Ce texte témoigne de la dynamique des échanges universitaires et personnels, dans les années 1960, entre un africaniste japonais, l’auteur, et Georges Balandier ainsi que d’autres anthropologues francophones. Un portrait original de Balandier émerge pour la période pendant laquelle il développait son anthropologie dynamiste et justement l’idée que « l’histoire personnelle reste indissociable de celle des Autres » (Histoire d’autres, Balandier, 1977).