Les auteurs proposent de saisir ce qu’un chercheur vit, avant de penser une autre écriture de la recherche. L’originalité est de montrer le chercheur « sans mode d’emploi » dans ses dimensions biologiques, psychologiques et sociales d’aujourd’hui. Penser ainsi l’humain amène le chercheur à envisager la recherche et son rapport au savoir autrement. Le corps du chercheur parle et s’écrit. Les auteurs valorisent les essais et la recherche-création pour lesquels le corps, les émotions et les sentiments du chercheur répondent à l’expérience de la relation à l’autre par des temporalités, des rythmes et des décalages