Flaubert appartient à la génération des images perdues : plus de comparaisons romantiques tissant des correspondances et disant l’harmonie de la Création. En deuil du sublime, Flaubert multiplie dans Madame Bovary des comparaisons d’un grotesque triste. En s’inspirant de Manfred Hardt, on suit ici une série d’images scandant le destin d’Emma, autour du motif de l’oiseau, sans ses prestiges romantiques : il ne chante pas et a du mal à voler.