycoprotéines952
      • Le relâchement de la paroi cellulaire permet la croissance des cellules végétales953
      • Les plasmodesmes connectent directement les cytosols des cellules adjacentes953
      • Les molécules dont dépendent les plantes pour l'adhérence et la mécano transduction sont différentes de celles des animaux955
      • 21 Réagir à l'environnement cellulaire 958
      • 21.1 Réguler la glycémie 960
      • L'insuline et le glucagon travaillent ensemble pour maintenir un taux de glycémie stable960
      • Une augmentation de la glycémie déclenche la sécrétion d'insuline par les cellules des îlots pancréatiques960
      • Dans les cellules adipeuses et musculaires, l'insuline déclenche la fusion des vésicules intracellulaires contenant le transporteur de glucose GLUT4 avec la membrane plasmique, augmentant ainsi le taux d'absorption du glucose961
      • Dans le foie, l'insuline inhibe la synthèse du glucose, accélère la glycolyse et favorise le stockage du glucose sous forme de glycogène963
      • 21.2 Intégrer les signaux de croissance cellulaire et les niveaux de nutriments et d'énergie 964
      • Le complexe mTORC1 actif stimule de nombreuses voies de transduction de signaux anaboliques965
      • L'activation de la kinase mTORC1 nécessite des acides aminés, un rapport ATP : AMP élevé et l'activation des voies de transduction du signal en aval des récepteurs des facteurs de croissance966
      • 21.3 Réagir aux changements des niveaux de cholestérol et d'acides gras insaturés 970
      • La biosynthèse des acides gras et du cholestérol ainsi que l'importation du cholestérol sont régulées au niveau de la transcription génique970
      • La protéine SCAP du réticulum endoplasmique détecte le niveau de cholestérol cellulaire970
      • La protéolyse intramembranaire régulée de SREBP dans le Golgi libère un facteur de transcription bHLH qui maintient des niveaux appropriés de phospholipides et de cholestérol971
      • 21.4Réagir à une faible teneur en oxygène972
      • Induction du gène de l'érythropoïétine à de faibles niveaux d'oxygène972
      • La détection de l'oxygène et l'expression régulée de Hif-1? sont une propriété de toutes les cellules nucléées de mammifères973
      • La fonction et la stabilité du Hif-1 a sont inhibées à des niveaux d'oxygène ambiants973
      • Une famille conservée de facteurs de transcription sensibles à l'oxygène, présente chez les plantes et les animaux, est régulée par l'ajout post-traductionnel d'un résidu d'arginine974
      • 21.5 Réagir à des températures élevées 976
      • La réaction au choc thermique est induite par des chaînes polypeptidiques non repliées976
      • La réponse au choc thermique est régulée principalement par des facteurs de transcription apparentés chez tous les eucaryotes, appelés facteurs de choc thermique, y compris HSF1 chez l'homme977
      • 21.6 Distinguer jour et nuit : rythmes circadiens 978
      • L'horloge circadienne de la plupart des organismes repose sur une boucle de rétroaction négative979
      • L'horloge circadienne chez les bactéries : une solution différente980
      • Noyau suprachiasmatique : horloge principale chez les mammifères980
      • 21.7 Percevoir et réagir à l'environnement physique 982
      • La voie de la cascade kinasique Hippo chez la drosophile et les mammifères982
      • Régulation de la cascade kinasique Hippo par les interactions des cellules avec la matrice extracellulaire et par la tension sur les filaments d'actine984
      • La voie Hippo et l'embryogenèse précoce985
      • 22 Cellules souches, asymétrie cellulaire et mort cellulaire régulée 990
      • 22.1 Embryogenèse précoce des mammifères, cellules souches embryonnaires et cellules 992
      • La fécondation unifie le génome992
      • Le clivage de l'embryon de mammifère conduit aux premiers événements de différenciation992
      • Les cellules pluripotentes de la masse cellulaire interne sont la source des cellules ES993
      • De multiples facteurs contrôlent la pluripotence des cellules ES994
      • Le clonage animal montre que les changements épigénétiques survenant au cours de la différenciation peuvent être inversés996
      • Les cellules somatiques peuvent générer des cellules iPS997
      • Les cellules iPS spécifiques au patient peuvent être utilisées pour développer des traitements potentiels de nombreuses maladies998
      • Les cellules ES et iPS peuvent générer des cellules humaines différenciées fonctionnelles998
      • 22.2 Cellules souches et niches dans les organismes multicellulaires 1002
      • Les planaires adultes contiennent des cellules souches pluripotentes1002
      • Des cellules souches somatiques multipotentes donnent naissance à la fois à des cellules souches et à des cellules différenciées1003
      • Des cellules souches de différents tissus occupent des niches durables1004
      • Les cellules souches de la lignée germinale de nombreux organismes produisent des spermatozoïdes ou des ovocytes1004
      • Les cellules souches intestinales génèrent en permanence toutes les cellules de l'épithélium intestinal1005
      • Wnt et R-Spondines sont essentiels à la fonction des cellules souches intestinales Lgr5+1007
      • Les cellules souches hématopoïétiques forment toutes les cellules sanguines et toutes les cellules du système immunitaire1009
      • Caractérisation des cellules souches hématopoïétiques par la transplantation1009
      • Niches des cellules souches hématopoïétiques et de nombreuses cellules progénitrices hématopoïétiques1011
      • Régulation de la production de cellules hématopoïétiques différenciées1012
      • Les méristèmes sont des niches pour les cellules souches chez les plantes1013
      • Une boucle de rétroaction négative maintient la taille de la population des cellules souches apicales des tiges1013
      • La structure et la fonction du méristème racinaire ressemblent à celles du méristème de pousse1015
      • 22.3 Mécanismes de polarité cellulaire et de division cellulaire asymétrique 1015
      • Le programme de polarité Intrinsèque dépend d'une boucle de rétroaction positive impliquant Cdc421016
      • La polarisation cellulaire avant la division cellulaire suit une hiérarchie commune d'étapes1017
      • Le trafic membranaire polarisé permet à la levure de croître de manière asymétrique pendant l'accouplement1018
      • Les protéines Par dirigent l'asymétrie cellulaire dans l'embryon du nématode1020
      • Les protéines Par et d'autres complexes de polarité sont impliqués dans la polarité des cellules épithéliales1022
      • La voie de polarité planaire des cellules oriente les cellules dans un épithélium1023
      • Les protéines Par sont impliquées dans la division asymétrique des cellules souches1025
      • 22.4 Mort cellulaire et sa régulation 1027
      • La plupart des morts cellulaires programmées se produisent par apoptose1028
      • Des protéines conservées au cours de l'évolution participent à la voie apoptotique1029
      • Les caspases amplifient le signal apoptotique initial et détruisent les principales protéines cellulaires1031
      • Phosphatidylsérine : un signal « mangez-moi » à la surface des cellules apoptotiques1032
      • Les neurotrophines favorisent la survie des neurones1032
      • Les mitochondries jouent un rôle central dans la régulation de l'apoptose des cellules des vertébrés1035
      • Les protéines proapoptotiques Bax et Bak forment des pores et des trous dans la membrane extérieure de la mitochondrie1035
      • La libération des protéines SMAC/DIABLO des mitochondries favorise également l'activation des caspases1037
      • Les facteurs trophiques induisent l'inactivation de Bad, une protéine BH3-seulement proapoptotique1037
      • Chez les vertébrés, l'apoptose est induite par des protéines proapoptotiques BH3-seulement qui sont activées par des stress environnementaux1038
      • L'apoptose et la nécroptose peuvent être déclenchées par le facteur de nécrose tumorale, le ligand Fas et les protéines de mort apparentées1039
      • 23 Cellules du système nerveux
      • 23.1 Neurones et glie : les éléments constitutifs du système nerveux 1044
      • L'information circule dans les neurones, des dendrites aux axones1044
      • Les informations se déplacent le long des axones sous forme d'un flux ionique pulsé appelé potentiels d'action1045
      • Les informations circulent entre les neurones via les synapses1045
      • Le système nerveux utilise des circuits de signalisation composés de plusieurs types de neurones1046
      • Les cellules gliales forment des gaines de myéline et soutiennent les neurones1047
      • Les cellules souches neurales forment les cellules nerveuses et gliales du système nerveux central1048
      • 23.2 Canaux ioniques dépendant du voltage et propagation des potentiels d'action 1052
      • L'amplitude du potentiel d'action est proche d'ENa et est causée par l'influx de Na+ par les canaux Na+ ouverts1052
      • L'ouverture et la fermeture séquentielles des canaux Na+ et K+ dépendants du voltage génèrent des potentiels d'action1052
      • Les potentiels d'action se propagent de façon unidirectionnelle sans diminution1055
      • Tous les canaux ioniques dépendants du voltage ont une structure similaire1055
      • Les hélices ? S4 sensibles au voltage se déplacent en réaction à la dépolarisation de la membrane1056
      • Le mouvement du segment inactivant le canal dans le pore ouvert bloque le flux d'ions1059
      • La myélinisation augmente la vitesse de la conduction des impulsions1059
      • Les potentiels d'action « sautent » de noud en noud dans les axones myélinisés1060
      • Deux types de glie produisent les gaines de myéline1061
      • Canaux ioniques activés par la lumière et optogénétique1063
      • 23.3 Communication au niveau des synapses 1065
      • La formation des synapses nécessite l'assemblage des structures présynaptiques et postsynaptiques1065
      • Les neurotransmetteurs sont transportés dans les vésicules synaptiques par des protéines antiport liées à H+1068
      • Trois pools de vésicules synaptiques chargées de neurotransmetteur sont présents dans la terminaison présynaptique1070
      • L'afflux de Ca2+ déclenche la libération de neurotransmetteurs1070
      • Une protéine liant le calcium régule la fusion des vésicules synaptiques avec la membrane plasmique1070
      • Les mouches mutantes dépourvues de dynamine ne peuvent pas recycler les vésicules synaptiques1072
      • La signalisation aux synapses est interrompue par la dégradation ou la récupération des neurotransmetteurs1073
      • L'ouverture des canaux cationiques dépendants de l'acétylcholine entraîne une contraction musculaire1074
      • Les cinq sous-unités du récepteur nicotinique de l'acétylcholine contribuent au canal ionique1075
      • Les cellules nerveuses intègrent de nombreuses entrées pour prendre la décision tout ou rien de générer un potentiel d'action1076
      • Les jonctions communicantes permettent une communication directe entre les neurones et entre les cellules gliales1076
      • 23.4 Détection de l'environnement : toucher, douleur, goût et odorat 1077
      • Les mécanorécepteurs sont des canaux cationiques dépendants1078
      • Les récepteurs de la douleur sont également des canaux cationiques dépendants1079
      • Cinq goûts primaires sont perçus par des sous-ensembles de cellules dans chaque bourgeon gustatif1080
      • Le plus grand groupe de récepteurs couplés aux protéines G détecte les odeurs1083
      • Chaque neurone olfactif exprime un seul type de récepteur d'odeur1084
      • 23.5 Formation et stockage des souvenirs 1086
      • Les souvenirs se forment en modifiant le nombre ou la force des synapses entre les neurones1086
      • L'hippocampe est nécessaire à la formation de la mémoire1088
      • De multiples mécanismes moléculaires contribuent à la plasticité synaptique1088
      • La formation des mémoires à long terme nécessite l'expression des gènes1090
      • 24 Immunologie 1093
      • 24.1 Aperçu des défenses de l'hôte 1095
      • Les agents pathogènes pénètrent dans l'organisme par différentes voies et se reproduisent dans divers sites1095
      • Les cellules des systèmes immunitaires inné et adaptatif circulent dans tout l'organisme et s'infiltrent dans les tissus et les ganglions lymphatiques1096
      • Les barrières mécaniques et chimiques constituent un premier front contre les pathogènes1098
      • L'Immunité innée constitue une deuxième ligne de défense1098
      • L'inflammation, réaction complexe à toute lésion, implique à la fois les immunités innée et adaptative et contribue à la destruction des pathogènes1100
      • La spécificité est une caractéristique de l'immunité adaptative, la troisième ligne de défense1102
      • 24.2 Immunoglobulines : structure et fonction 1103
      • Les immunoglobulines ont une structure conservée composée de chaînes lourdes et légères1103
      • Il existe plusieurs isotypes d'immunoglobulines, chacun exerçant des fonctions différentes1104
      • Chaque cellule B naïve produit une immunoglobuline unique1106
      • Les domaines d'immunoglobuline ont un pli caractéristique composé de deux feuillets (3 stabilisés par une liaison disulfure1108
      • La région constante d'une immunoglobuline détermine ses propriétés fonctionnelles1108
      • 24.3 Origine génétique de la diversité des anticorps et développement des cellules B 1109
      • Un gène fonctionnel de chaîne légère nécessite l'assemblage des segments géniques V et J1109
      • Le réarrangement du locus de la chaîne lourde implique les segments géniques V, D et J1111
      • L'hypermutation somatique permet la production et la sélection d'anticorps aux affinités améliorées1113
      • Le développement des cellules B nécessite l'apport d'un récepteur précellulaire1113
      • Au cours d'une réponse adaptative, les lymphocytes B passent de la production d'Ig membranaires à celle d'Ig sécrétées1115
      • Les cellules B peuvent changer l'isotype d'Ig qu'elles produisent1116
      • 24.4 CMH et présentation antigénique 1117
      • Le CMH détermine la capacité de deux individus non apparentés de la même espèce à accepter ou à rejeter des greffons1117
      • L'activité létale des cellules T cytotoxiques est spécifique d'un antigène et restreinte au CMH1118
      • Des cellules T aux propriétés fonctionnelles différentes sont guidées par deux classes distinctes de molécules du CMH1118
      • Les molécules du CMH sont hautement polymorphes, lient des antigènes peptidiques et interagissent avec le récepteur des cellules T1120
      • Pour la présentation de l'antigène, les fragments protéiques forment avec les produits du CMH des complexes qui sont exposés à la surface des cellules1123
      • La voie du CMH de classe I présente des antigènes cytosoliques1123
      • La voie du CMH de classe II présente des antigènes livrés par la voie endocytaire1125
      • 24.5 Cellules T, leurs récepteurs et leur développement 1129
      • La structure du récepteur des cellules T ressemble à la partie F(ab) d'une immunoglobuline1129
      • Les gènes d'un TCR sont réarrangés d'une manière similaire à ceux d'une immunoglobuline1131
      • De nombreux résidus variables des TCR sont codés dans les jonctions entre segments géniques V, D et J1132
      • La signalisation par les récepteurs antigèniques déclenche la prolifération et la différenciation des cellules T et B1132
      • Les cellules T qui reconnaissent les molécules du CMH passent par une sélection positive et négative au cours de leur développement1134
      • Les lymphocytes T s'engagent dans la lignée CD ou CD8 dans le thymus1135
      • Les cellules T ont besoin de deux types de signaux pour une activation complète1136
      • Les cellules T cytotoxiques porteuses du corécepteur CD8 sont spécialisées dans la lyse cellulaire1137
      • Les lymphocytes T sécrètent un ensemble de cytokines qui servent de signaux pour d'autres cellules du système immunitaire1138
      • Les cellules T auxiliaires sont classées en sous-ensembles distincts en fonction de leur production de cytokines et de l'expression de marqueurs de surface1138
      • Les cellules lymphoïdes innées régulent l'inflammation et la réponse immunitaire globale1138
      • Les leucocytes se déplacent en réaction aux signaux chimiotactiques des chimiokines1139
      • 24.6 Collaboration des cellules immunitaires dans la réponse adaptative 1140
      • Les récepteurs de type Toll perçoivent une variété de motifs macromoléculaires dérivés de pathogènes1140
      • L'engagement des récepteurs Toll-Like entraîne l'activation des cellules présentatrices d'antigènes1143
      • La production d'anticorps de haute affinité nécessite une collaboration entre les cellules B et T1143
      • Les vaccins suscitent une immunité protectrice contre une variété de pathogènes1145
      • Le système immunitaire protège contre le cancer1146
      • 25 Cancer 1149
      • 25.1En quoi les cellules tumorales diffèrent des cellules normales1151
      • La composition génétique de la plupart des cellules cancéreuses est radicalement modifiée1152
      • La prolifération incontrôlée est une caractéristique universelle du cancer1152
      • Les fonctions d'entretien cellulaire sont fondamentalement altérées dans les cellules cancéreuses1153
      • À la suite de l'altération des interactions intercellulaires, les cellules cancéreuses forment des organes hétérogènes1154
      • La croissance tumorale nécessite la formation de nouveaux vaisseaux sanguins1155
      • L'invasion et les métastases sont des étapes tardives de l'oncoqenèse1155
      • 25.2 Bases génétiques et génomiques du cancer 1157
      • Les carcinogènes induisent un cancer en endommageant l'ADN1157
      • Certains carcinogènes ont été associés à des cancers spécifiques1157
      • Des syndromes familiaux associés à une perte de la réparation de l'ADN peuvent conduire au cancer1158
      • Des mutations somatiques dans la voie de réaction aux dommages de l'ADN sont oncogènes1159
      • Le séquençage du génome de cancer révèle une énorme diversité de mutations somatiques1160
      • Les oncogènes ont été découverts par leur association à des virus tumoraux1160
      • Des moteurs oncogènes uniques peuvent être activés par des réarrangements chromosomiques1162
      • La prédisposition héréditaire au cancer a permis l'identification de certains facteurs oncogènes1163
      • Des mutations pilotes oncogènes ont été identifiées dans de nombreux gènes1164
      • On peut identifier des mutations pilotes oncogènes en comparant les génomes des cancers1164
      • Les mutations pilotes oncogènes peuvent causer un gain ou une perte de fonction1164
      • Les gènes suppresseurs de tumeurs et les oncogènes opèrent souvent dans la même voie1166
      • Des microARN peuvent favoriser et inhiber l'oncogenèse1167
      • Les modifications épigénétiques peuvent contribuer à l'oncogenèse1167
      • 25.3 La dérégulation de la croissance cellulaire et des voies de développement déclenche l'oncogenèse 1168
      • Des mutations de récepteurs peuvent provoquer une prolifération en l'absence de facteurs de croissance externes1168
      • De nombreuses mutations oncogènes activent de manière constitutive des protéines transductrices de signaux1169
      • Des voies de contrôle de croissance régulent finalement l'initiation du cycle cellulaire1170
      • Une production inappropriée de facteurs de transcription nucléaires peut induire une transformation1171
      • Les aberrations des voies de signalisation qui contrôlent le développement sont associées à de nombreux cancers1172
      • Reconstruction expérimentale du modèle multi mutations pour le cancer1172
      • La succession des mutations oncogènes peut être retracée dans les cancers du côlon1173
      • Le développement du cancer peut être étudié dans des modèles animaux1174
      • La biologie cellulaire moléculaire change la façon dont le cancer est diagnostiqué et traité1176
      • 25.4 Comment échapper à la mort cellulaire programmée et à la surveillance immunitaire 1177
      • Des mutations pilotes oncogènes permettent aux cellules cancéreuses d'échapper à l'apoptose1177
      • p53 peut activer soit le point de contrôle des dommages à l'ADN, soit l'apoptose en réponse aux dommages à l'ADN1178
      • Le système immunitaire est une deuxième ligne de défense contre la formation du cancer1179
      • Le microenvironnement tumoral et l'immunoédition limitent la capacité du système immunitaire à détecter et à tuer les tumeurs établies1179
      • L'activation du système immunitaire offre des perspectives très prometteuses pour la thérapie du cancer1181
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      • Glossaire (en ligne)

  • Origine de la notice:
    • Abes ;
    • Electre
  • Disponible - 577.5 BIO

    Niveau 2 - Sciences