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Le retrait après la disgrâce : Les Khaznadār à Tunis dans la seconde moitié du XIXe siècle

dans Centre de la Méditerranée moderne et contemporaine


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2013-08-25T02:00:00Z
  • Notes
    • Mamelouk d’origine grecque, le vizir Muṣṭafā Khaznadār s’imposa comme le personnage le plus influent de la province ottomane de Tunis entre 1837 et 1873. Sa prépondérance puis la marginalisation de ses fils après sa disgrâce constituent un exemple de réaménagement des relations entre une grande famille et l’autorité provinciale des beys de Tunis alors transformée par les réformes ottomanes puis le protectorat français. Le Khaznadār sut tirer profit de l’exercice patrimonial du pouvoir et de la mise en place d’un système constitutionnel à partir de 1861. Mais ses fils aînés, pourtant destinés à l’exercice de charges administratives, eurent du mal à trouver leur place au début du protectorat. Leur ascendance et leur nom rappelaient trop de mauvais souvenirs aux sujets et aux nouveaux maîtres français du pays.
  • Langues
    • Français
  • Sujet(s)
  • Droits
    • info:eu-repo/semantics/openAccess .
    • https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/
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