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  • Collection : Le Marteau sans maître
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Résumé : Aborde les relations personnelles que Lacan a entretenues avec les écrivains et qui ne se réduisent pas au seul angle de son usage psychanalytique. Examine également le statut de la littérature dans la doctrine lacanienne. Etudie le caractère spécifique de la relation de Lacan à la littérature et, notamment, par opposition à Freud et à l'ensemble du champ psychanalytique.

Résumé : Architectes et poètes, les auteurs soutiennent que la destinée humaine est réversible et que l'activité constituante du corps est architecturale. A partir de cette théorie, ils ont repensé les rapports entre le corps et le monde et imaginé une architecture novatrice, tant sur le plan intellectuel qu'esthétique, dont cet ouvrage retrace l'élaboration sur une trentaine d'années.

Résumé : Les cent quatre-vingt-six lettres adressées entre 1976 et 1998 par l'écrivain et critique français Maurice Blanchot (1907-2003) à son homologue russe Vadim Kozovoï (1937-1999) sont accompagnées d'un texte théorique de Blanchot sur la poésie et d'un poème de Kozovoï.

Résumé : Cet essai montre comment Yves Klein a clôturé l'ère de la représentation picturale inaugurée et théorisée par Brunelleschi avec le point de vue et le point de fuite, en y substituant l'infini, le vide et l'immatériel d'une part, la sensibilité, le sujet et la vie d'une autre part.

Résumé : G. Dessons part de la question de l'oeuvre folle. La manière est considérée comme mania, folie. Elle est un vecteur de pensée de l'idée d'humain. Elle manifeste conceptuellement que ce qui s'engage dans la question de l'art est toujours une anthropologie. La manière se révèle porteuse d'une interaction où les propos sur l'art et la littérature apparaissent comme des propos sur l'utopie de l'homme.

Résumé : L'auteur montre que la brièveté est bien plus qu'une exigence actuelle, qu'elle touche l'entreprise de penser elle-même, la manière de donner sens aux mots. Cette pensée du bref ouvre ainsi un autre lieu de réflexion, celui de la justesse, de la nécessité d'un propos. ©Electre 2015

Résumé : Après une ouverture sur l'accueil du génocide juif dans le champ de la philosophie, l'auteur analyse le film de C. Lanzmann selon trois angles : la persistance de l'événement pour les consciences contemporaines, les débats autour de son actualité et la démarche du réalisateur, comparé à Dante dans sa quête des traces d'un monde anéanti. ©Electre 2016

Résumé : Une lecture critique de l'écriture de Michel Houellebecq qui met en lumière le désarroi spirituel d'inspiration pascalienne qui traverse son oeuvre. Il se manifeste par trois thématiques récurrentes : l'indifférence, la société sans religion et la vie dans l'absence de Dieu. ©Electre 2017

Résumé : Durant dix-huit ans, une réflexion sur les questions d'éthique économique a réuni tous les ans des économistes, des juristes et des experts de l'entreprise. Le philosophe y a participé et ses interventions sont ici rassemblées. Il aborde des thèmes divers tels que le vide éthique, le rôle des médias, le droit de propriété, la mondialisation, la corruption ou l'impôt, entre autres. ©Electre 2018

Résumé : Les textes autobiographiques que Nietzsche écrivit entre douze et vingt-quatre ans (1856-1869) rassemblés ici constituent un témoignage unique sur la forge d’une pensée, d’un style, d’une sensibilité. D’un caractère. Après des premières pages toutes prisonnières des poncifs de l’époque se dessine une progressive et implacable émancipation appuyée sur un minutieux travail de réécriture infini des événements marquants de la vie en lesquels la mort du père et le deuil qui la continua ainsi que les années d’apprentissage dans le rude collège de Pforta occupent une place singulière.S’y dessine également la naissance d’impérieuses passions, musique, lecture, écriture, amitiés, dont on sait l’importance décisive qu’elles prendront dans la vie philosophique de Nietzsche. Bien avant Ecce Homo, Nietzsche se réapproprie sa vie, lui donne sens et façonne la statue qui vient. Ces Ecrits autobiographiques sont le véritable laboratoire de l’écriture philosophique de celui qui proclamera une quinzaine d’années plus tard la mort de Dieu, que l’homme est le seul créateur de sens et de valeurs et que « toute grande philosophie […] est la confession de son auteur », confession qui n’est point une confidence ou un aveu mais l’inévitable et nécessaire point de rencontre entre la Vie et la Pensée.

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