Cet article se donne comme objectif d’explorer le problème d’image que rencontrent les industries du « vice » entachées de tabous ancestraux. En prenant comme support d’analyse les documents diffusés par Harrah’s Entertainment, le plus grand casinotier des États-Unis, et par Caesars Palace, son casino mythique à Las Vegas, il analyse l’exploitation des différentes stratégies linguistique, sémiotique et actionnelle qui convergent vers l’objectif unique de rénover l’image de ce secteur.