Cette étude porte sur les origines des interférences lexicales chez les apprenants de FLE, dont le répertoire est constitué de : l’arabe (LM), le français (LE1) et l’anglais (LE2). L’analyse de leurs écrits a révélé que la LE2, ultérieurement apprise, est la première source d’interférences vu sa similitude lexicale avec le FLE. La LM, peu fréquente, est investie en tant que stratégie de compensation.