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Résumé : En mettant en avant les aspects institutionnels de la violence, le sociologue tente de cerner l'ambiguïté de ce phénomène et d'expliquer sa constance dans les rapports humains et la fascination qu'elle exerce. Il insiste ensuite sur sa dimension fondatrice et la présente comme une manifestation de résistance face à la banalité du quotidien.

Résumé : Une réflexion sur la dénaturalisation des conduites et des processus de destruction dans nos sociétés provoquée par la conservation de ce qui était promis à la destruction et dont la gestion transforme le monde en véritable musée.

Résumé : « La mort la plus redoutable n'est sans doute pas celle dont on ne sait ni le jour ni l'heure, mais celle qui empêche de vivre chaque jour » (Patrick Baudry). L'auteur interroge le rapport permanent de la violence et du pouvoir, une sociologie du tragique en politique, en technologie et en médecine : dominations et résistances, accidents et catastrophes, maîtrise de la naissance et maîtrise de la mort.

Résumé : Pourquoi glisse-t-on de l'opposition politique à la clandestinité armée? Quel rôle jouent les intellectuels dans ce recours à la violence? Doit-on trouver dans l'évolution de certaines sociétés des circonstances atténuantes?

Résumé : L'auteur analyse les différents discours sur la violence : fantasmes de l'insécurité, théorie de l'agressivité, discours du réalisme politique, incantations à la révolte, etc.

Résumé : Si la violence est à l'ordre du jour, il convient d'abord, semble-t-il, afin de faire justice aux faits comme à la connaissance élaborée à leur propos, de ne considérer ceci que comme un retour, une manière de retard qui prend à chaque fois la forme d'une redécouverte.

Résumé : L'auteur analyse tour à tour l'idée de la mort et l'esprit des sectes. Il fait la sociologie du bourreau. Il montre selon quelle logique s'instituent les pouvoirs dictatoriaux. Mythes ou réalités, il met en lumière les forces obscures qui, sans cesse, sont liées à l'éveil des civilisations. (Quatrième de couverture)

Résumé : Des assassinats aux guerres, des accidents du travail aux attentats terroristes, des grandes catastrophes aux suicides, de l'euthanasie aux exécutions capitales, de la légitime défense à la famine, toute mort est meurtre. D'entrée de jeu, Barbara Michel n'utilise qu'un seul terme, celui de meurtre. Non par confusion ou pour brouiller les pistes, mais pour clarifier l'insinuation : nos morts sont tués. Même si on nous dit qu'ils meurent de leur belle mort, de vieillesse ou de maladie, nous pensons tous à un moment donné qu'ils sont tués.

Résumé : Si l'insécurité fut longtemps rejetée comme imaginaire, nul aujourd'hui ne refuse de la prendre au sérieux. A quel moment a-t-on pu avouer sa peur en toute légitimité? Cet ouvrage retrace les étapes de la montée en puissance du sentiment d'insécurité pour tout un chacun et comme objet des politiques de l'Etat.

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