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Contenu : Réseau documentaire regroupant 88 établissements de santé et associations en santé mentale et 120 professionnels de l'info-Doc : base Santé Psy, base de données bibliographiques francophone spécialisée en psychiatrie et santé mentale Bibliographies écoles paramédicales, bibliographies en santé mentale, dossiers thématiques, actualités en psychiatrie.

Contenu : Site officiel de l'Association des critiques et journalistes de bande dessinée (ACBD), avec une présentation de la structure et de ses activités. Le site propose un annuaire de liens ainsi qu'un forum.

Contenu : Base documentaire sur l'histoire de la Psychiatrie en France

Contenu : Données nationales d'un organisme public relatives aux drogues illicites, à l'alcool et au tabac.

Contenu : Site du Centre des troubles anxieux fondé par le Dr Hantouche en 2007

Contenu : Recherche scientifique en Santé Mentale . Réseau de Centres Experts en psychiatrie

Contenu : Information en pédopsychiatrie de l'hôpital Necker-enfants malades

Contenu : Site officiel bilingue, français - anglais, pour s'informer sur les drogues licites et illicites, savoir ce que dit la loi en la matière, comprendre les addictions, savoir où pouvoir être aidé et quels sont les différents interlocuteurs.

Contenu : Plateforme interactive sur l'usage de drogues et la prévention

Contenu : En collaboration avec le Collège national universitaire de psychiatrie, l'association diffuse sur son site des documents actualisés nécessaires à la sémiologie psychiatrique et pédopsychiatrique

Contenu : Toutes les informations pratiques au quotidien

Contenu : Cartographie interactive de la santé mentale en France

Contenu : Informations sur la santé mentale avec l'apprt de la e-santé et de la e-psychiatrie

Contenu : Préparation aux ECNi au format pdf

Contenu : Edition numérisée de "Les pionniers de la psychiatrie française avant et après Pinel"

Contenu : Version numérisée de la thèse de René Sémelaigne

Contenu : Prévention et prise en charge des adddictions

Résumé : La vie quotidienne de criminels malades mentaux à l'Institut psychiatrique pénitentiaire de Bridgewater (Massachussets), dans les années 1960.

Résumé : Le film s’ouvre sur la représentation publique en avril 1998 d’un spectacle donné par la chorégraphe Mathilde Monnier et Marie-France Canaguier, jeune femme autiste de 26 ans. Il s’agit d'un duo chorégraphique, sur une musique originale de Louis Sclavis. Le spectacle fini, le film revient sur le travail effectué pour en arriver là.

Résumé : "Encadrés par des comédiens et des musiciens, les pensionnaires de La Borde préparent une représentation d' " Opérette" de Gombrowicz. Sans commentaire, tout en délicatesse, Nicolas Philibert filme cette institution "pas comme les autres", célèbre pour le travail de recherche psychothérapeutique qu'y ont initié le médecin Jean Oury et le philosophe Felix Guattari. C'est l'été, on répète une pièce de théâtre dans le parc du château, il règne une douce ambiance bucolique. Pourtant, le réalisateur n'escamote rien de la souffrance psychique qui assaille par moments les patients, ni ne dissimule les médicaments distribués chaque jour dans des coupelles. On s'attache à Claude, courbé, qui se tient la tête, à Sophie qui dessine, à Michel qui, avec intelligence et humour, nous accuse de l'avoir rendu fou - "soigné ? C'est la moindre des choses ! " Entre la première et la dernière image, notre regard sur la maladie a changé, nous avons sauté avec douceur dans cet "entre nous" du lieu. Et le travail de chacun nous est devenu si familier que nous applaudissons avec le public les scènes finales de la représentation". M.G / Marie-Christine Balcon. cop. Images de la culture Copyrights & Crédits

Résumé : Philippe, Hervé, Edgar et Anthony sont atteints de troubles obsessionnels compulsifs (TOC). Envahis d'idées obsédantes ils se livrent à des rituels et à des gestes répétitifs pour les supporter et conjurer le mauvais sort. Six mois durant nous suivons la lutte que ces patients mènent contre leurs TOC aidés par des exercices de thérapie comportementale conduite par leur psychiatre.

Résumé : "La séance, c'est un espace hors du temps, hors du temps balisé". Même s'il est impossible de raconter une psychanalyse car ce qui s'y joue est indicible, irréductible, le film donne la parole à des "analysants", à ceux qui en ont fait l'expérience ou qui sont encore en analyse. Six personnes de tous âges témoignent, six parcours, six voix. "En un écho modeste aux millions de pages de théories, parfois contradictoires, qui s'écrivent depuis plus d'un siècle à partir des propositions freudiennes, je voulais écouter la parole simple, courageuse, intelligente et intelligible de ces analysants... Fuir la pédagogie et la propagande, faire avec l'inquiétude, découvrir l'étrange qui apparaît là, dans ce cadre, entendre le tourment et parfois l'apaisement, ou le rire. Quelqu'un dans le film dit que dans la séance d'analyse :"...votre parole prend toute la place et vous ne trichez pas avec la parole..." Ceux qui ont accepté ma proposition de parler de leur psychanalyse dans mon film ne trichent pas. Ils ont accepté de témoigner qu'un mouvement vital est rendu possible par cette parole particulière dans ce dispositif singulier qu'est la cure analytique." Judith Du Pasquier

Résumé : "De tout temps, les hommes se sont infligés les uns les autres des violences destructrices, individuelles ou de masse. Quand elle n'y perd pas la vie, chaque victime en est profondément traumatisée. Lorsqu'il est possible d'y recourir s'engage alors parfois une thérapie où chacun va tenter de comprendre, de surmonter cette violence qui est entrée en lui avec fracas... La violence extrême intentionnelle ou organisée provoque des effets qui vont au-delà de l'effroi et de la douleur. Les repères qui soutenaient jusque-là l'individu sont détruits, les fondements de l'humanité même sont touchés". Le film suit le travail de thérapeutes qui, face à des victimes et des agressions très diverses se retrouvent confrontés au visage universel du traumatisme. Ainsi assistons-nous à quelques moments des séances de musicothérapie de Mya, 14 ans, avant le procès qui doit reconnaître son statut de victime d'abus sexuels de la part de son demi-frère. Le recours au son et au rythme dans la thérapie est une aide pour accéder à la parole lors du procès et se reconstruire. Christian Lachal, psychanalyste et ethnopsychiatre, responsable des programmes de santé mentale de MSF (Médecins sans frontières) visite des enfants rescapés, Ahmed Ala et Barra, de Raffah dans la Bande de Gaza lors de séances de thérapies familiales avec traducteur. "Quelquefois on est surpris parce qu'on a l'impression que les gens sont souriants. On les voit dans des maisons et on a presque l'impression que tout va bien ; alors qu'il y a des tirs à côté, des trous dans le mur. Il s'agit déjà d'une hyperadaptation par rapport à une situation anormale qui est une situation de guerre. Dans de telles situations les gens tentent de maintenir coûte que coûte la vie quotidienne. Cette nécessité permet aux populations de supporter l'insupportable." Christian Lachal souligne et interroge le fait que les enfants puissent grandir avec la violence (sans cesse réactivée par les événements, la guerre) sans qu'elle devienne le noyau de leur être, de leur personnalité. Stéphanie, 29 ans, violée à Paris, une après-midi, a décidé de suivre une psychothérapie avec Carole Damiani de l'association Paris Aide aux Victimes. Ce travail de reconstruction repose également sur le corps, comment la victime a vécu l'agression dans son corps, comment le corps a réagi, comment retrouver du plaisir. "Le travail est non seulement intellectuel (la thérapie) mais aussi un travail de sensations (retrouver des émotions corporelles) pour ensuite pouvoir les lier à des mots" (Carole Damiani). Pour Jean, survivant du génocide du Rwanda, réfugié puis adopté par une famille québécoise en 1999, la thérapie s'est engagée à l'hôpital de Montréal avec deux psychologues, Cécile Rousseau et Déogratias Bagilishya d'origine rwandaise. Ces quatre témoignages et le point de vue des différents thérapeutes montrent qu'après un traumatisme le retour comme avant est impossible, qu'il y a perte et deuil nécessaires d'une identité antérieure et émergence d'une nouvelle identité qui peut être fragmentée. "L'histoire de la violence humaine dans ses formes les plus extrêmes porte le jamais plus et la répétition. La conscience de notre côté lumière et de notre côté ombre suppose un position d'ambivalence par rapport à nous-mêmes et aux autres et nous permet, je pense, de devenir de meilleurs humains." (Cécile Rousseau)

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