L’auteur discute ici de la notion d’« outil simple » en contexte préhistorique : outils sans aménagement, utilisés bruts, ou bien outils « expédients », n’ayant servi que brièvement pour répondre à un besoin immédiat. Ces outils simples, qui ne sont pas nécessairement anciens, peuvent pourtant faire partie intégrante d’une chaîne opératoire complexe. L’auteur pose d’autres questions à leur sujet : sont-ils propres à l’homme ? Comment peut-on les reconnaître en contexte archéologique ? Leurs utilisateurs ont-ils un statut particulier ?