Lorsque Pétrarque tente de corriger le texte du ms. Vatican Palatin latin 899 (P), devenu sa propriété, cette leçon nouvelle se lira, en toute probabilité, dans deux copies directes ultérieures, les mss BAV, Vatican latin 1899 (p) et Firenze, Bibl. Laur. 551 (F) ; en revanche, si une correction de P fait défaut dans ces deux apographes, c’est que Pétrarque n’en est pas l’auteur.