Société historiquement située à la périphérie de divers pôles d’influence (États-Unis, Canada anglais, Grande-Bretagne, France et Vatican), le Québec a, au cours des années soixante, procédé à des emprunts de politiques dans le cadre de la « modernisation » de son système éducatif. Faisant appel au modèle d’« attractivité des politiques éducatives » de Phillips et Ochs, cet article propose une analyse du phénomène, en se centrant sur la formation des enseignants.