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Résumé : La compagnie General Motors , fleuron de la construction automobile américaine ,s'est développée en employant, notamment, la majeure partie de la population de la ville de Flint (Michigan) , jusqu'en 1986 où, pour générer encore plus de profit, la Direction décide de fermer ses usines locales pour diversifier ses activités ailleurs , de sorte que la ville de Flint est précipitée dans le chaos social. Michael Moore tente de rencontrer le PDG Roger Smith , pour recueillir son opinion.

Résumé : A la fin des années 60, quatre américains, travaillant souvent en équipe, pratiquent le métier de vendeur à domicile. Leur produit : la Bible. Pendant 6 semaines, Albert à la caméra et son frère David Maysles les ont suivis dans leurs tribulations.

Résumé : God's country : en 1979 , Louis Malle s'arrête à Glencoe (Etats-Unis - Minnesota), petite ville de 5000 habitants ,descendants d'immigrés allemands. Six ans après , il y revient et complète ce portrait de l'Amérique profonde....A la poursuite du bonheur : en 1986, année du centenaire de la statue de la liberté, Louis Malle rend compte de la qualité ou non de l'accueil fait aux immigrés du monde entier par les Etats-Unis.

Résumé : "A 190 miles au sud-est de Los Angeles et 120 pieds en dessous du niveau de la mer, près de Salton Sea, en plein désert, sur le site désaffecté d'une ancienne base militaire et à proximité d'un centre de tirs aériens, s'étend Slab City, vaste camp de caravanes, de tentes, de mobil-homes, d'autobus déglingués, de pick-up et de quelques cabanes. Là vit une communauté de marginaux sans eau ni électricité, c'est à dire sans police ni gouvernement. Ces hommes et ces femmes sont venus chercher dans le désert une paix intérieure que la société leur refusait. Ils ne sont pas venus en quête d'un autre monde, mais du désert lui-même. La solitude est le terme de leur voyage. The Doctor, Cindy, Insane Wayne, Water Guy, Bulletproof, les personnages du film de Gianfranco Rosi n'ont pas de noms, juste des surnoms. Si le nom renvoie chacun à une histoire familiale et sociale avec laquelle il est en rupture, le surnom fait table rase de ce passé. Mais il suffit de quelques photos, d'un portable, d'un mot malheureux pour que, par bribes, entre beaucoup de silences, quelques verres, quelques morceaux de guitare et de poésie, ce passé enfoui ressurgisse, que la douleur afflue de nouveau. Du coup, l'image de Slab City s'inverse. Ce n'est plus un monde en rupture avec le nôtre, mais une image ultime de notre monde, l'image de sa fin, tel qu'il abandonne chacun à soi-même, dans une décharge au coeur d'une nature devenue désert, sous le contrôle permanent d'engins militaires volants." (Yann Lardeau, extrait du catalogue Cinéma du réel 2009)

Résumé : A Cleveland (Ohio), les quartiers pauvres de la ville sont laissés à l'abandon, suite à l'expulsion des habitants de leurs logements saisis par les banques qui leur ont proposé des crédits hypothécaires (subprimes) à des taux frauduleux qu'ils n'ont pu rembourser. Les banques , et leurs courtiers peu scrupuleux, ont, grâce à ces "subprimes", engrangé de fabuleux profits jusqu'à ce que ce que l'emballement de ce système financier ne provoque une nouvelle crise économique, financière et sociale. Les avocats de la ville de Cleveland assignent en justice les 21 banques qu'ils jugent responsables des saisies immobilières qui dévastent leur ville. Mais les banques de Wall Street qu'ils attaquent s'opposent par tous les moyens à l'ouverture d'une procédure. Jean-Stéphane Bron va la faire exister par son film. Et, comme il est dit au début du film : "Rien n'a été ecrit ou répété, chacun exprime sa vérité dans un jeu de questions-réponses spontanées. Il n'y a pas d'acteur, tout le monde tient ici son propre rôle : les témoins, les avocats, tout comme les membres du jury. Ce sont les avocats qui ont choisi les membres du procès parmi un panel d'habitants de Cleveland. Les témoignages ont été enregistrés au palais de justice de Cleveland , Ohio." Le film met à nu le système financier des subprimes et rappelle opportunément la logique du système capitaliste.

Résumé : Au milieu des années 1950, le film révèle brutalement le New York de la crasse, de la misère et des oubliés de l'après-guerre. Pour son premier film, Lionel Rogosin entremêle réalité documentaire et fiction minimaliste, se plonge dans le monde des laissés pour compte, tout en s'attachant à saisir le rythme et les cycles de la vie du quartier. Somptueusement photographié en noir et blanc, "On the Bowery" est un repère culturel, historique et esthétique pour le cinéma .

Résumé : Au lendemain de l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis, Ruth Beckermann part à la rencontre des Américains, pour savoir ce qu'il en est de leur "poursuite du bonheur" que stipiule leur Constitution.Elle appelle ses rencontres "passages", qui ne sont pas seulement géographiques, mais aussi machine à explorer le temps. Et comme l'écrit Charlotte Garson dans le catalogue Cinéma du réel 2011 : "Parfois , les coupes ont la brutalité des réalités relatées : d'une visite chez une millionnaire à une autre chez une femme expulsée, la violence provient bien du voisinage réel de ces extrêmes. L'endurance de la cinéaste à traverser les paysages et les strates sociales insufle cependant une mobilité vivivfiante à ceux avec qui elle parle. Sa poursuite à elle est aussi désespérée et pleine d'espoir que la poursuite du bonheur dans la Constitution."

Résumé : "Au début du XXème siècle, des carriers de Carrare traversèrent l'Atlantique pour travailler dans les carrières de Barre (Vermont). Mais c'est à une époque un peu plus tardive que s'interesse The Stone river, film de paroles "déplacées" comme l'ont été des corporations entières d'Européens paupérisés. Dans les années 1930, le gouvernement Roosevelt a lancé une vaste collecte de témoignages oraux et photographiques, documents irremplaçable sur l'Amérique de la Dépression dont Steinbeck a nourri Les Raisins de la colère. Devant la caméra de G. Donfrancesco, des résidents de Barre disent les propos transcrits d'habitants d'alors. Filmés dans leur environnement et avec leurs souvenirs, les "Barriens" actuels deviennent le centre d'un étonnant précipité d'Histoire, qu'elle passe par leurs ancêtres ou par le métier qu'ils partagent avec ces inconnus qui vivaient et mouraient de la pierre....Dans les allées de Hope Cemetery, le gardien atteint de silicose qui aurait "dû" mourir à quarante ans comme les autres, vient donner corps pour de bon au passé, portant jusqu'à son terme ce dispositif de brouillage entre ici (l'Alérique) et là-bas (l'Italie), entre vivants et morts, entre pierre et poussière." Charlotte Garson, in catalogue du festival Cinéma du réel 2014

Contenu : Encyclopédie américaine réalisée par "The Economic History Association" qui propose des articles en anglais sur l'histoire économique.

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