Cette étude de deux romans écrits par Juan Marsé (Rabos de lagartija, 2000) et Antonio Muñoz Molina (Sefarad, 2001) s’attache à analyser les jeux d’une écriture fragmentaire caractérisée par une tension entre référentialité et autoréférentialité pour en définir ensuite les enjeux éthiques et esthétiques.