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Résumé : Un concert en Louisiane suivi d'une escale à New York, Cesaria Evora rencontre toutes sortes d'artistes et de publics. De retour au Cap-Vert, la "diva aux pieds nus" nous emmène de bars en bars à la recherche des lieux de sa jeunesse. Ses amis musiciens viennent à sa rencontre. Composé d'extraits de scènes et d'entretiens, le film fait un va-et vient entre la star internationale nonchalante et la cap-verdienne profondément attachée à son île et à ses traditions.

Résumé : De la guitare électrique au violon monocorde, l'art d'Ali Farka Touré est multiforme. A travers ses propres commentaires nous découvrons son pays : des boucles du Niger à Tombouctou en passant par les campements Touareg. Il nous initie également à son art musical et à son savoir de cultivateur.

Résumé : Ry Cooder a composé la musique de Paris Texas et de The End of Violence. Au cours du travail sur ce dernier film, il parlait souvent avec enthousiasme a Wim Wenders de son voyage a Cuba et du disque qu'il y avait enregistre avec de vieux musiciens cubains. Le disque, sorti sous le nom de "Buena Vista Social Club", fut un succes international. Au printemps 1998, Ry Cooder retourne a Cuba pour y enregistrer un disque avec Ibrahim Ferrer, Compay Segundo, Ruben Gonzalez, et tous les musiciens qui avaient participe au premier album. Cette fois, Wim Wenders etait du voyage avec une petite equipe de tournage.

Résumé : Né en 1938 de parents d'origine guarani, musicien autoditacte, Raul Barboza est l'âme du "chamamé", cette musique de la jungle dont Astor Piazzola a dit: "Je ne sais absolument rien du chamané, j'ai seulement entendu Raul Barboza le jouer et j'en arrive à la conclusion que, comme dans toute musique, quand elle est bien jouée - c'est le cas de Raul Barboza - il n'y a pas besoin de la connaître. Je serai incapable de jouer un chamané, d'abord il faut être né dans cette région d'Argentine et ensuite il faut être né Barboza pour avoir cet incroyable « swing » correntino. C'est normal, Raul n'est pas un commerçant comme la plupart de ceux qui jouent un chamané ancien et médiocre. C'est un lutteur et il mérite mon admiration. "Le film insiste sur la relation étroite la nature et cette musique.

Résumé : "Le tango traditionnel est très ennuyeux. Cette musique n'avait pas changé depuis 40 ou 50 ans. Jusqu'à moi." Alors qu'ils vivent aux USA, le père d' Astor Piazzolla lui achète un bandonéon, le jeune Astor devient très vite un virtuose. De retour à Buenos Aires, il est engagé dans l'orchestre d'Anibal Troïlo ; pour peu de temps car il joue "trop de notes". Piazzolla fonde son propre orchestre, mais il veut compléter sa formation de musicien ; à Paris, il devient l'élève de Nadia Boulanger qui lui fait découvrir que sa musique c'est le tango. Dès lors, Piazzolla se consacrera au tango, mais s'emploiera à en renouveler la forme, en introduisant par exemple des percussions, des instruments électroniques ou un vibraphone. Le film retrace cette longue aventure musicale alternant images d'archives et témoignages de musiciens et de proches du grand bandonéoniste.

Résumé : 1996, après treize ans d'absence, Angélique Kidjo retourne au Bénin. Pascal Signolet la suit en concert, en visite dans sa famille, avec ses amis. L'occasion pour Angélique Kidjo de renouer avec ses racines et de nous présenter sa culture, son histoire, sa langue et bien sûr sa musique.

Résumé : Les paysans originaires du Nordeste qui, pour chercher du travail, émigrent à Sao Paulo, apportent avec eux leurs traditions musicales. Pour filmer cette métropole démesurée, capitale économique et première ville du Brésil, et montrer comment une tradition orale et rurale s'est adaptée à la mégalopole, les auteurs du film ont choisi de filmer les "emboladores", héritiers des troubadours occitans, virtuoses du "repente", rimes et joutes verbales improvisées, chantés à une vitesse folle, sur des thèmes parfois choisis par le public, et qui racontent leur histoire avec Sao Paolo. Ces chansons expriment les difficultés de la vie quotidienne et la "saudade", sorte de nostalgie, douleur et plaisir subtilement mêlés, de la vie passée. Le réalisateur accompagne les chanteurs dans les rues, les jardins publics, les cafés, les bals à "forro", danse entraînante également originaire du Nordeste. Il filme parallèlement cette ville gigantesque, qui, du haut des tours les plus hautes, semble sans limite, avec ses foules en marche se rendant au travail, son métro surpeuplé, ... Les paroles des "repente" tiennent lieu de commentaire. Grâce à une excellente traduction, la poésie et l'humour de ces vers improvisés surgissent dans les sous-titres .

Résumé : St Nazaire, Le Caire, Londres, le film suit les pérégrinations musicales de Natacha Atlas. Chanteuse anglo-égyptienne, Natacha Atlas est issue d’une famille d’origine égyptienne, palestinienne et marocaine. Ayant vécu à Bruxelles, en Égypte, en Grèce et en Angleterre, sa connaissance de différentes cultures a certainement influencé sa musique de fusion (beats électroniques, musiques nord-africaines et arabes), mais dans un grand respect de la culture égyptienne. Découvrant des parentés entre des genres musicaux éloignés, explorant des mondes sonores, elle travaille avec des musiciens des cinq coins de la planète.

Résumé : Le groupe Mahaleo a plus de trente ans d'existence, ses chansons ont été le levain du soulèvement de 1972 contre le régime néo-colonial de Madagascar. Les musiciens ont choisi de s'engager pour le développement de leur pays, à travers leur musique, mais aussi, leur pratique professionnelle (ils sont médecins, membres du parlement, sociologues...) Le film dresse le portrait des sept musiciens et, à travers eux, celui d'un pays qui malgré les souffrance accumulées garde l'espoir ; et il nous faut découvrir la grande richesse de la musique malgache.

Résumé : La vie de Farid El Atrache est un conte oriental. Né en Syrie d'une famille druze royale qui a lutté contre les armées coloniales françaises, Farid et sa famille sont contraints de fuir vers l'Égypte en 1920. Il est initié très tôt au chant et à l'oud par sa mère. À 16 ans, Farid éblouit ses maîtres au conservatoire. Un de ses professeurs lui suggère de montrer ses émotions en chantant et lui conseille de pleurer. La tristesse de ses chants deviendra sa marque caractéristique. Sa carrière professionnelle débute dans les années 1930 : il est employé comme chanteur et joueur d'oud à la radio nationale. Il enregistre ses premiers succès comme "Ya Raitni Tayr". Sa sœur Asmahan est aussi une actrice et chanteuse de talent. Ils rencontrent le succès en 1941 avec le film "Intisar al-chabab" (Victoire de la jeunesse) dont Farid signe la bande originale. Par la suite, Farid Al Atrache tournera une trentaine de films musicaux. On dit que le cinéma arabe n'est devenu parlant que pour mieux pouvoir chanter. Farid Al Atrache, c'est l'histoire d'une rencontre entre un public immense et un personnage dont le physique et le talent allaient consacrer le triomphe d'une nouvelle passion populaire : le cinéma. Le film retrace la carrière de cet artiste grâce à de nombreux témoignages et extraits de ses films.

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