« On dit, tant je l’aimais qu’en elle encore je vis. »Monique Wittig, L’Opoponax, 1964.Au moment où nous travaillions à la préparation de ce premier numéro, Hélène Rouch est décédée, le 8 février 2009. Et c’est avec beaucoup de peine que nous avons reçu cette nouvelle, tant Hélène, enseignante, éditrice, féministe engagée, n’a eu de cesse de nous éveiller à la rigueur de la pensée, à une éthique de la théorie, à un questionnement sans cesse renouvelé sur des problématiques qu’elle a traquées...