A colheita da floresta: Uma estratégia de desenvolvimento social e economicamente viável ao desmatamento?
- Éditeur(s)
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Date
- 2010-07-17T02:00:00Z
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Notes
- La conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement (CNUMAD) qui s’est tenue à Rio de Janeiro en juin 1992 aura representé un événement impair dans l’aire des relations internationales, présentant définitivement l’environnement comme une question global.Au cours du Rio 92, avaient été suggerées des stratégies d’action locale pour les gouvernements allant dans le sens de promouvoir une croissance économique, écologiquement et socialement equilibrée. La convention de la biodiversité, realisée pendant la CNUMAD, a consolidé la souveraineté des pays sur leurs ressources biologiques et, ainsi, aura defini que chaque pays, devrait fomenter les conditions pour faciliter l’accès aux ressources génétiques.De la même façon, ces pays participants auraient le droit de rechercher la meilleur répartition, juste et équitative, des bénéfices obtenus par son utilisation.Le point central pour ce processus aura été les débats sur le rôle de l’activité commercial dans le cas de la préservation de l’environnement, en particulier de la biodiversité dont dépendent les systèmes économiques et climatiques mondiaux. Cet article traite de la théorie adoptée par plusieurs stratégies de développement actuelles qui atestent que l’économie de marché globalisée sauvera la biodiversité mondiale.D’après cette théorie, la conservation de la biodiversité doit être coordonnée avec l’utilisation de son potenciel de gérer des revenus, meilleur dire, créer des stimulations financières afin d’encourager les populations locales à être des gardiens efficients des forêts.La Cueillette de la Forêt Tropical (Rainforest Harvest) est une des stratégies orientées pour le marché qui prétend concilier la conservation, en utilisant la nature d’une manière autosustentable, qui préserve l’écosystème avec des produits qui ne sont pas en bois, mais qui maintiennent l’équilibre des chaînes alimentaires. Le but de la Cueillette en Forêt Tropical est, pourtant, de montrer que les forêts ont plus de valeur avec la préservation des arbres.Cet article, donc, analyse l’accord passé entre l’entreprise de cosmétiques d’origine anglaise, “The Body Shop” et les communautés Kaipó Pycany et A’Ukre dans l’état du Pará, au Brésil. Cet accord est sousdivisé en cinq parts. La première présente la question du déboisement, favorisée par le projet de developpement entrepris par le gouvernement brésilien en Amazonie dans les années 1970, et les répercussions de ces projets sur les populations locales, spécialement sur les communautés indigènes, difficultant ainsi l’accès à leurs terres, traditionnelement occupées. La deuxième partie abrange les notions de “ eco-développement” et du “développement sustentable” lesquels oriente l’agenda des entreprises interessées. La troisième part présente les caractéristiques générales relatives à la communauté Kaiapó interessée. La quatrième part présente les champs de dispute sur la théorie de la Cueillete de la Forêt Tropical comme alternative social et économiquement juste sur le déboisement. La cinquième présente et détaille le projet de partenariat entre l’entreprise “ The Body Shop” et la comunauté Kaiapó pour la fourniture d’huile de noix du Pará. Cette dernière observation conclut l’article.
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Langues
- Portugais
- Sujet(s)
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Droits
- info:eu-repo/semantics/openAccess .
- https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/4.0/
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