Dans cet article, partie d’un travail de plus grande ampleur sur Ana María Shua, je me suis proposé de lire ses récits brefs dans l’optique de la répétition, conçue comme une poétique et un moyen légitime, pour une femme de lettres, de s’inscrire dans la tradition. En me référant à la tradition, à la réécriture des sources, je me réfère à trois domaines : la culture juive, la culture populaire et la littérature universelle.