Les enseignants LANSAD se voient sollicités de plus en plus fréquemment par leurs collègues non-anglophones pour réviser leurs manuscrits de recherche. Ce nouveau type de rapport entre réviseur et demandeur comporte une forme de médiation qui dépasse la relation traditionnelle entre enseignant et enseigné. À condition de s’investir pleinement dans cette tâche, les enseignants LANSAD ne peuvent que retirer un bénéfice de cette activité, grâce à l’aide améliorée qu’ils sont en mesure d’apporter à leurs apprenants. Cet article traite de ces problématiques à la lumière de l’expérience d’un centre et indique quelques développements futurs.