Dans ce texte, le corps est élaboré comme le lieu de rencontre d’un destin croisé entre peinture et politique, lorsque « quelque chose doit être dit qui ne peut souffrir de ne pas l’être ». Suivant la piste de ce cri de la présence, l’auteur retrace les derniers mois des luttes sociales, en faisant apparaître dans l’usage politisé du « grand débat », une généalogie qui, traversant Paul Ricœur remonte jusqu’à la Rome antique.