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Livre numérique

Le jardin de verre


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2020
  • Notes
    • Chisinau, en République de Moldavie. Lastocika, jeune moldave de sept ans, est adoptée dans un orphelinat par une marchande (plutôt ramasseuse) de bouteilles en verre d'origine russe, Tamara Pavlovna. La fillette découvre avec joie et étonnement une nouvelle vie. Elle va à l'école, apprend le russe alors qu’elle préfère le moldave et lorsqu’elle écorche les mots russes, elle est punie. Mais Tamara Pavlovna veut-elle lui offrir un avenir prospère ? Ou l’exploiter comme main d’œuvre gratuite de façon aussi impitoyable que dans Dickens ? Avec ce nouveau roman Tatiana Tibuleac revient au thème maternel, à l’enfant aimé/non aimé, aux conséquences tragiques du manque d'amour, du remords, dans un livre aussi troublant que L'Eté où maman a eu les yeux verts. Née à Chisinau (République de Moldavie), longtemps journaliste dans l’audiovisuel, Tatiana Tibuleac est une personnalité reconnue du monde culturel roumain. Dorénavant installée à Paris, elle y travaille dans la communication. L'Eté où maman a eu les yeux verts, son premier roman traduit en français, est paru aux éditions des Syrtes en 2018.
  • Langues
    • Français
  • ISBN
    • 9782940628551
  • Droits
    • copyrighted
  • Résultat de :
  • Quatrième de couverture
    • Le jardin de verre

      Chi(...)in(...)u, en Moldavie. La petite Lastotchka est adoptée dans un orphelinat par Tamara Pavlovna, ramasseuse de bouteilLes. Lastotchka va à l'école, apprend le russe alors qu'elle préfère sa langue, le moldave, et elle se fait punir par sa mère adoptive lorsqu'elle écorche les mots russes. Elle apprend à laver des bouteilles mais aussi à voler ou à repousser les sollicitations des hommes trop insistants...

      Les habitants de son immeuble deviennent sa nouvelle famille et lui donnent un peu de leur humanité. Mais les blessures ne s'effacent pas et les questions hantent.

      Le Jardin de verre est un roman intime sur les traumatismes de l'enfance, la quête de soi et de l'identité, dans un environnement multiculturel et bilingue. Vu à travers les yeux d'une enfant, il est relaté avec la sensibilité, la fragilité, la dureté et la cruauté de son âge. Un peu comme le jouet tant désiré par Lastotchka - un caléidoscope - ramassé sous les roues d'une voiture, qui semblait entier mais qui était brisé à l'intérieur.

      Le Jardin de verre est aussi une lettre imaginée par Lastotchka à ses parents. La douleur de l'abandon, le manque d'amour et de douceur maternelle sont des plaies qui ne se referment pas.


  • Consultable à la Bpi