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  • Collection : Naissance de l'économie politique
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Résumé : L'approvisionnement en nourriture est une question cruciale. Les écrits de C.-J. Herbert (1700-1758) se sont inscrits dans un moment nouveau de la pensée économique qui visait à défendre la mise en place d'un marché libre, seul garant du bon prix des denrées alimentaires et de leurs productions.

Résumé : L'ouvrage rassemble trois traités qui permettent de comprendre la genèse de l'économie politique et sa constitution en tant que science. Pour développer son propos, W. Petty (1623-1687) emprunte à la science de son temps la méthode quantitative. Sa pensée constitue un jalon de transition entre le mercantilisme anglais et la doctrine classique d'Adam Smith. ©Electre 2017

Résumé : Traité écrit par un magistrat des Lumières, disciple de Robert-Joseph Pothier, éminent jurisconsulte de son temps, et de François Quesnay, chef de fil du mouvement physiocratique. ©Electre 2019

Résumé : Cette édition critique de deux ouvrages complémentaires permet de comprendre la doctrine économique et fiscale des physiocrates ainsi que son évolution entre 1760 et 1776. Les auteurs mettent en évidence la nécessité d'un consentement à l'impôt. Ce dernier devrait être unique et ne pas frapper la consommation mais uniquement le revenu. ©Electre 2020

Résumé : Rassemble la totalité de l'oeuvre économique de N.-F. Canard (1754-1833), considérée comme la première tentative d'application de l'algèbre à la science économique. L'intérêt de cette oeuvre réside aussi dans sa critique de la pensée physiocratique et dans son analyse des concepts de latitude et d'équilibre. Les principes d'économie politique ont notamment influencé la pensée de Sismondi. ©Electre

Résumé : Les vingt-huit volumes in-folio de l’Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers, par une société de gens de lettres, furent publiés entre 1751 et 1772. Pendant ces deux décennies, environ un million six-cent-mille Africains furent embarqués dans des navires négriers dont deux-cent-cinquante-mille environ à bord de navires français. L’Encyclopédie reste comme un monument des Lumières, et cela jusqu’à et y compris dans ses limites. Parmi les 74 000 articles de l’Encyclopédie, moins d’une centaine concernent explicitement la question des traites négrières et de l’esclavage colonial. La contextualisation, l’analyse et la mise en relation de ces articles, de longueur et de portée très inégales, permettent de s’interroger sur les contradictions et les ambiguïtés des encyclopédistes, mais aussi de prendre en compte l’expression parfois fulgurante de principes antiesclavagistes. Ainsi, dans son article « Traite des Nègres », Jaucourt fut le premier des encyclopédistes à envisager l’abolition de l’esclavage. Comme en témoigne, notamment, le cheminement de Diderot, les débats ouverts par la première édition de l’Encyclopédie ont contribué, lors de la décennie suivante à une radicalisation de la pensée anti-esclavagiste et à un enrichissement de son expression dans le débat public alors que la traite et l’exploitation du travail servile atteignaient des sommets jusqu’alors inégalés.

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