Cette communication pose principalement les deux questions suivantes : peut-on expliquer le nombre élevé d’acronymes et d’abréviations en anglais médical par une création lexicale active ou empruntons-nous ces formes abrégées au lieu de leur donner des équivalents en français médical ? Est-ce que ce phénomène est causé par leur degré élevé d’explicitation entraînant leur intégration rapide (sans traduction) en français médical ?