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Résumé : Méthode pour débuter en Rhéto-roman ladin parlé en haute et basse Engadine

Résumé : Adaptation du cours audiovisuel français "Voix et images de France"

Résumé : Montages d'archives sonores et d'archives filmées, d'extraits de films ("Le Testament d'Orphée", "La Villa Santo Sospir", "La Belle et la Bête"," Le Sang d'un poète"), à la quête de Jean Cocteau, du poète, du peintre, de l'homme de théâtre et de cinéma, du baladin à la fois public et secret. Diaghilev, Nijinsky, Stravinsky, Picasso, Erik Satie, Jean Renoir, Coco Chanel, Jean Marais, Yul Brynner, Daniel Gélin, Radiguet, la galerie de portraits des fidèles amis et compagnons de route ; l'exposition des dessins et fresques murales : l'énorme travail du montage d'Edgardo Cozarinsky vise moins à montrer les multiples faces de la personnalité de Jean Cocteau qu'à trouver par synthèse et réduction, un dénominateur commun, une expression commune, qui correspondrait au personnage mystérieux, à la force mystérieuse qui, selon Cocteau, habite le poète quand il écrit. Ce faisant, Edgardo Cozarinsky reprend à son compte le propos de Jean Cocteau lorsqu'il réalise "La villa Santo Sospir" : "Ce film sera une espèce d'ombre chinoise de ma vie... J'ai décidé de m'enfoncer en moi-même, dans ce trou terrible". Cozarinsky fait le pari que cette vérité de l'homme se trouve non pas dans une extension infinie de l'enregistrement audiovisuel, dans un défilement continu du film, mais entre les images déjà filmées, entre les paroles déjà enregistrées, entre les dessins, les peintures et les extraits de films, entre les souvenirs, qu'il suffit de rapprocher. Dans le dédale de cette vie extrêmement riche, Jean Cocteau nous guide, entre le rêve et la réalité, comme à travers un labyrinthe de glaces aux miroirs anamorphosants et brisés... D'un miroir à l'autre, il nous ouvre littéralement les portes de son monde, un monde entièrement redessiné et recomposé par lui, dont peintures, films et mythologie fixent les règles et les proportions.

Résumé : En juillet 1986, l'écrivain Bernard Noël s'installe à Saint-Denis dans un petit studio d'une résidence pour personnes âgées, sur proposition du Conseil général de la Seine Saint-Denis qui, comme à deux autres écrivains, François Bon et Didier Daeninckx, lui demande d'écrire - sous la forme qu'il aura lui-même choisie - la teneur de l'expérience qu'il va vivre : une enquête sur le bonheur. Complice, la caméra de Claudine Bories suit Bernard Noël lors de son installation à Saint-Denis et pendant toute la durée de l'expérience : cinq mois au cours desquels Bernard Noël va enquêter sur le bonheur et essayer de répondre à la question suivante : qu'est-ce qu'être heureux à Saint-Denis en 1986 ?

Résumé : L'œuvre publiée de Louis-René Des Forêts est rare, romans et récits essentiellement, fragments, manuscrits détruits ou inédits, dont seuls quelques extraits, parus en revues, sont la part visible. Écrivain secret, hanté par la question du langage et, à ce titre, extrêmement réticent à parler publiquement de son œuvre, Louis-René Des Forêts a accepté de rompre son "vœu de silence". Aussi, ce film, le seul auquel il a accepté de participer, constitue-t-il un document important. Mais ce portrait ne livre pas seulement un témoignage du point de vue de la littérature, du rapport thématique au silence, de la passion pour la musique. Cette rencontre révèle une part de l'autobiographie de l'écrivain. L'écriture d'"Ostinato", au caractère fragmentaire voulu comme "des espèces d'épiphanies", traduit par la langue des moments de vie et exclut par sa nature même la perspective d'un aboutissement. La visite chez l'écrivain, menée par Benoît Jacquot et Jean-Benoît Puech, n'est pas sans air de parenté avec la forme et l'univers mêmes des récits de l'auteur du "Bavard" et de "La Chambre des enfants". "La caméra ne se permet aucune divagation. Mais dans son usage retenu, concentré, elle fait du moindre détail, un événement..." (Marianne Alphant, "Libération", 1988).

Résumé : Poète, auteur de courts récits dans une langue concise, traducteur ("Le Coran", "La Genèse", Eschyle, Sophocle...), Jean Grosjean, né en 1912, voyageur au Proche-Orient, prêtre, co-directeur de la NRF, ami de Malraux, a mené une vie hors de toutes les modes, de tous les sentiers. Il a tenté de réinterpréter, de l'intérieur, les textes fondateurs de notre culture.Ce film est le portrait d'un homme plus que discret, dont l'attitude est faite d'ironie légère, de distance imperceptible, d'hésitations, d'ignorance avouée. Interrogé, il ne dispense pas de leçons, il ne cherche pas à montrer une image parfaitement dessinée et cohérente de lui-même : sans emphase, sans ostentation, il se soustrait en souriant aux catégories qui pourraient le définir ou le limiter.Entretien mené par Olivier -Germain Thomas.

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