L’auteur reprend les différentes notions de grammaire pour mettre en rapport conceptualisation et grammaire mentale. Puis il fait un exposé critique de deux conceptions, celle d’Henri Besse (bien connue) et celle de la méthode C’est le printemps (CLA de Besançon) pour laquelle il apporte un témoignage. Il termine en associant conceptualisation et heuristique.