Cette étude cherche à interpréter la persécution de la magistrature royale en fonction dans la périphérie, au moment des révoltes populaires anti-françaises. Ces révoltes éclatèrent dans tout le territoire national durant les derniers mois de la première occupation du Portugal par les troupes napoléoniennes. Ce phénomène est analysé dans la province de l’Alentejo, durant la période d’agitation sociale la plus intense, en Juin et Juillet 1808.