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Résumé : Trente-cinq ans après les traités fondateurs, voici, sous la forme d'un essai collectif bien structuré, un bilan critique de la sociologie du travail. Ce bilan réflexif vient à point : il constituera à l'évidence un outil de travail fort utile pour les sociologues du travail, actuels et futurs ; pour les chercheurs d'autres disciplines qui travaillent sur le même objet ; et sans doute pour tous ceux qui, dans les entreprises, les syndicats, les administrations sont confrontés aux mutations rapides de l'univers du travail et cherchent, du côté des sciences sociales, des éléments de réponse aux questions qu'ils se posent, ainsi que des matériaux et des méthodes pour leur réflexion et pour leur action. Par certains de ses aspects, ce bilan interroge aussi la pratique et les orientations de ceux qui ont pour fonction, au CNRS, dans les administrations ou dans de grandes entreprises, de "gérer" des programmes de recherche ou d'organiser l'interface entre la "demande sociale" et les milieux de recherche.

Résumé : A partir de biographies atypiques, l'auteur montre que la précarité peut être aussi un itinéraire périlleux pour échapper à la condition ouvrière.

Résumé : Le travail humain investit et modèle les blocs socio-technologiques, les ensembles, où s'expriment des attentes existentielles et des singularités. Il façonne des rituels, il suscite des attitudes d'esquive...

Résumé : Partant d'une distinction fondamentale entre le «milieu naturel» des sociétés prémachinistes et le «milieu technique» où l'homme, en ce dernier tiers du XXe siècle, est de plus en plus saisi, Georges Friedmann y étudie l'évolution contemporaine du travail et du loisir. Il en dégage les tendances vers l'immédiat avenir.

Résumé : Depuis Taylor, les ingénieurs veulent organiser "scientifiquement" le travail dans les entreprises. Mais le taylorisme pose de plus en plus de questions même à ceux qui sont chargés de le mettre en oeuvre. Fuite du travail, freinage, résistance au chronométrage, conflits sur les conditions de travail, manifestent bien que les méthodes tayloriennes sont contestées.

Résumé : Cette étude tente de renouveler la réflexion sociologique sur le problème de la division du travail, en montrant que les pratiques de travail informelles constituent une zone clé de régulations sociales. Dans ce contexte, l'autonomie et l'initiative apparaissent comme des conditions de l'efficacité des ensembles techniques.

Résumé : 20.000 hommes à peine se réclament aujourd'hui de la tradition des "Devoirs", mais, oeuvrant en collaboration étroite avec les pouvoirs publics, ils proposent une vision de l'homme, du travail et de l'éducation qui élargit leur sphère d'influence bien au-delà des 2.500 jeunes conduits chaque année à entreprendre leur tour de France.

Résumé : On s'est interrogé jusqu'à présent sur les causes du chômage et sur les moyens d'y remédier, alors qu'il s'agit ici de la manière dont les chômeurs vivent le chômage. Pour les uns, travailleurs manuels, employés âgés ou cadres autodidactes, qui connaissent l'épreuve du chômage total, le chômage signifie humiliation, ennui, désocialisation. Pour certains jeunes, au contraire, le chômage inversé offre l'occasion de prolonger la vie de vacances ou de se livrer aux plaisirs nobles d'une «vocation» d'artiste. Enfin, les cadres, dont le chômage est récent, font l'expérience du chômage différé, en adoptant une série d'activités organisées pour retrouver un emploi et perfectionner leurs aptitudes professionnelles. Plus encore qu'un révélateur, le chômage constitue une condition sociale différemment utilisée et vécue par les différents groupes sociaux.

Résumé : L'onde de choc produite par l'effritement de la société salariale traverse toute la structure sociale et l'ébranle de part en part. Désormais, l'avenir est marqué par le sceau de l'aléatoire. Quelles sont alors les ressources mobilisables pour faire face à cette hémorragie et pour sauver les naufragés de la société salariale ?

Résumé : La nature du travail industriel est en train de changer. L'auteur, professeur de sociologie, analyse ici la nature de ce changement et tire l'ensemble des conséquences d'une telle mutation. La "compétence professionnelle", l'organisation du travail, la réduction du temps de travail : voici autant de notions qui auront bientôt une autre définition.

Résumé : Le travail a toujours été et demeure pourvoyeur de sens. Or, aujourd'hui, il ne se trouve plus dans la centralité de la vie sociale. Toutes les solutions envisagées jusqu'à ce jour oublient le travail au profit de l'emploi. Trois auteurs, un psychiatre, un économiste et un sociologue, aboutissent à ce même diagnostic étayé différemment par chacun.

Résumé : L'entreprise se trouve face à cette contradiction de devoir produire de l'intégration à partir d'un milieu social qui ne lui livre plus de l'intégration toute faite. Une étude des figures de cette exigence à travers les modifications actuelles des enjeux techniques et économiques, à propos du détour par les champs de l'éthique et de la motivation que les entreprises doivent s'imposer.

Résumé : Aujourd'hui, on travaille moins qu'avant : c'est un fait. En déduire que le travail a cessé d'être une norme, c'est passer de manière abusive du fait à la norme. Si les modes de production changent, il faut examiner la manière dont nous pouvons nous adapter à ces changements et ne pas mêler le plan des constatations et de la norme.

Résumé : Une analyse du télétravail à travers le monde qui montre l'enjeu économique que constitue la télématique à la fin du XXe siècle et qui tente de répondre à la question : Pourquoi y a-t-il un tel engouement pour le télétravail et qui a intérêt à le mettre en avant ?

Résumé : Une réflexion épistémologique et critique sur les sciences humaines ; une mise en synergie de savoirs appartenant à de multiples disciplines autour de la connaissance du travail ; et des protocoles de "rencontres du travail" associant divers interlocuteurs sur l'univers des activités économiques en crise et en recherche de nouveaux équilibres.

Résumé : L'auteur a choisi de se recentrer sur la vie quotidienne des jeunes chômeurs en incluant la question des représentations du travail. Il tient compte des changements de perspective et des savoirs quant à cette question. Il examine le mode de consommation, les pratiques de débrouillardise, le rapport au temps, les sociabilités, les activités autonomes, la construction identitaire.

Résumé : Un débat sur la possible fin du travail se développe depuis quelques années. Loin de chercher à fournir une réponse à ce débat, ce livre réunit un ensemble de réflexions issues de 20 ans de recherche sur le thème du travail. Il croise une expérience sociologique alimentée par des recherches de terrain et une démarche épistémologique portant sur deux siècles d'histoire des sciences du travail.

Résumé : Toutes les formes contemporaines de la servitude sont passées en revue, de la condition ouvrière en Occident à l'orée du XXe siècle à celle qui prévaut dans les ateliers clandestins et les usines des pays "tigres", sans oublier les camps de travail forcé en Europe et en Asie ni les trafics des esclaves sexuels ou des domestiques maltraités.

Résumé : L'auteur réhabilite la dimension politique du débat autour du travail, refusant de le réduire à l'alternative "pour ou contre la fin du travail". Penser le futur du travail suppose de comprendre son évolution afin de décider collectivement quel travail nous voulons dans quelle société.

Résumé : L'auteur apporte une contribution à la critique du travail : elle conteste au travail son statut de principe organisateur du corps social ; elle montre comment la réduction du temps de travail, le revenu minimmun garanti et les pratiques économiques alternatives, en accompagnant la crise de la société salariale sont susceptibles de remettre en cause les fondements de la société productiviste.

Résumé : Le constat de l'auteur, romancier et sociologue, est simple : l'homo faber forgé par l'industrialisation du siècle dernier est aujourd'hui destructuré par les effets pervers du nouveau capitalisme (mondialisation et flexibilité) : l'atomisation du marché du travail, le broyage généralisé des laissés-pour-compte, une nouvelle logique de l'exclusion.

Résumé : Ces études sociologiques sur la négociation du temps de travail dans plusieurs pays européens montrent l'émergence de deux pôles : soit le temps collectif protégé (partage flexibilisé du travail), soit le temps de la subsistance (temps réduit, pluri-activité).

Résumé : Quelle est l'évolution de l'institution ouvrière du travail comme lieu de critique et de transformation de la société des travailleurs ? Pour comprendre l'emprise de plus en plus grande du management sur l'activité productive, l'auteur étudie l'histoire de la gestion du travail aux Etats-Unis, en Angleterre et en France, et de sa mise sous tutelle par l'autorité.

Résumé : Ces dix-huit articles, publiés entre 1959 et 1996, reflètent l'unité et la diversité de la sociologie du travail. Ils s'articulent autour de trois grands axes : le travail et ses acteurs ; l'action syndicale et les conflits sociaux ; les politiques sociales et les stratégies industrielles.

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