Recherche avancée :

  •    Thème : Arts > Musique > Documentaires musicaux > Musiques du monde
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 35

Voir tous les résultats les documents en ligne

Résumé : Un concert en Louisiane suivi d'une escale à New York, Cesaria Evora rencontre toutes sortes d'artistes et de publics. De retour au Cap-Vert, la "diva aux pieds nus" nous emmène de bars en bars à la recherche des lieux de sa jeunesse. Ses amis musiciens viennent à sa rencontre. Composé d'extraits de scènes et d'entretiens, le film fait un va-et vient entre la star internationale nonchalante et la cap-verdienne profondément attachée à son île et à ses traditions.

Résumé : De la guitare électrique au violon monocorde, l'art d'Ali Farka Touré est multiforme. A travers ses propres commentaires nous découvrons son pays : des boucles du Niger à Tombouctou en passant par les campements Touareg. Il nous initie également à son art musical et à son savoir de cultivateur.

Résumé : Ry Cooder a composé la musique de Paris Texas et de The End of Violence. Au cours du travail sur ce dernier film, il parlait souvent avec enthousiasme a Wim Wenders de son voyage a Cuba et du disque qu'il y avait enregistre avec de vieux musiciens cubains. Le disque, sorti sous le nom de "Buena Vista Social Club", fut un succes international. Au printemps 1998, Ry Cooder retourne a Cuba pour y enregistrer un disque avec Ibrahim Ferrer, Compay Segundo, Ruben Gonzalez, et tous les musiciens qui avaient participe au premier album. Cette fois, Wim Wenders etait du voyage avec une petite equipe de tournage.

Résumé : Né en 1938 de parents d'origine guarani, musicien autoditacte, Raul Barboza est l'âme du "chamamé", cette musique de la jungle dont Astor Piazzola a dit: "Je ne sais absolument rien du chamané, j'ai seulement entendu Raul Barboza le jouer et j'en arrive à la conclusion que, comme dans toute musique, quand elle est bien jouée - c'est le cas de Raul Barboza - il n'y a pas besoin de la connaître. Je serai incapable de jouer un chamané, d'abord il faut être né dans cette région d'Argentine et ensuite il faut être né Barboza pour avoir cet incroyable « swing » correntino. C'est normal, Raul n'est pas un commerçant comme la plupart de ceux qui jouent un chamané ancien et médiocre. C'est un lutteur et il mérite mon admiration. "Le film insiste sur la relation étroite la nature et cette musique.

Résumé : "Le tango traditionnel est très ennuyeux. Cette musique n'avait pas changé depuis 40 ou 50 ans. Jusqu'à moi." Alors qu'ils vivent aux USA, le père d' Astor Piazzolla lui achète un bandonéon, le jeune Astor devient très vite un virtuose. De retour à Buenos Aires, il est engagé dans l'orchestre d'Anibal Troïlo ; pour peu de temps car il joue "trop de notes". Piazzolla fonde son propre orchestre, mais il veut compléter sa formation de musicien ; à Paris, il devient l'élève de Nadia Boulanger qui lui fait découvrir que sa musique c'est le tango. Dès lors, Piazzolla se consacrera au tango, mais s'emploiera à en renouveler la forme, en introduisant par exemple des percussions, des instruments électroniques ou un vibraphone. Le film retrace cette longue aventure musicale alternant images d'archives et témoignages de musiciens et de proches du grand bandonéoniste.

Résumé : 1996, après treize ans d'absence, Angélique Kidjo retourne au Bénin. Pascal Signolet la suit en concert, en visite dans sa famille, avec ses amis. L'occasion pour Angélique Kidjo de renouer avec ses racines et de nous présenter sa culture, son histoire, sa langue et bien sûr sa musique.

Résumé : Les paysans originaires du Nordeste qui, pour chercher du travail, émigrent à Sao Paulo, apportent avec eux leurs traditions musicales. Pour filmer cette métropole démesurée, capitale économique et première ville du Brésil, et montrer comment une tradition orale et rurale s'est adaptée à la mégalopole, les auteurs du film ont choisi de filmer les "emboladores", héritiers des troubadours occitans, virtuoses du "repente", rimes et joutes verbales improvisées, chantés à une vitesse folle, sur des thèmes parfois choisis par le public, et qui racontent leur histoire avec Sao Paolo. Ces chansons expriment les difficultés de la vie quotidienne et la "saudade", sorte de nostalgie, douleur et plaisir subtilement mêlés, de la vie passée. Le réalisateur accompagne les chanteurs dans les rues, les jardins publics, les cafés, les bals à "forro", danse entraînante également originaire du Nordeste. Il filme parallèlement cette ville gigantesque, qui, du haut des tours les plus hautes, semble sans limite, avec ses foules en marche se rendant au travail, son métro surpeuplé, ... Les paroles des "repente" tiennent lieu de commentaire. Grâce à une excellente traduction, la poésie et l'humour de ces vers improvisés surgissent dans les sous-titres .

Résumé : St Nazaire, Le Caire, Londres, le film suit les pérégrinations musicales de Natacha Atlas. Chanteuse anglo-égyptienne, Natacha Atlas est issue d’une famille d’origine égyptienne, palestinienne et marocaine. Ayant vécu à Bruxelles, en Égypte, en Grèce et en Angleterre, sa connaissance de différentes cultures a certainement influencé sa musique de fusion (beats électroniques, musiques nord-africaines et arabes), mais dans un grand respect de la culture égyptienne. Découvrant des parentés entre des genres musicaux éloignés, explorant des mondes sonores, elle travaille avec des musiciens des cinq coins de la planète.

Résumé : Le groupe Mahaleo a plus de trente ans d'existence, ses chansons ont été le levain du soulèvement de 1972 contre le régime néo-colonial de Madagascar. Les musiciens ont choisi de s'engager pour le développement de leur pays, à travers leur musique, mais aussi, leur pratique professionnelle (ils sont médecins, membres du parlement, sociologues...) Le film dresse le portrait des sept musiciens et, à travers eux, celui d'un pays qui malgré les souffrance accumulées garde l'espoir ; et il nous faut découvrir la grande richesse de la musique malgache.

Résumé : La vie de Farid El Atrache est un conte oriental. Né en Syrie d'une famille druze royale qui a lutté contre les armées coloniales françaises, Farid et sa famille sont contraints de fuir vers l'Égypte en 1920. Il est initié très tôt au chant et à l'oud par sa mère. À 16 ans, Farid éblouit ses maîtres au conservatoire. Un de ses professeurs lui suggère de montrer ses émotions en chantant et lui conseille de pleurer. La tristesse de ses chants deviendra sa marque caractéristique. Sa carrière professionnelle débute dans les années 1930 : il est employé comme chanteur et joueur d'oud à la radio nationale. Il enregistre ses premiers succès comme "Ya Raitni Tayr". Sa sœur Asmahan est aussi une actrice et chanteuse de talent. Ils rencontrent le succès en 1941 avec le film "Intisar al-chabab" (Victoire de la jeunesse) dont Farid signe la bande originale. Par la suite, Farid Al Atrache tournera une trentaine de films musicaux. On dit que le cinéma arabe n'est devenu parlant que pour mieux pouvoir chanter. Farid Al Atrache, c'est l'histoire d'une rencontre entre un public immense et un personnage dont le physique et le talent allaient consacrer le triomphe d'une nouvelle passion populaire : le cinéma. Le film retrace la carrière de cet artiste grâce à de nombreux témoignages et extraits de ses films.

Résumé : La voix de Oum Kalsoum se confond avec l'histoire de l'Egypte contemporaine. En cinquante ans de carrière, les moyens techniques et les régimes politiques se sont succédés, mais elle n'a jamais cessé de régner. En tant que femme, elle était un personnage de roman. Une pauvre paysanne s'élevant du plus bas de l'échelle jusqu'à occuper cette position céleste. Et cette promotion sociale fulgurante n'était pas seulement due au seul fait de sa voix, mais aussi à sa force de caractère et à son orgueil. Elle parlait aux princes comme à l'homme de la rue. Celle qu'on avait surnommée « la quatrième pyramide » était bien plus qu'une chanteuse, elle était un mythe.

Résumé : Abdel Wahab est le compositeur arabe le plus prolixe du XXe siècle. En 70 ans de carrière, il a composé plus de 1000 chansons à succès et en a chanté des centaines. Le Président Sadate lui avait confié l’orchestration de l’hymne national égyptien et l’avait élevé au grade de général.Tous les soirs, le Général Abdelwahab apparaissait sur les écrans pour clore en fanfare les programmes de la télévision. Mais sous l’uniforme d’apparat et les honneurs officiels se cachait un immense artiste, provocateur et inclassable.

Résumé : Idir enregistre en 1976 le succès planétaire : «A Vava Inouva». Il fait alors entendre une musique inconnue du monde occidental, et fait redécouvrir, à travers de nouveaux arrangements et une nouvelle instrumentation, sa culture et sa musique à la Kabylie.Dans ce documentaire Idir se raconte, et nous fait voyager entre les deux rives de la Méditerrannée. de nombreux artistes avec qui il a travaillé tels que Jean-Jacques Goldman, Hakim et Mouss (Zebda), Fellag et Tinariwen (groupe de Touaregs maliens) témoignent de la richesse de son univers musical, de son sens de l'engagement et de sa philosphie profondément humaniste.

Résumé : La Paloma a été jouée, interprétée, arrangée, copiée et enregistrée tous les supports possibles. Kalle Laar, musicien d’avant-garde, en connaît pas moins de deux mille versions gravées (il y en aurait cinq fois plus). Parmi les interprètes les plus célèbres, on peut citer : Dean Martin, Elvis Presley, Freddy Quinn, Rosita Serrano, Ilse Werner, Charlie Parker...Est-elle née à Cuba, au Mexique ? Comment cette chanson a-t-elle pu voyager et être assimilée aussi vite, au point de devenir symbole national aux quatre coins du monde ? La réalisatrice a mené une véritable enquête, mêlant interviews et archives filmiques, nous emmenant de Cuba, au Mexique, à Zanzibar, au Pays basque, à Hawaii et en Allemagne.

Résumé : Ce film nous invite à entrer dans un univers sonore, non seulement celui de la musique indienne, mais aussi celui de la nature et de la ville. Nous suivons la journée d'une jeune chanteuse, qui s'éveille aux bruits du petit matin, travaille seule son chant, puis traverse campagne et ville pour suivre un cours. La journée s'achève sur un récital de sitar où chacun écoute la musique à sa façon.

Résumé : Femi Kuti est le fils de Fela. Il porte l'héritage du célèbre chanteur en créant et en interprétant des chansons dans la lignée de l'afro-beat mais aussi en poursuivant l'engagement de son père dans la lutte pour la démocratie au Nigeria. En 2006, il travaille à un nouvel album. Lors d'une tournée à Paris, Femi enregistre parallèlement ses nouveaux titres. Des musiciens amis, Sodi (arrangeur) et Francis Kertekian (éditeur musical) l'appuient dans le processus de création. Jour après jour, nous suivons le quotidien de la fabricationd'un disque.

Résumé : La rencontre de la réalisatrice avec un vieux commerçant de la casbah autrefois musicien de chaäbi déclenche tout le processus qui aboutira à la reformation du grand orchestre de chaäbi El Gusto (qui signifie la joie de vivre).Le film retrace cette aventure musicale commencée dans les années 40, explique sa disparition au moment de l'indépendance et célèbre sa renaissance.

Résumé : "« Namaskar, mes amis ». Le lundi 1er septembre 2008, Ravi Shankar est sur la scène de la Salle Pleyel. Chacun sait qu’il s’agit de son dernier concert en Europe. Le lendemain, il donnera dans la même salle une master class, qui sera sa dernière rencontre avec le public français. Le symbole est fort : le musicien indien le plus célèbre de l’histoire choisit de s’en aller en donnant à la suite un concert et une conférence. " (Accords croisés). Avec : Anoushka Shankar,Tanmoy Bose, Henri Tournier , flûtiste et musicologue.

Résumé : "En chantant aux rythmes des luttes, les musiciens chiliens transforment leur histoire en un hymne universel. Les écouter et ressentir leurs chants, c'est comprendre un pays et son peuple à travers sa musique. "Il n'y aura pas de révolution sans chanson" est un film qui propose un voyage musical au Chili, une réflexion sur le pouvoir de la musique et les différentes formes qu'elle peut prendre à travers des moments historiques qui ont marqué ce pays." (Mélanie Brun). Le film de Mélanie Brun parcourt 40 ans d'histoire du Chili avec les chansons inspirées par la période démocratique de Salvador Allende, celles plus sombres nées sous la dictature militaire, jusqu'aux nouveaux talents de la chanson chilienne d'aujourd'hui;. Avec : Violeta Parra, Victor Jara, Inti Illimani, Quilapayun...

Résumé : Au Brésil, la samba est un mode de vie, elle est parole, langage, texte, poésie, danse. Le compositeur et chanteur Martinho da Silva nous raconte sa carrière et nous emmène dans son école de samba à Rio de Janeiro.

Résumé : Pierre Barouh est parolier, acteur, chanteur et producteur. Il a découvert et produit des artistes comme Higelin et Brigitte Fontaine. Saravah est son premier film tourné en 1969 à Rio de Janeiro. Il rencontre ceux qui sont ou ceux qui deviendront des stars : Pixinguinha, Joao da Bahiana, Maria Bethânia toute jeune, Paolinho Da Viola, Baden Powell, Marcia. Il a réalisé ainsi un film historique sur le Brésil musical des années 60.

Résumé : Trois musiciens, Cheick Tidiane Seck (malien), Djeli Moussa Condé(guinéen), Moh Kouyaté (guinéen) saisis dans leur quotidien d'artistes à Paris.

Résumé : Fela Kuti a fait de l'afrobeat un phénomène mondial. Le film souligne l'importante influence musicaledu chanteur mais sans oublier l'influence politique de Fela Kuti au Nigeria dans les années 70.

Résumé : Portrait de Hadda Ou Akki, chanteuse marocaine, représentante de la culture Amazigh.

Résumé : En Ira, depuis 1979, les femmes n'ont plus le droit de chanter en public en tant que solistes. Sara Najafi, compositrice, aidée de trois artistes français tente d'organiser un concert de chanteuses solo à Téhéran.

Résumé : Entre 1997 et 2002, au Yemen, le réalisateur a filmé des musiciens, la plupart des artistes amateurs, qui rythment de leurs chants et de leur musique les cérémonies de mariage. Ils interprètent des poésies transmises depuis le 14e siècle ; leur répertoire constitue le Chant de Sanaa.

Résumé : Sur l'île de Lemnos, un soir d'été, trois jeunes hommes se réunissent pour ressentir l'ivresse d'une douzaine de "Hasiklidika", chansons Rebetiko qui célèbrent les effets du hachish et une certaine idée de la liberté par-delà la violence et les souffrances de l'exil.

Résumé : Découvert à 13 ans par l'Orchestre National des Bantous de la capitale, Rido Dieudonné Bayonne devient par la suite le batteur le plus populaire du Congo Brazzaville. Au Cameroun, il apprend la guitare sous le patronage de Tino Barosa, père de la guitare congolaise moderne. Il travaille pour des grands noms de la musique tels que James Brown, qu'il admire, avant d'accéder à son tour au statut de vedette internationale. Il forme certains jeunes musiciens devenus des stars internationales : RIchard Bona, Paco Sery, Etienne Mbappé, etc. Ce documentaire nous permet de suivre le chef d'orchestre dans son quotidien et de le découvrir dans son intimité. De ses nuits parisiennes passées au club Le Triptyque à ses concerts au Congo, sa terre natale, nous partageons les états d'âmes de cet artiste hyperactif. Véritable oreille tendue vers toutes les musiques et prompt à les harmoniser, Rido Bayonne n'hésite pas à métisser toutes les sonorités. Perfectionniste et intransigeant, cette figure charismatique de la musique demeure aux yeux de ses musiciens "un tonton" pour lequel ils ont une grande affection auréolée d'admiration. Entre images de concerts et témoignages de ses proches, Rido Bayonne se révèle à nous comme un artiste au parcours émouvant et à la personnalité attachante.

Résumé : ̕travers un siècle d'images d'archives, d'extraits de films, de documentaires, de reportages, de journaux télévisés, de telenovelas, de vidéo-clip, ce film retrace l'histoire de la musique brésilienne : de ses premiers balbutiements à nos jours, de la samba au rap, du baiao à la techno. Une histoire miroir de celle du Brésil lui-même, tant la musique participe de la vie de ce pays... Un récit dont les acteurs sont les plus grandes vedettes, sans oublier les anonymes qui font du Carnaval de Rio, de Récif ou de Salvador, ou de la Fête du boy de Sao Luis, les plus grandioses et exubérants des spectacles.

Résumé : La voix d'Oum Kalsoum se confond avec l'histoire de l'Egypte contemporaine... En cinquante ans de carrière, les moyens techniques et les régimes politiques se sont succédés, mais elle n'a jamais cessé de régner... Elle parlait aux princes comme à l'hommme de la rue... Celle qu'on avait surnommée "la quatrième pyramide" était bien plus qu'une chanteuse, elle était un mythe.

Résumé : Ce documentaire explore la réinvention d'un folklore par des musiciens fous de musiques orales. Ce voyage nous fait découvrir ces musiciens qui, tout en s'inscrivant dans une transmission, ont créé de nouveaux styles en conjuguant la polyphonie avec la musique de transe berbère, la revue marseillaise avec le blues, les repentistes brésiliens avec les joutes vocales, le "scat" improvisé du jazz et le chant gascon. Un voyage occitan explore la réinvention d'un folklore aux accents d'ici et d'ailleurs par des musiciens fous de musiques orales. Il nous emmène à la rencontre de ces musiciens qui ont créé de nouveaux styles de chants occitans. Ils conjuguent la polyphonie avec la musique de transe berbère (Lo Cor de la Plana), la revue marseillaise avec le blues (Moussu T e lei Jovents), les repentistes brésiliens avec les joutes vocales (Fabulous Trobadors), le "scat" improvisé du jazz et le chant gascon (André Minvielle).Le film nous fait partager la vie du trobador occitan à la manière d'un road movie, sur La Linha Imaginot entre Bordeaux et Nice.

Résumé : Deben Bhattacharya est un spécialiste de la collecte de musique traditionnelle d'Asie, d'Europe et d'Afrique du Nord... Ce brahmane de Bénarès vivant à Paris a produit depuis 1955 plus de 130 disques de musique enregistrée dans 30 pays... Le véritable trésor d'un homme sensible et avide de savoir...Deben Bhattacharya a passé sa vie sur les routes, à enregistrer de la musique dans des dizaines de pays, des centaines de villes et de villages, et à en publier les disques.

Résumé : Nûba d'or et de lumière raconte l'histoire d'une musique. La musique arabo-andalouse dont la nûba serait la symphonie... A l'image d'un arbre musical, ses branches sont nourries d'une sève qui, depuis 14 siècles, monte des confins marocains et des courants venus d'Arabie, grandit dans les cours des califes andalous, se fortifie dans l'Espagne médiévale, se mêle au chant des trouvères et des sépharades, puis replantée au Maghreb, s'épanouit au Maroc sous le nom d'el Ala. Naissance, Apogée et Déclin, les trois temps de la civilisation d'El andalus ont laissé leurs traces dans les mwashshaha orientaux, les cantigas de Santa Maria d'Alphonse X, dans les chants sépharades et dans la sanâa, l'art de la nûba telle qu'elle vit encore autour de la Méditerranée. Aube, Soir, Nuit inspirent aux musiciens et aux poètes des nûba imprégnées des lumières du jour, habitées par les sentiments et les tempéraments humains, portées par un public et des artistes qui, de Tanger à Tel Aviv, les interprètent de concert dans une vibrante communion.

Résumé : Un film sans commentaire qui nous permet de découvrir l'Inde depuis le Bengale occidental jusqu'à Bénarès, avec pour guides des Bauls... Ces mendiants sacrés chantent leur vie en marge de la société indienne, leurs critiques parfois virulentes de l'ordre social dominant, et leur quête spirituelle délivrée des liturgies compassées...

Résumé : Bordeaux, rive droite de la Garonne. Derrière un grand mur couvert de tags, se cache un squat de fortune investi par des familles roms de Bulgarie. Un monde à la marge de la ville... Gocho vit ici. Il est le chanteur de la formation musicale Chakaraka. Mêlant magnifiquement la mélancolie d'une vie perpétuellement accidentée et l'énergie joyeuse de la fête, la musique rythmant sa vie quotidienne effacera en quelques mesures et pour un temps seulement les difficultés inhérentes à son existence, pour laisser place à l'expression d'une inaltérable force de vivre.

Explorer les sujets liés :