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Black Magic in A.S. Byatt’s Little Black Book of Stories: Painting the Body Sublime

dans SAIT

Auteur(s) : Walezak, Émilie

  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2016-08-23T02:00:00Z
  • Notes
    • L’usage de la couleur dans le recueil d’A.S. Byatt se concentre sur les façons de dépeindre le corps, les nouvelles mettent en scène une forme d’horreur domestique explorant les facettes du corps mortel : corps écorché, corps malade, corps torturé, corps sans âme. Byatt use de la magie du noir pour évoquer l’horreur : bouleversement domestique provoqué par la deuxième guerre mondiale lors du black-out de Londres, labeur domestique quotidien de frotter les fourneaux à la mine de plomb (en anglais black-leading). Byatt use de magie noire pour construire une métaphore de l’œuvre d’art comme métamorphose. Travaillant à la manière du peintre, Byatt superpose les couches de sens et utilise la couleur pour explorer les limites (limes) du dicible et les zones liminales (limen) entre éclat et terreur afin de transformer Le matériau brut en Art corporel, pour reprendre les titres de deux nouvelles. La couleur aide Byatt à peindre un corps sublime.
  • Langues
    • Anglais
  • Sujet(s)
  • Droits
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