Le langage musical baroque : éléments et structures

Auteur(s) :

Fichet, Laurent Découvrir l'auteur

Résumé

Etude destinée aux musiciens, amateurs ou professionnels, qui connaissent les règles principales de la musique, s'interrogent sur l'origine de ces pratiques. Les théories du langage baroque présentées ici sont issues des traités de l'époque ainsi que de théories plus récentes des plus éminents musicologues. Un nouveau chapitre aborde la pérennité de la musique tonale dans la musique contemporaine. ©Electre 2024

Éditeur(s)
- Minerve
Date
- DL 2024
Notes
- Index. Bibliogr.
Langues
- Français
Description matérielle
- 1 vol. (189 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 23 cm
Collections
- Musique ouverte
Sujet(s)
Epoque
- Théorie musicale -- 18e siècle
- Théorie musicale -- 17e siècle
ISBN
- 978-2-86931-177-0
Indice
- 780.5 Théorie musicale, acoustique, harmonie
Quatrième de couverture
- La plupart des musiciens savent comment fonctionne la musique tonale, que ce soit à force de la pratiquer ou après des études dans les conservatoires. Pour aller plus loin et tenter de comprendre les origines de ce langage musical (qui reste majoritaire dans la culture occidentale), il faut se pencher sur la structuration du langage musical baroque, qui a permis la première stabilisation de la tonalité.
  On peut se demander pourquoi la musique tonale n'utilise que deux modes et non les cinq autres théoriquement possibles, pourquoi le mode mineur se présente sous trois aspects différents ou encore pourquoi certains accords reviennent plus souvent que d'autres (par exemple, ceux qui sont placés sur les degrés I, V, IV et II).
  Les réponses les plus probables se trouvent à la fois dans l'analyse de partitions de la période baroque et dans l'étude des théories de certains musiciens comme J.-P. Rameau.
  Aussi le présent ouvrage s'inspire-t-il largement des traités des musiciens ou des philosophes de l'époque (Rameau, mais aussi Rousseau, d'Alembert, Werkmeister, Kirnberger, Mersenne, Descartes...) ainsi que de théories plus récentes de musicologues (C. Dahlhaus, J. Chailley, S. Gut...), et parfois de l'auteur.
Origine de la notice:
- Abes ;
- Electre