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Livre numérique

Petit éloge de la gourmandise


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2021
  • Notes
    • Souvenirs d’enfance et rages du moment ; visites dans des restaurants fameux ou oubliés ; odes à l’andouillette, la nèfle, le sablé à la confiture, la figue, les vins du Rhône, les Haribo ; tête de veau et Kinder ; déjeuners de conféries aussi secrètes que savoureuses ; critiques gastronomiques plus ou moins fréquentables, ogres, poètes et cannibales… Il y a tout cela, et bien plus, dans l’arborescence mémorielle et gourmande de Nicolas d’Estienne d’Orves. Le tout saupoudré de colère, de coups de sang, d’images parfois lointaines, d’une foi qui sait être mauvaise et d’un amour sincère, réel, jamais repu, pour les joies de la gueule. Si la gourmandise est universelle, le goût est singulier. Aujourd’hui, celui de « NEO » vous invite à sa table et vous souhaite bon appétit. Né en 1974, Nicolas d’Estienne d’Orves est écrivain et critique d’opéra. En vingt ans, il a publié une trentaine de livres : romans (Les Fidélités successives), thrillers (Les Orphelins du mal), nouvelles (Narcisse et moi), récits (Je pars à l’entracte), biographies (Jacques Offenbach, Marthe Richard)… Passionné par Paris, il lui a consacré un guide de promenades et un Dictionnaire amoureux. Lorsqu’il n’écrit pas, il mange. Sans doute trop.
  • Langues
    • Français
  • ISBN
    • 9791025205150
  • Droits
    • copyrighted
  • Résultat de :
  • Quatrième de couverture
    • Petit éloge de la gourmandise

      Entrez dans le cabinet de curiosités gustatives d'un écrivain des plus gourmands...

      Dans cette arborescence mémorielle, on trouve des souvenirs d'enfance et des rages du moment ; des odes à l'andouillette et aux Haribo ; on mange de la tête de veau et des chocolats Kinder ; on boit moins de champagne que de chartreuse, plus de gigondas que de bordeaux ; on s invite dans les déjeuners de confréries aussi secrètes que savoureuses, où l'on dévore entre soi ; on se balade chez Lucas Carton et chez McDonald's ; on croise des critiques gastronomiques plus ou moins fréquentables, des ogres, des poètes, des cannibales... Le tout saupoudré de coups de sang, d'images parfois lointaines, d'une foi qui sait être mauvaise et d'un amour sincère, réel, jamais repu, pour les joies de la gueule.

      Si la gourmandise est universelle, le goût est singulier. Aujourd'hui, celui de « NEO » vous invite à sa table et vous souhaite bon appétit.


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