Spécialiste reconnu de la reception des proses épiques à la fin du Moyen Age, F.S. analyse deux imprimés du premier quart du XVIe siecle: Le Mabrian de 1525 (qu’il compare à la mise en prose réalisée en 1462 pour Jean de Créquy) et la Conqueste de Trebisonde de 1517. La première partie du Mabrian imprimé, due à Guy Bounay, présente des caractéristiques particulières et contrastées, en l’occurrence un goût certain pour les latinismes et la mythologie, et d’autre part un goût tout aussi marqué...